
2 <s7 D I C T I O N N A I R E É T Y M O L O G I Q U E 26X
-là même Langue zamett : de-là
le Grec :
ZEYfos, to ,& .ZTF«g* Zeugos &. Zu-
g o s , joug ; mot-à-mot, » cç q u i
» lie deux boe u fs par la tête ; 2°.
» paire, couplet ,,
• zE rro , zETSü, zETrNuw, & zet-
. r jfS p i, Zeu^.Zeuxo. Zeuemiô » Zeu-
g-numi , lier » mettre feusle joug , joindre
Unir, OnTappliffte-aux ponts, au
mariage, &c. -
ZETrAtoe, 14, lien , fiaifon, jointuiei ' ’
ZitgtS , aâlon de lier , connexion.
Zèuitloj , qu’on peut unir. -
Ztu*1iipi«y lien * bande ^ tout eé quifert-
à unir, -
Ztuyapiay , petit joug.
ZtuyXti , le joug des boeufs% lecolier du
jougrt0. la difpofitiqn dans laquelle une
armée extrêmement ferrée , marche
en un feul corps.,
z.'Zuytç, balance ; z°. la balance çé-
lelîe,* 30. la courroie d’un fouliër.
ZTrowffenettrc lousle joug; a«, joindre ,
unir.
ZuywAtù, ce qui joint, unit.
-*2foytftfyor , ce qui unit les deux battans
d’une porte.
Zbyu^pi^M ? fermer ; pefer, balancer,
examiner.
Zuyiog, S, h, qu’on peut mettre feus le joug.
ZvyiarK, né feus la balance, r
Zuyaçpo?, cadette , coffre.
Ziryif , ferpolet fauvage.
~ D*,
L u m i è r e , Jour. O r. L a /..f 17 .
D , figp ifiant la lum iè r e , le jour ,
d e v in t en Gr.ec com m e en L a t in
-, la fburce d’une multitude de mots,
z.
D r , Jour' ,, ,
1. EN:A/s>, En-dios méridien ; qui
fe fait à midi.
Er-.Aictù, être" ;à midi, fajÿe, là méri*
' dienne, mot-à-mot, en plein jour,'-•.
2. ET-Afet t aç, H, Eu-dia , un beau
' jour , un jour calme êeferein ;■ z®.
férénité de l’air; ■ï °. câline de l’air »
de la mer j 40. chaleiür. ’
Esdhos, ferein, tranquilles chaud.
Eu-Akiw , jouir du calme , êtf e tranquille.
Eu- Ataios , bondon de caréné **ï®. fîllon
de ÿétjus.i - ‘Tqv ,
Çes mots ,"donc la fourSet^^în-
. connue j ’Vienri'ent de Di, jour0 en
■ Qelrfque , ;d’où^iJ/ejf|!|y é|J un
mot Grec qui fignifie ion, bien.
. 1.
AAi'ç, i , Dais , & pàjc ijynco pd Actç ,
d u s , flambeau,,^qrclie; z°>,copaT
bat chaud,, animé.s jfi
Aataj , feu-, lumière, lampe,-5
Aouri;grand Jlambeau , gralTe torche .
c’efl le dçs-^l^i.f, 3 j
AcuofJLau r hrÏÏlei*, enflammer iM^nüîcB;
AaLttfoç , chaud, 'brulaht. - v fi
A«d'wdV», enfermé de torche.
A’adW, convertir çn torche,.
AaJ'iov, petit flambe.au ; z*. matière à
torche.
z. AAiof,' ennemi.
1 Aai'or, lignai du- combat.
' Anïs, combat,
i Atixoç, ennemi, oppofe.
Auv«wravager par le feu de par le fer.. .
M DE LA L A N G U E
:A»«u , Atrtaw :, *A#ï£w , An'iaMKU , de
‘ 1 même.- .. ■
3. AAiW", ■ tifom
AauMs., de même;
,4;. a a Noç ,.fec ,.aridê.‘
A cevao'r, lès morts , les fefcs;
Aaroix.« , la pièce d’or qu’on mettoït fous
lalangae des morts. ,
î-
AAlO, Daio, apprendre-, êfreenfeb ^
s gné3j 'mdlitré' ; -motY-mc)V-^^ ^
éclairé par un flambeâS ; I
,^der y, incendxef} 3-0. ^dennèLà chai- ',
cun fa-partvipartager , divifer :
dans ce fens, i l tient à D , deux ; .
4®. régaler-, d'onner-'à manger eii •
, faifanra'chacun'farpart.'
Aatiw, de_même. -
. AwM , fevaut ,.'éclairë;j?inflruift !'
Aa.*M-otruv* ,Tcfenca,' habileté.
_Aaio;, inâruit.
4. Dans le fens de diviferi- ,
’A ^ u , Ddi^é, diVifei1, diftribuerL'
- ‘ déchirer*;' 3®. tuer, mettre en
pièces. ' ,
. AaiojULai ^ Aa^iOM-au, Aa^o/aai , dp'même.
Aoil^ffe)’ E.tuyer tranchant }. *<>• puifi"-
nier. {
Aatl^ovurù, habileté’i dépeeer les vian-
- des pour'-les prép.Srer vles fervir.
| *Aoi1>tww » dépècer'les viahdes..
||j: Aaltiffic, .diviüon, partage.
- Aae/Jia, Aao-/zsuèts^ de. même*
, 5*
AE2m;., Dcftos ,. nom du mois qùi
iu i t l e Sb lilie e d’E t é d e p u i s le za
G R E C Q. D, Jour. 270
Juin jufqu’au'.zo Juillet,•môt-à-
le mois^de la chaleur, le
mois oii lé Sojeil^eft au zénith.
V o y du Ca tend. p. 102.
D I , la Divinité. -,
fl. ,
Aiès, Dioj',3 iyin. .
^Aioc, àm. de-'Oieu^ 'dé->Ioù-piter. Au
* ' ffoin.;©E^is^'1 é^DeuV "dès Latins / mais
dont 'ïél G^rlfcs1 éhan^erenînD ’en ( Z,;
s 'ffou>;v 1'
t-ZBTOgîj Zeus , au gin. i, Jupiter i
j • leÆ ie » , oui/le' PeTÇ;jdmJipuè( par,
4 excellenseî : a ü '^ r . l’accufa/.
en Dr, également, D i i , Dia \ z°.
4. * A.
AIaxna ,les Fctès'de Jupiter.
■ i 3^ v';
AlQ-iSfY-Sê;\ Dià'nyfos?, & chez lés
'Poètes Dze-»y^f.,’.,ndfô* de\Bac-‘
chus ', 'le Dieu dés vignobles QU'
jd'e là' treille. ' 1
Aï (-0 hWm pdoftt^on a cherché
l’étymologie au le|n;ieft ün coIhtï
'puj^^e^deux/mots - Gjecs^qiÿi hs-
I 'gnifient. la Culture Divine , oïl le
foiïbyement divinAma.is fpiToyer',
' béchèbiltl eft'déchirej' j'de-là l’ai-
’i-'■ ) legprie de Bacchus ïiè par lé dé-
• ■ ehirement déjà cuiflfe de Jupiter,
les-Xôteaux étant- appelles dés
: cuiflésy
; Aiovveiosde Bacchus, Bachique,
Aïo-vvoivKfT enaple de-Baçchus. • r