
D I C T IO N N A I R E
$AAA0ç, a », Phallqs, fymbôîe dé la
£ J nature fécondante.
« j I
1. 4>EAAcç, ô » liè g e , parce qu’il s’e-
: levé tôujoürV far-Teap. ,Ç/ert par
Cette raiibn/qu’il s-appel,là Suber
' - 'en Latin , Subre en Provençal*
$£A.tuu, fùmager conîmè le liège.
ètJkiraî, léger comme lé
2. OEAAtb;» lien efcarpé de I’Atji-
que » Falaiiê , comme dans laHpr-
■ mapdie. Çe qui arrondi? çqttç fa»
millq.
h
4>lAüpt' ^ as, »'. /Tilleul ,, arbrç élevé
& Bien arrôn®,Il pqixrrfiit tqnir
1 à $/Ao« y agréable,
iiAupûfoî, de üllettf* ,
6.
*iak ÿ , rofeau , canne.
fcAtws » de refean j -de canne.
jj 7 * :
iAeto; i « » o*, écorce , mot altéré de
Thely P e l y peau , écorce.
iAoitttf'« , d’écôrce , léger comme la
baie , frivole, vain,
#Aai|», enlever l’écorce.
#Aoi(TA«î, aâion d’enlever-Léeoree.
4Aoiapio« | petite écorce , baie#
8- .
ï . fbOAts, ifoç ». à»écaille : 2 V duvet.
De la même famille Pel y Poi.
MoA‘S<ewiyby » , écaillée
$>o»s.ixts, afpérités de la peau comme de*
écailles.
T Y M G L O G Ï Q U E *So
% Jpwsmè »obole t.de B a l ,
P?n?l* ,
. ' J'i
♦Ai#, «c» i*» tWfetiçt 4*1*8 Ç\p*W© »
poteau 1a1*, porte avec fes montant
P j°.montati¥dfuné éciMîfe,
ÿŸÆêe V^lr* 8 > Tribu , motyirTwot,
Put y peuple »Té'iPo- r u t f -u i des
Latins.
, feiAtrBS / S de la mémo tribu. ]
i$ti\er:i<fpy .claflêr dans une .Tribjit; incorporer,
.
i-ukar t ^atfon, » Sex£>
II.
<t>TAAsy » ts , feuille.
^hScàeoî ; ivJÀwbr1,' Se féiôlai
iuXUuttnÇf S » i, feuille, ‘abondant en feuilêukk.
iau , pouffer des féùriles.
$uAAas » acPos'l fi , moncéàii tfë'lRrùîiîési
#uAAapi«i', r i petite feuille..
fe/A^ipi<» t*. » feuillê » i*,‘ pçtîeéS
T tes odoriférantes^
$v%Xua., rat, feu illes delaitue. ‘
HE
x. 0QA(oc, <bu\ia,, «..apere, lieu pn>
fond fous* terre. /_
$bktu , hanter les a n tr e s Ce cacher dans
des cavernes.
abtbj>io y, taniere.
fejAaj, a&o£y ti h celle qui Ce cache dpn»
les tanierés , dans les antrçs»
$aknrtif ,t y celui qui s’y caché»
iuAaf« , iukîuu, même que SwAtu.
iuxua., aâion dé Ce cacher dans des cavernes*
p.gî ' D E L À L A N G U
i , VutÆjMii*rô;s tàyçrae ,©q 9» bqit:
. iq.. jpu .
IL Fax rfeégttïfk'. i
«HAoî,^ a P o , Philos JfxpmpHUP ,
faux »Yauflairè :'ïo. filbu..
toutou, tron&W, Âouter.
$»X*t»î','3 , trompeur..,.'
tt#A«/Uaroe , impoftures , tromperies,
■ MdutetieL ■ '
, mai', 3, iflipefteuT 9îi*S figuë qui
, paroît meure & qui ne l’edr'pav»
x.
îiaAsom , tromper , féduife ", âttifér
dans feS filets : fâïfe tomber dans
leipiége.
riaAfUTBf, qui tend des filets, .
ÏTaAsu(rj>i« “CmCihbe dtïnt eti fë îê r f
- pouri leh attirer d’auteefe ji ;;ulàge &rt
commun, dans l’Orient.
.V^ , v
S*-$AAAa, fut. «sAw s .faire faillir, ,feire
v tomber renverler, .i-jXupplanter.î
i°s tfomper 5 féduirfi : fo. çka^b-
ler» ne pouvôif fè ' fëuteiiit r'sjd.
e r f è t , fè trthr^ëf^l^'jpî^éoebfôf'X
' nuire. ,
i S-$aA/ita , ri,-chute , erreur ; a°. faute,
‘o'ffétifSX '
S-qaAjueu , tomber ; chanoeléb. ”^
2 -&&ktfoi » qui :É0S\bè qui eftêoit ; i c;
gliffant i fur quoi on ne peut fè lotiténir-,
É piège,
^S-^nAos, qui peut être ébtdnjéq i 0.;4pais ; 1
’ J!*« oblique. ;-
204 2-^sAaç , an i ,• ro > efcabelle :
petite chaife ; ellepéut êtreTaci-
I iG R E C Q . PL, fèu' ^
lement renverfée : to. banc de rameurs.
’ F ÿ;i%-F 8*y F À i k »
F^ea » lumière,, ,
[Noyi.S,, réuniCronsî ifii les mots. Grecs
! forMa és du' primitifs Pe> » P i » F a i -,
feu , & ceux formés de ce mÿüle
itiôt tralalë en F a ih : :
dir ,''éEinieel|er 19; mettre aa
}<*ur Y plïMitrrÿ9fe o ntîer i : faîrè
’ voir : 4«4- déféré! Vaïfeüfer , rriani-
k fefter les fautes •d’up autre;'
ideapto.-, Vit, vlié ,f^fci5fré 'j prodïgel ”
i f t n s i , t v ( , ô , .apparition , pliaie j i*, ao-
! eu&fiibnï- ^:
n é * , fe'iie;parôffré,J montrera
$ai1a?oMA( j,parol.tre , être ÿu ; i p . imà-
g intf', concevoir 'm&ntrér , £e
lafre-^oïfSïj
ia v jA & '/ iâ t ', r i , pncHomèhè,Tpt3ré »objet
app'erçh ; 2 0.' phifTitome. I -•
$jSi<s^Ala j .ÿue; ’y>, pÇpc.çe ^
_j°, imagination, vixp : $ ». fisntaLfie(
$ a v la f tU '{ 'v s , , i , effiet de l’imaginq-
t îSH, . ‘
$ a v ra tr io S ik o s , propre à fvoir des v t-
iSms 8 fiiïE^qttë .' I
i a . i la S .o t , homme à vidons, ^ ,
» iqui * dëi viîî'éns 'i fahiàdi'^
que,
}.l4*AHiç , 0 , brillant , iplendide j
^.^liirftirie.üSîXW&Às ,TàiM)% m W Ê S t - .
beau : MJ.*Sfccüfîtéur X 'délateur,
qili met'au jour'*les Fautes d’au-
ffaiv
Qq'qîj