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4. .AE^awsS j,. H a r m o n i a , ^ff?igl|lageî
, parfait,., jointure , lie» ^ ^ .„ b a r-l:
monie accord, parfait. •
''AFMonxo$ j harmonique : JVtülîcîên qui'
concerne l’fiarôiohie. r- ■ .'* i
’ ^.nourrituremets préparé si |
5. AP-^ï^1, Araro,
% ilpîêtition d’^ r o ê& iquLaiIes[
mémes^fignifications; ta t
• AP#r ,'HP*î en compofés ,fqui cil' cenye-
nableVjoint j viniJadhêrant.: 53 '
-'noh^HPpr' I qui plâlt iffous. '
Ei 9-HP1K, qui porte1 la main à l ’epceV !
^T»|-Hpit£-f qui cfl îrmé d’urnarëlSidè fié"?
chcs. p
d»-«î>pixtt'y Aitik&s y panier■ , cor-
' ^ !tréilleij i -
7. APTds), Artuo & Arth;zc>, pré-;
parer, aflàifonaer,mettre fur pied.
AFlüjROE, aflailônnement. |
Aprwnj , aâion d’aflaifonner.
Af7Woÿ,quiiEèr£.à l ’afl^ilbanement. jfc
ApTuIixa Ifegrictaigu
| Ap-rus, amitié. .
'’Àpfwa/j,' Magifiiràri a Argos.
8. ifcW«e/Mi, préparer ^'difpôfèÿ, ar-
V ranger.
9. APTajuof , §Artamps, cuifiniér. ; a®,
boucher , qui fait boucherie.
,10. APT«ç, pain , comme la pirodue-
: ’ tioiii la plus-parfaite de la terre ;
ou comme l'effet le îpîûSafetéréf-
fant de l’A rt de préparer lés ali-
AVriffjm, AptisPwr, petit.pain,, Jpaftille.
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h pai# sdMiinatelot-,
. ; cuit;, .
■ ,-^f/«ii-apToi' • pain en croiflànt. ' '
’T^|..apr»5 , A1“!* > mafadrmot ronge-
paiij. ■
| : ï f ■. APT/, ÿlwffjiSMMfaa qu’unipf-
târït, en dei^ieriliem^Tïaot»à»moI,
4i Renient- qui •tèéslre^a®. main •
tenant. Avec la préptjfîïidn Apff,
dès ce■ mpnjent. ' " •;
j Mot qpiqn qaett^it au.rang des
Radicaux & qu’on ifoloit de tout,
comme s’il étpit renfàn^dh hajard
& fans famille. ,
ia. Àpïieç , npmhre » 6Pl%rî
* parfait. ^
AprioTnj, in^égritéj, en fbn entier.
ApriloiTMos^, jprde, &âj ou non.
APT/f® , Aniço , préparer , affçm-
' '■‘■ bler.^pindré^p^^pèpfeâiÉmaëf1»
•achever , mettre la derniere main;
3 *.• rêtetfr^r^rètSblir'cfe Çài'à;^P:
càffé , ’ Briîe^^comTtto’der .un
bf^îéun^(^i.fe|;x;-,
Aprioÿ-en eempo/é;perd (à terminailba.
Apn-ffsî, qiû'Pjî^le b,ien^gian|j'gauç.j|r.
| 13. apon , Aron,épiante bulbeüfe,
qui croît dans-le fein dé la terre :
de-là foii nom : il èïï'également
Egÿptiéri. Pline parlé fort àü long
de cette plante de de ;Jfes, qi|^.li,tés »
'■ Liv. ,XlX./^, & ^
14. A , laxforce:,’la vertji.
] ,,cpufage, au phyfiquç & au moral
}
14e D E L A L A N G U E G R E C Q. A R 146
rat ï^un
paysr,.ÿ‘urte.^tem:.'_Ce n d t‘ tient^à
l’ié |e générale d’^ r , élévation,
forcée & peut béryl» a l’^déeuparti-
culiere Yd\A ï o , ’labourer., remplir
le trai&l
Àptraw ..être .héutieu^^ifîlatVRtta.'i. ; ^
*5. AP^/^oÿÿiyAtgilas , Argile. Ce
mot tient? à Ar,|ÿ^we. 11 pciic
a Voi r.d urr appor t^JMfg&s ÿ bla n c.
ApyiAu{f'»r>i-a<rgilleux, rempli idiargile.
flï
. AWmi y Ardo , fournir, à bôlfe ,
f abreuver-';1^0. aiifofeF. ;
y- tewjpgW ! d?ean«itf»!
lieu où on va.|uifer. lîcaji.j ,3°, ar;ro&-
Afiffîtov vafé pour abreuver les trou-fj
iJynÆux J auge; ' ”
35^!ftaôi ’.‘abreüver, arrofer,
ArâU , ordure «fiiùiflurèi s
Apy^fi^gui^inal;', ’ ,
Afu^asRwiç j fouiller v làlir.-':
III. AR, Air.
AHPiÿ pot, AÉ.R., Air. Or. Lat. 73.
mot'.Orient, auffi : i®. fouffle, rëfr
cpiratiqrtVv
L’orMne de ce mot intrigua
'"fort Platon . cornme on voît 'dans
1' ion Cratyle oîï il en donne j>lp-
' ' lieurs étymologies plus ingénieu-
fes que folides : if en Y,cherchoît
Torigine dâtis la Langue' Grecque,
' fans s’apperCevoir qu’elle venoït
' dé Jdus loiii. ,**
Orig. Grecq,
A^pi'of*, Âëfieni
, AiyipîA^^ënien ÿ®, fréquent , abon«'
.liant , im.me»fe,
Aspuosvfermentatiqnj, air qui s’échappe
• par la fermentation.des vents.
I'A£j$& -, être*d’air, de nature aerienne ,
z» AHpiÿ.iA*!', 'fe' prend en Poéfïe
f'ipour le IçemVi ,G.ouÿert teteLfeur..
Mpta >• en>.Eolien , o.biiûri’té... ■
<É£pW<$$CU
, Aspojÿîji ténébreux, o’eff
^ans
f'Hspio#,. .Aaiaÿ; L i l i a n e ' a ë r î e n , qui
I. vôl'e dans les airs,
• iL ’
AR Lies A^éiaur. •
’* "ï. Per. 0/ÿg, Lat.-.j^pÂ
MaPHS, Athùr ®j|ffIpionçpropre
’ JeffF, e Rk^n’dijs que- lé$ïE,tyiiiïéîb'iï
gue|onciiu qu’d'lepî^qîfeqàe mé-
î. tan banque ; amâm ils Liouilloiend
-'triut.:> z°. it;‘figûïM9ënfûitevc®ih&
| ''bit,guerre', 30;ppfs'ftar^ àars,
lé Dieu 'de la guerre ; 40. enfin f
au fig. la mpitj lercarnage, la dèf.
îruétibii.ji,
ApÉ(i3i):belli|jueux,martial,de Mars.
Aptiwr , plein de courage 2?. meilleur.,
préférable. ,,
Apirrar} ad'oÿ , /.Igucrfïere,
X. A tH i» , au.fec^ ^rs
.aider, dans les combats, fecou|L ;
jiVrçpouffer la mort.
Apayur , défenféur.
Apapf ; Apw-}-«, ftcour-s j proteÆio.n, dé-
■ feriièi ' * ■
K