
enveloppe le cou : z«>. bordure de
chemifes, d’habit : j°; forbe/ éf-
pece de fruit rond,
2. oi ai , les B o u r g s lé s yillages :
dans Apollonius , Argon. Liv. a.
Les Yillages étoient bâtis autrefois
en rond : ils fûrmoient des
enceintes.
ï II.
, O défîgnanf l’oe i l , la vue.
ï . » eôTroç , c > ôeil , plur. wrtç,
yeux : zo. vae_,,face, regard.
o$-©AAfiûç, O ph ^ thalmos ; ce mot
eft ccMnpofç d’O, oe il, rondeur,
& tk a llè , briller : mot-à-mot, les
ouvertures ‘ étihcélantes , brillantes^
©4«, tt>s, », vue, adion de voir; i<!. fpec-
tacle ; 50. apparition , fantôme ; 4P.
mafque de théâtre , pcïlbnnage.
©bs*s, les yeux. : '
'O^avin , vué. I§
O-^éia, délirer de voir.
a : o®Ma, t°-. fâèe , regard
: 3 ®. fpedtacle.
O tJ.fJia.rtov , petit oeil,
.Oft/icajota , rendre là vue. (
3. on%pmy voir j appercevoir. ^ir
onisp , b, qui regarde , ■ qui fait fentxnelle.
onioe.05 , qui lêrt à voir.
©p'Joî^ qiton voit.
OnTarw, voir, ailcerner.
QIllaLfftaL, », vifîon. ~
OHiTrleuu, regarder^ ïhCpe&er, ■
omtXaç , oeil, en Dorien.
On-flSl», regard.
; Qn-ÜWI»loj> lentineUjS.';
4. o$-®tiA(ju*oi, qui concerne l’oeil.
.Oç-QaZ/otpior , petit oeil. ,
O<p-0«AM' a , maladie de l’oeil, à
0 'ÿ-®akfxi(f,tti> avoir . mal à l’oeil.
5. ©xSeï, osïodr^.To jjÇeil,
, OSSo.itai , voir , appercevoir ; i°. con-
fidérer.i
z.
r. ATr», » , Augé -, éclat, îpiendeur,
lumiefè.;
ATra i, les yeux : de.là même ^Famille
qn'OCulus, oeil.
Auyms, brillant, refplendiiîàntJ i l j
AvyaÇu, briller ,, éclairer , répandre, la
lumière ; i°. voir , apptrceyoir. v
AvyàGtia, rô ; •■ yua/jifs *, ê , Iplcndeur ,
éclat.
2. o,xr», oiTyu« , ouvrir.-
AN-OTru, de blême.'
3. AN-nr«1, - 6gé, perfuadér,
oonfeifier , exhorter ; 2®. commander.
De o© , oe il, 8c a n a , furf-;fetfn-
■ duire l’céil furHin objet.
AN;wy«w , de même. " |
AN-ar» y-Arw%is ,'èxfiàrfathih , ordre- w
3-
r. o i n , o ié , mot: à-mot^ ; êtrevoyant
ainfi ; jetter les yeux fur : foup-
çonner : za. penfer, eftimep , pa-
roîcre à foi.
'O n r c u ,ü paraît.
Oituu-a., ce qui patôît à foi'i oplfti&ii, jugement.
OitiM-aTiov, préjugé ; 1?, inlblence, pré-
lômpfion.
, O/irVif, I) , opinion , ce-qui parüît.-
i 'î qui'penfe ,'qui'opine.
Oi»fiLatiasÊw, i , fie r , infolent vain,
préïpmptueux.
z. oia?,-fîdmfie > a°- jporter | ®|p-
■ porter.
O 'îs s , tolérable , '"qui peut ê tté fuppor-
té.
3 , ptç-o;,, ^vow», flèche , dard, t'faït*;.
ils font toujours comparés aux
rayan t, aux traits de.lumière.
OirêuA«.oe, de même»1.^ '
Oirsyrsy“, é, Archpîii Sagittaire, ,/V
OiSivu, lancer une, 'flèc'fie, un javelot :
>përcer d’un dard,
4*
oinN-ûc , Oionos , oifeau ,
fur-tout lès grands ô if é a u x le s
' 6Îféaux de proie , à càlffede leur
1 apparence : z°. augure, prelage ,
ï parce5, qnvin les rifoïe de1cesfoi-
feaux.
Il fe peut même'que cette figni-
fication ait, été la première.
Otwnms, augurai.
, OtàviÇvjMu, augurer, confîdérer, les pré-
• iàges^ïe vol des oilêaux.
CXiuviffAta, confîdératioR des oileaux, pré-
1 fage , augure.
Oturi^|>i,6fj,,,-fbùfCé de-prélage , fîgne
dont tbn tire de^ prëfegSs. ’
^f)iuriçb£ ji augure, àufpice.
Qtwnrtxpèy qui coRcernedes aug^^s,,
i,Ÿ 'l >
O défignant le Tems-
Le Teips étant marqué :|«r -lesite^l
volutiobsdu Soleil > oeil lu'mon-*
de , en prit lé nom Vde-là diver-
lès Familles.
1.
iMÇyoç y r o , année,
z. A^«*i quand.’
3. h A « , d éj à.
4* Erra, enfdïré.‘F;
Voÿ. ci-defliis, col. 3 30.
z.
eTï , encore ^ dan^ee moment ; z ° .
: d é p lu s , davantage ; 3?. âujii“,
C tnemEv -, <
Il a de^,cnmpofés affirmatifs , en
, Pros, ' de des coifrpofés néga-
'ttîr’s.èn Ma , m l, lies avec éti pat la
3‘
v ^quand > lorsque : zo. de même,
ainfi , ,c*omrne., j
4*
0 Avtrta t être enflammé de colere,
’ Mpn devenir foüge.
Ce mot peut tenir à là Famille
' O , Soleil j ^enflammé coromë le
■Sotè’ili
, 5-
b isfr, a, à , noeud tf arbre ; ils ont la
•. forme -d’oeil :z^. (En , ou endroit
d’oùJbrc le bourgeonné la vighe
i , & des arbres fipitieis.
:<■ nQn l’appelfe aufiî ^ix, en Franv
v\• çois. De-là l’expreifion tn u r en
($ƒ£ , ou inférer u.n* bourgeon
1 M H