
D I C T IO N N A IR E É T YM O L O G I Q U E gp2
2Kwp<« j #î >,fi , Jcorles,* -
De l'Or;•târï, èHor 'ÿ excré-
mens.
S M.
ililÀ i, »É$P*Çbùrinvvcifeau § fcâh
pel. '
^,/j.ikiov , iimin. - fi
S miMvu emporter arec le fcalpel, avec:
le burin. •
De l’Or. VlD -, m u l, couper.
. S Q , ,
OliXoV s /TO x fleur* de lys ; c’efl: l’Or»
Itv’vv, shoufan , lys ; £&u Sufanne.
- De <î>vj , skesh , fix.
? SU. ‘
jï. 2 TK» , figuier,: 20. fi gué : 30. fie,
excrôiffance dé chair.
En Or. 11D,pkug, figue , d’où le
Lat. EicBf.
I c i S pour F,
De f a g , mangèrybon à manger.
. Siijéxç, arpoç, f) , figue fraîche.' St*
Swuroç, 4e figuier ; 2.0. fragile , foihle,
2üxwi>, uros- 4 , lieu planté en figuiers.
Svxaftirps., meurier i i°, meure.
' 2vxor , 1o ,,figue. *
Siauros, fait avec des figues..
Svzioy, décoction de figues. |
‘Su zaÇa, cueillir des figues. -
Süzaçriç, qui cueille dçs -figues ■; 2°, qui
. fait la figuç., calomniateur.
Suxüirs, » , excroiflànçe de chair.
SuzaAis, bequefigue , eiiêaii qui fe nourr
rit de’figues,
à. STAa , n , proie , dépouilles.
Dè l’Or. Wy; , fa l l , piller.
2 uaof , ' de même.
2 uAawj Suàew, SuAsuw, piller, dépouiller.
2uà»ata, 7o j dépouilles. |
_ S uAitciî , eus, w, aâion de dépouiller.
2 aX»7«s, S , pillard, maraudeur , qui dépouille.'
3, sKrAay , dépouilles :c*eft alors le
même que le Latin SFOLium ,
P en K. .
2KuXaw, dépouiller, piller^
4/ St'?*/ , af , haillons ,-habitsi-dé-
15 chinés, gûënülêS'. - -
Dé m© , farê, difîbudré. ?
5, De l’Or.' ,'ihor ,*péâtï, peau
àsècTün poil y velu, ,'vinren'E^.-
STP/ot f n,Juria , gros habicdepoil,
balandrân, manteau d’une grôfle
.' étoffe.
2ii-2ï'?a , j G-fouru',4 habit de pèau
.avec' fon pôîlr, -'Je'n * u'fagé’ÿlÆ® les
Barbares, c’efl; çé^qtte trous appelions
Vi-sæhoura , mot'formé de
la même Famille.
<r. 2r$ap , tS, dépouilles du fer petit;
>0." des cigales.j,. jp.-tprîmç j 4°.
ride.
' De l’Or. f]tD , fojiph , fin. HDD ,
japht ,'©Irid|ir>5 fiSf.1, *
-7. 2®?.rAr/^.M, mettre ùpe marqué j
, fceller, marquer : dé “13D i f$p]irt
, . marque f & <zgo, mettre, ,
S$P-Ayis, iJ'of, h ,marque j figne, fceau,
“ l’capljet.
2<pj>-Ayi(fw, 7«, diminùiif, •
8p5 DE LA L A N G U E G R E C Q . TiOnom. 8p|
MO T S , G R E C S - C E L T E Sr
O U DÉ'R D E ^ LA \ L A'WG'U É '* C D L T I Q U E .
:VfaL.4-- ., ;
T
jTjA lettre T fuf placée la deruiere
dans l’AÏpnapec primijçi|,,i.;®apçe
quelle défigttoi^ laf! „perfeâ^pn
dans;fous. les;.,/eus :> ma-is in-fenfi^
b le ment les Grecs leiettcrqiBjt-^fa
fuke,,üdes ; lettres qu’iisi.ii.dedouî-
bleientl|ai dé« nouveaux.caraébe-
res otf-qftqis^i^utoîefît /à l’ai—
phabet ancien.
J .i^ la lé ttrë ’ T fut chmfis' |péur
exprimer la ■ perfection , l’excellence
, la grandeur , ce fut à çau-
, . fe du fon élevé &. retentifîànt
. qui la caractérife : auffi la plupart
des mots qu’elle préfente, font
relatifs à l ’idée de .gnid^eartÿd^-
1 tendue, d’excellencé , de'perfe'CT1
sion , au phyfique & an moraLi
Si on ajouta- à ces mots, 1p.
nombre d’Oïibmàtbpëes ; lo.'cêüx
V, où lé T Article primicif,,.s’èû ,ùni
'à des mots qui conimen.goienf
par une .voyelle j; j°. quelques
■ autres où T a(pniS laf pkce de S <5c
d« Q,.; fi on ohferve 4,0. q.u’on a
■ confondu de ^rfe-bontie ,.heure'
: ' le X)kt>,letffe,-telAtivfiîauK
. fein», on cohéoltra l’origine do
tous IesimÔ'ts;GregsK,(qtii1'^pp4rtieim.
^;, nent à cette lettre. ( <
1. TArf«-, x; , » , taggé t prononcé'
langé'j gpûc 'de-rance, qui prend
iv'à la g^|éf, !
En Gelt. r/rg , prendre à la gorge
, être âpre , acide ' EMUvais,
■déteitàblev,,/.', *
iy^aalyo î-ï,j|kri e é$w^r
Taxi'i^fc), être rance r devenir rance, j
1. scf'jirs', TwKha^ÿ/fae j
. .qui vAiyîte , prompt : a°. vif ; ÿ 0.,
qui va trop vîcèr
Au Camp: TA^(àj & TA^urspo^
A u Sup: TA^/çoç , & Tc£^1'7g7ûç.
; , v 1 Æ :mènt;, vîtè;* ’•
Toep^a , de même.-
• % & k j> > vîteue , cé-'
--irrité: y-'-
1 , S , aniinsiyqùi-efl vite- , cejfi,.
liè vr e ; |