
^ ' Bîfe.enr a e^ ^ u^tr' U^dIiis
grand nqiqjbrè dçs Langues Qrien-
| taies. " ,,
Et par' elle-même,. elle, avoit
un diitnct immenfe.
1 Se prononçant de la.gotge, elle
.peignit fans peine, i» ..rous les
ioni ^GutTURAQx‘f toutes les
idées-relatives à celles de Ia,,ggt-j
ge , dedéfilqj decanal, de-xqurs,
. de conduits , de régie , de chute
s. rapide.
i° . Toüéès celles "dê GÔntè-
îfance ; de capacité;, de ce qui
eft capable de contenir. '
à 30; Par -confëquent, celtes de1
L ie d & de place.
„ i les,i^qs de, tout
ce qui eft creux , évafé pour fai-
v lir ; en particulier , la Main fe
fermant à moitié pour faifir, pour
prendre * pour contenir ; & telle '
eit la, figure du C en François
& en Latin, & du 3 ou K'én Hébreu.
, Q »; q M A î o R RE s.
. K A.
KAr-KAZ» , Kanka^ê, rire , éclater
de rire , rire à-gorge déployée ;
2°. fe moquer j rire aux dépens de
quelqu’u n, l’infulter.
Kayy.cuTtJ.oi, ris à gorge déployée, gorges
chaudes.
'Kayx.eSiis, grand rieur.
K«-y>-Act£w Ae même que Kayxajw..
Kayp^aOi«cai , rire d’une manière défot-
I- donnée.
il
[kakkaba, K a k k a b a , Perdrix,
j de même.
KauMuPiÇuy , crier cordmela perdrix.
\ djLk
1. k a k k â n -, Caccan, cri des enfans
. qui ont-des diÉ&fflSï^|âàfc(|ïs-, /v
KAKK», KdbM i' qui ne fiïie pâs Bôn-»
2ÿ®e-!ày.M'fig®F‘é •>: -'J *
kakoî , » j ov , Ka ko s , mëehâftt’j
mauvais , qui né*ien j'‘p&CMoh i
i° . fiiriefte> malReifreux"t;'Y8.' lâ-~
I dnfe, poltron „'tlâifdé 'pauvre f
vif, àb]êâ.J
K 9 *0 . t x i , le mal.
Ket*o1ffî, i’j'méthatfcetê , vîccr, fcêlérate.
flè, '
Koeiaet,, méchanceté , '„vicer ^défaut j i®.-
5 lâcheté. v~-
%o$pi >.é j..!.âc%èé 1 :oJ>duyàinlé. Sa
4 KAKow 7 tourmenter,, affliger , litre du
v mal.r • •
Koucgkt/î . véxationi , offenfe. -
KAKifw-j blâmer , cenfurer ;
- damner.
Kametioi^ blâme,
Kaxurw, rendre mauvais
gâter.
KHKapr-ad'<fc, i , n, méditant'-, calomniateur
, méchant.
Kwfli?w, accabler d’injure?."
Kny.aStif) , de même ; fe moquer.
Ak
A Ata, u , Kaleô , appel 1er y t*. a$>*
püBfti||jfri)lfe'aa. nötóöïir :^|jMgw,
jEun note; Saflg| c e r •
RaAjq'ftöpM' falfttop dçs'ba’tihs*, Crieùr.
j#ùbîi|, fie rault.,
Mbimû|?wa<ion‘> k aélipn,. d'.’aggell'eE..,
d'inviter ; r°. appèl'^ C
-appelle , m&pdé, ; %
KArhicof jfKQcajrf« appelkitîf. '
Ka?1*p , qui âjlpeilè \ ’CqïeüT , Hérâulx ;
a0, qiiî ifrviita ,*^[ui parie les billets d'In-p
'i ■ '•îvifàtîdrt.
îïüffîèr'f ^^Wta^eur.
jKw.nl eui- crteir'« àüp el'IètfA-'Jufttce i >-
'K.Ànd'ur J nommément. 4
Ki Ik A mcfx«, en po|ÏÏe \ appeller. ^ ‘!
iw EK-KAfîitàf, af , ti, Ek-Klijîa. , af.
éerj^c&v'dcatîô'n q. ' x ° l' fieu?-
> d’aflerfîblé'e. Y'
EK-KAneriirtls, s , S i qui harangue dans
e âffe mhle« “
^EKLK^iip|^wod^u^ega,W-l’MËi5hmée*
-EK-K^fôi adiipioT j'^petit- théâtre:
!«tf@eixiot tranfpbrîé datfs- n’dtre'
i Langue , n’indique que les alFem-
blées religieufes,, l’Eglifà, par ex-
: clllence.
5-
KAP-KAIP» j Karkairé, faire dü brïiit,
* tefôhner', retentir.
6. .
KHrt/? , hk , Kèrux, Héraut ; Criéîrr'
public, ■'
Ce mot tient à la famille Ga r ,
élever la. voix , parler.
Lès Doriens le pronbnÿoiént
KARyx t ou K arux; de-là,' Ca d-
K’£f^|A;^dy.,jQnglî Ùat. col. 384.
Ktipuxfyoif ..'dadiicée du
GrjfëSir pub&^^jq
Kflputnroi , & KnpuTlu , publier à haute
voix , promulguer , prêcher ; a°. ven-
dre à l’enchere ; j°. publier ,.‘divulguer
; iîtvqqjiçrs* ” ; <
K»pir}'lct^ ^ ri l-puhlïcàtfon par Hérault ÿ
pvpSfptiî^âttgilï 1 >
r. Kikxad'H-U djèhouetteç^.oifeau’ de
n r aH
KIIvKA,8au, cri de la chouette. -1
2. kik-o^/ç, chouette, oileau de nuit.
’Kixvtuvàéiià.^ja.yqtT; 3 é,'mauvais’yeux’»
^, avoir la- vd^^ibleSïjj
2.
KiNrP®]u<«, fe lamen|açLjfe} plaindre
d*une voii idolente &jlamèntable.
I K(W! ,, plaintif j-lamentable , funeûe.
J.
Kiîsfr.P'k 5 »i; inftrument-de. mùfeqüe ,
. dont le’ fqn. eft[pfeia4^JB§
v Gel mots tiennent à notre mot,
,il. geinr.
i v.-f;.-;,:
KiRTijV« > Ei£a ^is. ,-s-
Kiflç^ï^qyiMter l^cti de la Pic. .
-S- «
kixah, hs, h , Kiklê , grive, tourde.
R ‘X^‘ ï itv > mangor <d«i.g*ri’vès> grafles ;
x°. rire immodérément, à gorge 3é-
1 plo'yéé.d *•*
K L.
ka-ÀAsçV L Klados, branche"calFée-^
s'V arrachée.