
tif 11, force,; d’où vinrent diverles
Familles Grecques. ' p
1.
12 , ;yoç, « i 1% , inôi» fibre , rierf : |
io. force.
Ii'uJ'Sî, nerveux.
Inor, le derrière.de la tête , là nuque !
pleine dt 'nelrrs.
Inç, enfant , fruit dt là for-ce , dé la'vi- ;
gueur.
-ENA-Ifcïa, les intellins -; met-à-mot, les
fibres intérieures. . :
i$ l , lp h i, fortement , avec grandeur
d’âme, force courage,
e I<j»os, robùïle , valeureux,-rempli de 'force
; i°. fort.i la cou rit, léger.
li&i/jus , très-vaillant, très --généreux ,
magnanime.
iixXoç,
voç 3 » , Iskhus, force.» cou
rage, puiffaru e.
Icfvi»» , être robùftç., être fort & pulf-
finit.
robirile , puifiant. '
_ Ic^upo« ^-fortifier.
faire elfai de lès forces :
, - s’efforcer ; dilputer, être-aux . prifês :
a0, affirmer.
4-
rv-g/r, Jskhis. rein : c’eâ le liège de la
force."
5-
Ig ïS , uo? y *, Ixus , -les reins.
6.
ISXiadN/K05 , fajet à la fciaticjue ; 1°. qui
occaiîonnc la fciatique. -
I i 7?; ^
i s o s , «, ô, Ixos , tenace, qui a'de
la force .; a0, menace., avaie ; ,:j§f
glu , elle.. réfifte, elle, donne de la
fêrlfietiéfclqiï
I£w<êvr ^vilcjueux, gluant.
Içioejî , de même.
ISeuci), prendre les oifeaux à: la glu., y
lfsurss , i , pifeîeur.
l^surnpior, art de l’Oifeleur. * ■*
l ’Eta , « , i) , même ~qu’I|of ; i°. nom
d’unë planté dont là racine elt vifqùébtê.] ’
-Tpii-a , autre plàMé dont ori fait le maftic.1
WÊM
fStA»,‘ »? : », ïskîi,1 habit de pfeàù
' ' dbüîfléé^ i le ï l FoY't &
traits; H
? v
jriSXîi«tçy^ Jskhnos, maigre. ,)jdéli.éj-»,
: quiq^effepas c h a r n u i i ,
. tout nëify ceus qui loue maigresq
&^n*L;|)làsfôt^yb-pius nerveux'que
les gens trop gros.
ISp^rorwî, minceur , maigreur. . J
: hgvÿVù- êtré:-mince , majgre. .'
\agavais, minceur, maigreur,.fineflp de
taille, f ■-
Icr^rou, Iop/cuw , mêmes qu’I^ama,
JgXa« , ail'ofy!h, fi.guè,Çléche , i°. anchre,
à câu.fe de.fa force ; 3°, nom. d’une
piân'tel
I id.
ISx/®», «» to'»Iskion, la cuiffe, la
hanche.
' 12X«xt, la feiatique»
», & iTê», Itea & ltei, faule,
ofîer , il fern à lier.
I Ir sn-os , de faule, ,
fgl
I««»
faules.
D E L A L A N G U E G R E C Q .
w? ? fau/faye lieu rempli cte j ixê't'S ’ vM'l
I S, égal, j
iSorytt, a' ifos.t ég a i ; . l e meme
queTOrient. n w , fuêt femblable.
,I2?T»f p i ï 'égalS.£e;. ;
TSm,'e^aïèr',l^ n le r . ,
12ii?w., dèTiiêine. ’ ^
'®èèüw y égalenfent, autant! dé fois. yi-
ISA’îoç , égal-, femblable ; pak.
Î2oeiw, égaler , égalifer. ; ,t -,
12»j>!7S , i , 11, égal, pair.
E12oj, en'poéfîe, égal, pair, fembla-
•.’hjfc,
ÎS,Eaù.;s;
ïli^ig,,ih^ », plante dont onîe fer.
'tiJPPV peindre.en blçp .j Paf-
toq5 mot-à-mot^ ejouk^r ÿeau^ ■
i s . 390
, IKhthus, poiSon -, z,J-
pêcheriè.-Dè ICZ ,pôùri'Jc, eau :
d’où le Latin P -r s c iS , Fi s h ,peif-
fori ; mot-à moi, habitant de l’eau.
I%9poqs , p oillbntieux.
IXßwhS'ps, <Je nfêiné.
, .où on pêche, bon à pêcher,'
Il}®ua(!|, pêcher.- .
IpçSÇjiip.v.Ta., Ta., écailles de poiffon.
: Ip^Otrd'ioi', petjt poifloij. .
Ip^0ua, peau feche de poilîôn
marin ; i°. ofiglé-1 dé-fer- de la1 forme des
s écailles dont on le fervoit pour tirer les
, enfans du fein de-leur mere.
; Iô.
, Jéps , nom d’un poiflon dont il
eft parlé dans Suidas & dans Cal-
limaque.
*—Vgv-
M O T S G H E Ç S - C E L T E S ,
O U D É R I V É S D E L A L A N G U E C E L T I Q U E .
L» A lettre K effi la , dixiéme’ dè
l’Alphabet Grec , la onzième d#
' l'Oriental : elle eft d;èvenue., fous
le nom de G, la croifiéme de l’Alphabet
Latin.
Elle renferme, ainfi que la lettre
C en.Latin , une prodigieufo
xnâflê de mots : on n'en doit pas
être étonné.
D’nn côté, elle a usurpé nombre
de familles qui apparcenoienc
au G & au Q ; & un grand nombre
de mots qui commençoiefit
par une afpiration.
Elle a déligné une multitude
d’Q s 0MAXOPHES.
Elles’eft ajoutée à-la tête d’un
grand nombre de mots : ^ ■ ’
B b |