,■ SEM^oui H EM /û
, farine du bled : dé
.• Hehi ,-demi, moitié -, & Dal ,
: :,—brûlé;, parée que dans le:c&iâmén-f
cernent on.-torrifioit-le grain côm-
,*jt nie le caffé., afin‘de pouvoir de'
, moudre ou le broïer. *
SE R , de U A R.
De Ha « , Hek. tailler t couper ., '
vinrent les rioixis de diverses,plan-!
tes à feuillës découpées.
•i- SEÊ/ç.j-taî., », chidoiee. ;’•**
2. ZF.Fi<pioy, ,abTynthe de mer.
3. ”2EPa>oç,. moucheron ; i>. efpéce i
de fourmi : leur forme elt décou- !
péel.
4. SEPAriiaç, , » , plante de la
; «clalïè des Orçhis & des Serions :
elle appartient peut-être à cette jj
meme Fapailie:^*a moins que ce
ne foit un nom Egyptien'-xëKfff
r à Sérapis.
S A T pour 'Ft A T.
2ATTj>op5 Satyre. ; homme jfauvage
cHez'les Anciens,
Ce mot peut donc venir f e S^d,
■ champ , en ; Langue Orientale *
q u i tiend ra lui-même.,au prim it i f
* E î a t ,T errier', O r . L o t , l y j ç . ’
SA TTP ioiç, ïatyrlon , nom. de plante j 2%,
d’un animal amphibie.
':SATuÿncxn, nom d’un antidote.
SOR pour H O l .
De H o k. , é le v é , vihrerit.»v, ,
l. XûPoéi b, g, monceau, tas.
- 2wp«t;w ,■ entafîer., accumuler ; i*. mettre
m. comble, i
6«îo.f?, aâion d’entafïçr,
'Swpsii'T'oî, accumiilé, cntafle.
• Swpsu/io.-, 2{<)g6ia ^ 'SwpÉoj , mêmes que
■» SsiijMjr, I ■ „' '•r
1. xAEs/tmç, l , fonte,-forte defÿllo-
gifme, qui- renfexipe nombre de
pr.qpqfitibns entaflee-s à la fuite
.les Unes des autres. »
j . 1 i torabçtombeau ; 1 ”^
bière, cercueil.
# £ i fW t r y enfévelir $ "jenfèriper dans .la
tombe.
~ S U S pour H'U 5. *
Deîdus j cochon , ‘vipt r
E e„i«, le Lat. Jbs, 6®-
ffâfaofojajA fanglier. ..
WÎi dd $' j
•;Suar,.etJ'9s, «, truie ^Æoehe*K.w
SifljXa» jjtép x y ù le vai^eptdes^ecbtJns,,-,
Süjroÿ , -flupidè ou vilain , Jgle comme un
cbbfcStt, 5 8
S O t r e f y et ré taie comme un' cspîion.
s2.’ -, axas, .qui a; les iq^ttations
| du cochon.
, malle de cuir deqocboh.
4. Xt/pawoç, porcher. ;
Suoeeor, 6, étable 4 cochons* k
$• s.fc«jw ? jl.A,
poilTon.
K pour P.
Delà même famille que .Spècto, *
84; D E L A L A N G U E
- TonfîMeref l'fes' Grecs tranfpoflnt I
*' P & C ,Érent :
2-KEnjo/ac« ,-SKEPTomal ,XOTllidé-]
• rer , règa'rder.
2-xe/»^\^<>::,i-0. ^’ôji;.examiij%^lféèûi''
1 yfetian],: rpnopo^tiftp» s ‘
2-xe^iç , b , contemplation,, infpefrion ,
çonfidération ; a0, (libération.
eximinateurj, ,.qui ‘cqni?.i|
•. dere ; z a . Gueti, féntinelle,'-»W
S r xottu ■ -m a , ,,h , Guérite , lieurd’où l ’on
. .obfërve. ,,
2 -Koffiiirxc , examinateur- ; -qui va à là
■ déeduVerte. 'J
2-Romafa obfèrver ; faire le guet.
S-Ksjtéu , être apperçu , être vu »..g^rpî-J
tre j z°, voir , confîdérer ; 3®. reEécbir,
examiner.-
2-Kgmvu,,'ètçe vu ,' éxaminé;
2 -Kcwmgs, .jip-’on. ib propo/e. Bout jhéte *|iï
1 SfKorfs^s., i , guérite , liemM^yévdjOÙ
l ’on voifeaifimn. {'t
■ 1 E
Cette famifîei ^èdt; du4 Celte 5^4 ,
vue jConfidération, ouverture. De-
là vint encore : -
snEoî , eos, to., le Specus,des Latins
, antrecaverne ;
. oeil ^^quyerture.dansJa .terre. r .»
St, SiiHrVa/oyv.To-s i ^ f elunea desvLa*
yiésîi-civea>aq.ÿ#antrei'j' grottes i r
SrïnAatiftu', .petite Caverne..
M o i. s,
,oîv S; arété EubfHtuée:.à, Z.
Z défigna conflamment l’agitatiofi ,
le mouvement?., les eaux leur
mobilité ; mais- le rapport dé rare
G R E-Ç Q. S 'Ajdujtéé. 84^
‘léfitre aVec S, fit- quls^élle-cî lui
enleva fouvent des -mots'qh^’ap-
- partenoient à, la lettre Z. Tels, ies
‘ -fui-fans/
î;
ïVseim , agiter , ébranler , émou-
; voir ^ l^»ier.*ÿ, h':
^ ébranlement j
fecouffe , agitation , commotion,: ’
: i. XEixTpoy , fiftre , înfl;rument cont,
| püfé.dolames' a^iram qu^on agi»-
loir,
3 .'2/suî poelè Mans laquelle on fait
1 " frire des mets en. les remuant & les.
failknt faute! farismèflê. ''
4. x-ÈTÀ,Agiter'1,^ébrïtilèr/fecbuerlî«
L * ^ à n l u i v r ^ l j #;,ldfcfettVe en-
j,- Ïüitë4 ù-
|y. 2TA»TF,''fôîi^a1iiV'Kvéfê^vfteflh: T"
.6', 2H©» f.- ?^i?IEL&Iér'5 yan'^rT?^
2nïr<s, agitation d’un crible.- >
j SuSpor , crible; U
!;7. , ievqpuer, agiter^é^ôuvo'n
: e tr.otabler.-i
! s «:W?f,V:.gueu;S|^làncpï, piquet
r 2 xvyg$Ï£l2 a,Wf,s , fou. %• ,vl
5. Som^mettre en fui t e . .
K S obcjs-, coiirfè..
I Sww , faire courir d’un pds.prépipitc.
[ ÊMÎpVfTi Vm'oyeu de la roue , fur lequel:'
- nepofànf-îès •baÿ'bîlS.ÿS'î
i fàï& Ç :
i; SION-, to, berle, plante^iaquatri'c^ie..
j . .
sriA-ms-, oyoç,,« sr.Maçboire, men^-„
j t6n.'/ I