
cexxvj D I S C O U R S
Gar , raffembler ydes mptsen A g e ir, Agqr , Agur , G arg aîr, A ig rir*
Mar , b rilla n t, devenu M a ir, mer, mor, àmar , 'qmor t amàur *
muctr -, amudr j ftiierd , Ttrier t jîriie r , om ir, mermer, éic.' ^
Pat , pied ; pedêt p o u f, pe^à. .
2.
L 6s voyelles, coarinuelkmeait -n^lé^s ^»d’AdÔ ;, andanô : ;de math ,
manthané ; de Puth; Peuth y &C Punthanomai.
Les voyelles fùpprimées entre deux coninnnesTde Bel ,~Blepo ; de Bal-
lo , blima ; de Bad -, ïbdês : de Genus , gnathos: de Damaây :
de Tan , 'p&ÿs , Aitnaïés yefhnos, othneo-s, qu*on avoitttôris poftt
auram de radicaux. De Tala»:, tlab ;-de Tamô \ Tmao
I G c l^ G L |j|
Les voyelles fàiis çeflè ajoutées à la tête des mors ide Gad, bon, agathosi
de nom , onoma : de d en t, odontcs ; de Cal, a^gêlôsfid ^^iipK 'w *
gelos. ^
ScuvénrcésvoyéHes ajoutées fervent de négation^Gela eA-Erès ramîuljipur
A rmais nous avons trotrvé beaucoup à’O négatifs àlatêtedes rapts*
| Des voyelles mouillées} araiî de Pes, picfi.
. Des rédupUçations continuelles, D i-D um a s : di-démi : di-dafcrf, k i-k rà ,
bi-bcmiy T i tuf cornai, Gi-gtiofcé.
Des voyelles redoublées ; d’Er ou H e r, prmtems, E a r , eiar -. de-même
que les Anglois, SIanh , terre , font eàrthi ' ’
L’afpirationfàns celle adoucie en § ^ -e n ii^ ;pU ;|ih ^ ^ ^ l^^p^qr hUs a -
fdtos pour horos : khamai pour humai , terre : mot que nougjavqns
rapporte à hu, Peau, trompéi.par le Latin Aa/ni l mais Ha iî&y terre,
doit tenir au primitif Ham, rouge, qui a fait léguée AiMayfang.
On fait que la terrej le fang &T.homme , furent tsujdufs appeljîs
du même nom',- & en Orientai D a m 4k. Adam ,■;ikorsquî peuvent
tenir à la même famiïlte-que le grec Aima A: K-ham ai,
IP ■
Le;sCoNsqNNis^ppt.pas éprnuyé «teins de-variations. ....
On les voit fans ceflè ajourées à la tête des mo ts, telles G K , Kh ,
‘-ajoutées devant-!,l?m , n , K->na4 , JLh-toa_ y#zc. T
ajouré comme a ttid e t .T-c^/râi, T-uphlpsy T-fdgà deyantN,
s r
P R m m ^ ^ ^ aî 1 R E. ccxxvij
& L ,o u même ayant- des voyelles, daps P n e S , ? -lu n é y P -êlo s, Sca
Najoixtétxorfime négation; dans Nèpenthès, N-è(lis ■ né le m is, 8 ccj$
S ajoutée à 'une multitude de fn p its^ d an s/-é :^ J f-kambos ,/-kethros /
f-m a ris > f p ila s fj-p o d o s, !$£c. "S
Celles d une meme touçhefubftrruées les unes aux autres dans une même
. famille ; A p tS , Amma, A p H , A ipfit : la famille AK , formant des
rqots en A ïk , Akh , Ohh , jfg \ la famille Ad Jf devenir A it , Eth ,
e d jb lfi. f
D & Z'fubftitues (ans cefle l'un à fau tre : edos & q o « / : duo & {ugos.
D &L ; Balaneion de Bad : D a c -ru y pour Lac-ru : D a -p h n i pour La-
phnê.
D povuE ytandroé, .d’anêr. ....
D attiré par R > dz murt rouge, mudros> fer rouge. ,
D pour G ; D i-m ü îr , Cérès./.ppur Gê-mêfêf; 'Sidiros, fer 5 AtSegerf
métal.
Th pour Fj Tker, même que le latin/eraj le Thicr des Allemands. Tfâto,
, meme que le latin
T polir:.Q; TV, même que ya« des Latins: T is , quis : Teffdres, quatuor,
T & S , (anspefifefubftitués l’un à l’autre: Télia Sç Sêlia ^un.Teau;. ^
T , S , Z , également fubftitués entr’eiix, “
T , attjréà« la .fuitede P , dan { ju p -t -d y P u lp s , P tu 4 ,Pt4kKos., pto-
/ « , &c.
G , K , K h , fùbftitués (ans ceflè entr'eux, G ar, & Kbrux ; ce n’eft point
étonnant : ceciCl|eft plus. ,
P & K on Q fubflitués lespns aux autres. Puamos & Kuamos, Hippos
& EquttSm ;
pour R , dans Khatkos , airai«.
pour N , dans Méros , fou.
Des tranfpofltions aflèz fréquentes ; Mor php y en Latin forma : Okhlos,
en Lat. F'aigus : de fore, Sphodros.
Et ce qui caraétérifè fur-tout le Gréé comme Dialeâe Celtique , ç’çft
que tous fes mots en X & en Pf, s & % font l'effet d’une pronon^
dation qui lui étoit propre, & que ces Peqnles fubôituejrent au AA |deS
Orientaux, ou à notre C h t Ec au T f de ces mêmes Orientaux :aïnfi
que les mots Grecs en Kh ou % , 8c en o, îông ouii^ ne font'que des
nuances dès mbtÉ écrîcS da4isfeyffitfçs%angues p a rO 6ü-par K Sc
Q , ou même par H , prononcé CA : ^adècce rqae Jes mots compris