
7is> D I C T I O N N A I R E
leur de feu : il èfï roüx ; aufli dit-
on la Blonde Gérés. ;
Ilupivos, de frément,
îlu pm , de même.'
ïlupilns, de même,
ïlupuaws , mûr, boh à manger.'
ThifLfJLO'ji efpèce de gâteau de froment
avec du miel.
HupajU.it, jcfos > b , gâteau.
8.
n-TPAM/î, voyez-les mots en P ,
venus de l’Orient.
P,
Bouche : Pârôlé." f
De P , qui en Orienta! & dans la
Langue primitive fignifie bouche*
vinrent nombre de mots,
i.
i . E-ïlu, parler.
E-ÏIos^ «os, t4 , parole » mot, difcours ;
z°. chant héroïque.' '
E-IXi/Jiior', petit vers , petit mot.
, i , é , éloquent.
É T Y M O L O G I Q U E 72#
| ; E-ÏI»7u£ , v»s\ i , 'éloquence.
J É*ïïïïi*. Poés, paü'èr« -,
x. , e^ îim , dire.
j E - f ia ,'é y j e u , entretien', palîe-tems.
} . E rt«,’ fràitër j 'a'gif ÿvôpérér' î ap.
1 fuivfè','accompagner,
i ÉwojJf.1, ÈJepgmai, ‘ fe è fiât, ' àc'CÔmpay
g gh'er , eorrefpondre.
|4 EirsTnt, luivant , donvefliquequi accom-
1 pagne.
> Evehs , ê,fiuvante , Dame de compa-
. gnie-
| Ces ddéés^nt liées à éeiles dé'attls:
, j cours, d’entretjêh. •2. i 1. 0<p, mr»t » * , voix.: i°. chant.
2. n a s , rd s , comment f Que dit
e s - v o u s ,7
O -IIuî , comment î Combien? ■
ji n a -raN , , «, Pô-gôn , barbe;
de r*y, qui vient , Po, au menton,
autour de lahouche,
nOÎ-TWias, barbu.
• Iïw-Twri»f»ï , de, même.
D I C T I O N N A I R E D E L ' E N F A N C E .
P
i . \
Iîathias , « i l , Papa, pere.
Xleonra^M , appeller quelqu’un papa.
lïoerari^ML, de,iqême.'~
Hamriai, TlamrtiPiov, papa , petit papa. .
ïlojraos, ayeul, grand-papa ; 2°. fleur de
chardons.
Tleamuos, d’ayeul.
Hatnrjjcuî, de même.
'2.
i . riA.THPI Ttpos & rfcç t Pere ; 2»i
Auteur.
Iïalfuos, paternel.
Ilalpuisf, de même, •
liai finira. fervir de perp.
UaiTfixos, de pere. . .
Ualfios, qu’on; tifcntjae le s f ères;
Jlntyiwj« , fe çondukc comnjc fes pere».
Ua.\sçwr, , P'etit p*ére. 1
2. HATp/c.^y V- » » Patrie. ,
n«.7j>iw7«!£, * IJ i » patriote., compatriote,'
naîfa'ÿiM ; même .que Palris:-. f ,
Tlalf.ta, as, i , famille ; t* . Tribu.
, TL/lfws, gégl o>, & vos, patron,
ilcjpwos , k, 4, bcau-pere.
?•
1. A-n$Y2, apphus , Pere : on dit'
* auffi :
Airtpa ,rAff(]!,fo!ry Avtp».
2. AUX«, ôrjér , comme les enfans y
rendre des fons ^ re ten tir..
nnuu , de-même,: ,
Anu7*fy s, I , Çrijéùf ^ Hérault.
4*
i. nais , ireufoç, ô , », enfant, jeJunet
: gaVÿSB^feu’nè' filfë ; (2Ô, domefti-j
que : ’jo. fils !Æle.‘ -
Haia^ia,' n , eirfanGC.', '
UatJ'uas j— , d’enfant. '
n à ^ ’iôf , petit enfànt, petit domeftique ,i
M ; garqoà, y.alet.,
i jfâtl'io'wi.sdiminutjfe,!^-,; ;
, , a^parteraen t dp esifp^b
naicf'KTxapio, j,pqtÜC fille ; pigrres
17,,:dss tillçjrans.
Ilaid'i'oî., enfant..'
z.-riAiAtu» , élever, inftr'uirè : ; 2*.
corriger, çhatier., ,
ITaief'eioti inflitution ; i*. .doârinèsj,|en-
feignemeut ; 30, 'éducation , art d’élë*
; ver ; 4°. correôidti.
u Tlaii'evfJt.a, ce qu’on enfeigne.
IΫiM<ns , idnrufflon , (Eiciplin'el' **
' Tlietids*V'Wjsr, céTüi qui êlêvl ,-
^ Précepteur,!Go8v6rncùr, Maître, Doc-
teur.
HattPeirlafHrv , lieu où on élève , où en
'ihftrùit lès enfaiis.
,IIai<i'su7o j, 4, infiruit, Tarant , érudit^
bien élevé. ■
i-
1 . îiaÎèZm; jouer, faire l’e n f a n t 20^
ra iloe $ plaifanter.
î-i ï&iÿ/. 0 $ Üfv , je u < amulé^
ment,-
IlaixTsr, f .joueur,
naiîijcocjiquï aimé à jouer,
jljétli -,.
.qui aimé àr jouer.
■ ^ ; Dc-U ,, Bàÿn'éffeti^K ?
2 . rïÀiAe/«*ç , jeu ,iam»fement #
tout ce qui fert de récréation. HQ
JlaiJ'iutfre, quün’aimeîqu’à jouefi ''
6.
-ïÊÈtÈfë-jjo y pou laift pépt4. » uh che-
' ’ Val : a ü ’fîgur. jeune garçon , g a r -
■ "."çorfnéttè.
’ 'TlùXixos , de puuîaifi". ^ A
nuMuM vdomptet'.dè jétines poülâîns ’, les
former.
' n'Jiêüf/f, n«A.6iq , art de;jes ^dompter'Ç
de )eb forhaea, 1 * '
, ' H«ijurjEg£0£ ,,habile dans ceït art.^’ ’
| mot, petit poiflbn.
S.
1 .jÏTa ' s , le' D ie u 'P a n , le P e r e de la
Natale U n iv e r fe lle ,
f e i , ri<^ * tout ;a ®, uniyerlêt
riarT», entièrement. '
x Tlarluç, tenté a -faié. v.
nÆrTd^sv, de par-toüt.:-
A a a ij