
H â k G 3' 3^*n-w.na, j k f h a ,jR m
*>“1 , dar , qui habité, tfà’3D , Pc -
nim, face j & mofà-mot : «• Qui
» eft toujours en là préiiçh<|j§f|du
» Roi »a
iz. SA$»f, wç , o, « » vrai, certain :
a<>. manifefte , évident;
mot-à-mot, qui porte fon.coeur
fur les lèvres. c
Saqia, certainement»
Scttpuç, clairement, ouvertement, fans
fard.
2a<p£u, manifefter, déclarer.'
Sdqwrss, même que 2&<p»ç.
Soupvraa | clarté : ■ i'î. expofitioir; jo . dif-
cours clair , -lumineux. '
■-■’■S Ê. ï
z. Shü» , SipA, pourrir ; faire tombe?
cp pourriture. .
l ie l’O r . riDD , Saphi , confur
mer perdre . détruire. ~
Smro/iai lè pourrir».
2H Y ,.5roj, h, ferpent , parce que les;
parties qu’il mbrdoît 'tombbient cn pour-
: -riture.
2 » Ÿ « ., tur, b r pourriture.
SsxsiJW , oros,., ». pourriture ..putréfaction.
x.SAUpog, S , p o u r r i , qttttom.be.en
p our r iture .
Satpof ., de même ; i ° , fané , gâté.
SZaSpou,, faner. détériorer , ôter les forces.'
Sawpii'ù, fentir mauvais.
$, Stffbtt , la féche , poiiîon
qui noircit'‘les eaux pour échap-
'pe'r à I**ennémi«'~ J
2*jriJW-, ri , diminut. --
4. '2^^, »rue, i , Jteignf , ver qui
ronge les étoffes : en Orient. DD.,
fes.
S L
Sibtaàa. , j? , Sibylle ; Propfiés.
teffes de l’Antiquité , fur lefqoelles
on a débité beaucoup ■ dé; Fables
*on n’a pas. mieux connu
l ’étymologie de leur nom ; celles
qu’on en adopnegs n’étant queues
rêves creux.
Ce mot s’efl: formé, de l’Oriental
,Jîbal, branché : rameau.
La Sibylle tenoit en main Te nu
me au £or dont parle Virgile ,
qui’ ouvroit l’entrée des Enfers „
& celle des initiations.
I|1CùxXiS’ai 7 devifts.
SiCbAÀaii'w , prédire, rendre dès Oracles*»
z. 2inW i ai , pendans d’ôreilles ;i|
zo. mtfnnoiéiûu'fiéle : 3 0, noté ou
gÊ chiffre. De l’Orient, , foie.
3«21 a» , grenadier ; z®, fon fruit,
ou grenade.
Del’Or. rw , shit , épine, parce
que fes branches font épineufes.
2/Arâ^vécorce dé la grenade.
4-. 2-IAHP-6Î ,'04 fer» | É
On n’avoit jamais* pu découvrir
l’origine de ce mot, parce qu’on
n’avoit pas foupçonné que le^Eà
avoit pris ic^-bJ^' place du G ,,,fujb
vant l’ufagedes-Grecs.
^’ejftjtëÔrient. *UD , fegar, mé- *
tan z*. ouvrier en fer , fôrge-ib
ren. i
( Ei'S'tipios-, deifeùj‘y |t
2 i^»pixflt travaille en
I Sirhpiov^i ouyrage en
2iJ'»p£uu y forger*,-travailler enfer. ;
2 icT»p£ior , forgé , 'Boutiqü'c de ceux qbig
travaillent en fer, '
2 i<J'*pi>f, Dor. & Eol. même que 2 i^#poî,
fer,.
y. 2 ina«v , eyos » » , ‘linceul >î4ï® î
De l’Qr. piD,, jÇadin, linceul , j
drap, lange.
é. 2iNWlf, mç, v» r le Lat. fin agi ,
- fénevé, moutarde.
. De l^Or. 1© , Jen~, dentTqui :
aiguife. La, moutarde mord & ai- \
guifel’àppétit;.
..Sircwriff/xos, Cataplafmc de fenevé", a¥|
- moutarde.
7. 2ïn« , nuire, blefler, pffenferi
X'Wrrns., ê, nuiflble;
Sirrwp , S demêmei
2 INos y.ïos-, ri-, dommage-, perte, aâion :
de nuire.
E i r a p o s , qui a été bleffé , offen fé.
S t r a s , a j 'o s , b , mal, efFenle.
2ins , 1 d'os, i , homme qui n’eâ occupé
’ . qu’à“nuirê.‘.
De l’Or. , shan , mordre , dechi,- .
rerV|Bü y.tsKin, mauvaifé odeur,
méphitifme.
G R E C Q . S Orient. 8«?«
s
Ar2iK» , h , plante qui s'entortille
autduï dé§_ autres - fans leur nuire.
A , noa & nuire.
A^itï’èp»^, to, . abfinthe , plante
d’une extrême amemime.
8 2lFfuoy, ^tfljiguifc »
v Si pi vp'çpï jde' même.
De hÔi|,HtV"i’© ^épaifllr les fucs».
y. -ElXùç, o^bl^i .
■ De l’Qr. ' “1 tK> ,,/Éad, champ. .,
^(rJKM./.cnffrojneot..., t‘.
S ituit , uros , i , champ de blé.
2 iru , noml&.Êfîjes en Sicilien.
-Sirapiof, grain i°, graiftr
211(0^ ri , mfetSjiprqvifiiMis. .
SITjü, nourrir ^„naître. *, s
2IT£o/aai, manger/ï^n^urrir.
2lT»tfKv$!,' neurrituté.,
’ffiIT£ui^f i _ *
SlT£url)S>', <6 ,'engfkSl'é. ^ *'
Sln^w, même qlue S i j e v f f , ‘ t
ro. Sianaw 'Ce taire garder le
^filèndè-.ü
Qèll Foppqfé de l’Or; HSur, remuer
lès lèvres, parler.
2(U7ti) j , lîl'ence.
SiurrnAos, taciturne.
SK..
1. 2KAMMMy/££ , *Pr 2K*jMjU«y/«y ;ï
S ro, feamonée-*, plante qui donne
un fuc gommeux.
Dé l’Or. ’DU, gummi, gomme.
z. . 2KCKS «T« , to . » excrémens.,