
6 o i DICTIONNAIRE
Mup'MOK*?*' > éprouver, le même fénti- :
ment que fi on étoit piqué par des fourmis.
Mep/uiwa , » , armée de fourmis. ,
z. mtpiwi ,-bruyere, tamarin. ,
’ Mupfejvos j de tamarin.
ï . MTPéy, T«f> Muron, onguent, pom-
• made.
McpidW, diminutif.
V Muptipos » d’onguent. •
Wupu, boète aux ' onguents.
MvftÇ# , oindre , pommader.
Mupou , de même. ] | |
Wtp«rjua, té j—/tes, $ » aâion d’oindre,
de pommader.
jYIup.*çixoç. qui jfènt bon.
ftiepjrfMa > t4 , onguent, pommade.
Mupfras, fin parfumé;
2. BïP P a , & SMYFyct , MUTrha , &
SmurndySmyrna, encens , smyrije.;
Mupprrns, d’encens.
ï SMupnçw , fentir l’encens.
^Muprjor, plante qui a l’odeur de l’encens.
;
*. mTp«, & Smtïoc, Myros, & Smy-
re s , mâle de la lamproie.
MTPoeira, Myraina, & Smyraina , lamproie
femelle ; £°*~ femme débauchée. '
4. Mupiyp? , même que Myros.
}•
»TPTaf, ô, myrte.
MupTfa, MepTif, mêmes,
Mvyror , r i , baie de myrte,
MupriTas, vin myrté.
MtiprfJ'aiei', addition inégale & éminen=
te , appendice.
MopTitf, efpéce de poirier, & d'olivier.
Et y m o l o g i q u e do*
Mupo-ir»', même que Mvpfôf.
j J@pfew. yttvss, 4, lieu planté de myrtes,
Mupffd'u'oi', huile de myrte, ..■'■fe-
f ; MuprrmT«, vin mixdonné de myrte.,
4 -
A-MEîru , A- mergo preffer les olï-
ves , en tirer le fuc. .
-, A-Mopy», b , lé. Eât.., jgqmtefc, marc.
A-Mopyeut ,-i , qui.preflê les olives.
• A M»ipyirnî, efpéce de gâteau. Orig.
1184.
I m j , : L I I.
r M a>e, » |s a f é c la t.
Ôe H a r , H o r ,, lumière, jouj^gré-i
cède de M , grand“, p^asa iïçj^ jpj
rent nombre dè^famiMes relatives
• k x ë s i||é£-h4 Orig. Lat. j j ,8 4.
1. M.AP*ry<f« , é , Maragdos, Sx. Smaragd
«* , émeraude.* pieîrs prêts
f cieufeA tranfparente. .
SMAPayé'iroJ, d’émeraude. <
f r i . M A p r â p e y Margàtbn j^perf«
j> MAP/Aa»! * An, h > Mariât charbon
ardent, brajfe.
I ' MapiAwoi , être fur fa bralfé, farrè_“de
, là brâifé. •
4. MAP MAIP« » f. apa > Mär-Mdird,
j ‘briller _,>df^Âi3iî^ ';^ 8 n é S ^ .
ilap-itapuy» i fhietidêur ,'éélii rfeittlilla-
■tion, ; i
MAP-MAP«, blanc, éçjatautji *p?i|{ej*Ae'
blanche & rçfplendifjTante, marbre. J
Map yttaptiof, de marbre!
Map-M.apt>«iJ , refplendllTant commç’ le
marbre.
Map'êt*P‘rw » refplendir.. .
2. MAP-TTP »
(So< D E LA LANGUIE GRECQ. MAR 606
1. u'KTrCv? ,> ^ ^ ,'1 « , MaO-tyr j té-
mpin ?rnet-a-mot^ qW^trfërvfe1,
qui défend'iaiiimiére, la vénite.
Mtep^rup/a. ; -jpuju.ctÿ témoignage.'' ,
Map-ropo/Uai ;—psc*, t4mpigner,,ccttifier,:.i
v-'rfèxvir de témoin.
Map-rupeo/iai ,'çtre-prouvé partémoîitsî'nf
2. mepam, Mer do, voir, appërcevôir.
Z-MrpJ'u \ dé'même efl Acfiéen;'
Z^Me'pJ'ros , t'erfible'donï "orfr ne 'peut
fptitenir lè r^ a rd .1 „•
S-MsptÈaAÉoî , affreux ,^hbwâ;b|e' à Voir*
jfcMQp» Mcn^QühQs, parre.
. .^didaiKjbir
les étoffes., les habits-;;;.
4. MTéSPoC,-o , Mudros ^ fe r .-rouge,
maffe embrâfeè '^ d e Mer, altéré
par l’infertioti ^fdihiîrV 'dii ' D
ayant
Svl?’..
1. À-MAPom, s t A-marakos, sma^
rante,, fleur d’un range v if.... .
2. A-jbiAPu»*r» , 4~
/ jefplendir. ;
A-Mdfvyè , éclats briffint y ‘ràybriSiétîb.
3. a - môp>h* » , plaate .codliâ#1 de
' 'rp8ufp!êl^:
A;Moj>y«ii , couleur de‘-pourpre. ; :
A-MoyyiJ'ioi'1, habit de pourpre.. ï ;
4. ./l-mop«, farine fine cuite «ffrec du
miéï. ' f
A-Mapiryj , gâteau de fine fariné àu
ySeffiHI
4- : m m
u À-MATpcf, S , ^ -m a tào f\ dbfcur;
i ° . folblë V pâle ; i éteint.
i b^p.teyçffacer, faire dîCj
• rîfâÉBteç'» %4
A-Mauyuns , n , affoibliflèment de la
,;ype » '
; Mau^ov, obTçurcir ; effacer, détruire.
MATPos? 5 même qu’A-Mouyor.
2. A-MOP'Boçui J , obfçur .ténébreux.
' î T-/8rf , milieu de là nuit. *
; A-Mop/3a;os , ténébreux.' '
lignifie' également,
î > celui qui-foitr, ftiivârit ,ffui'v&nte:
1 '.Compagnon , qui marche à la
t4 Les Etymplogues >ont ' ë rtr
- > que d'ans ce feos“ ce mot appartè-
rioit à une Famille ItoutecHffé-
. rèntë ;fqu’il%lito!axon^pfé d'Amct
: . i^àllprT enfemble ils
n’ont ; pas vu què-;cq nleUrqu’une
.; feu-le: ^r;mêmè Eamille : ^qùe la
fignificatiôb propre dé 'c e mot
Amortos , efl; Ombre ; l’ombré
s qui va touloursà la fuite du corpsy
& que de-là efl venu le fens figuré,
de fuivanc, de compagnon ; ils
. .font cpmjue.l’ombre.; Cette-figurç,
efl commune à toutes les Langues
,t an Latin ;'^S| au .François,
(comme au Greçuass
4. A MTAB6t,tps A-mudroSf obfcufj
oti a peiné I rhàtf2®f |)ëu apparent.,
vil, obfcûr,
À-Mvâ'pôwi obïcurcir, hébéter, affoiblir la
vile,’ ' ‘
Orig. Grecq. R t