
2 - i n m m s , enfoncement du côin 5 a0. !
I aâion d’émoufîer ; 30, obftruftion fu meur
qui s’arrête comme un.$>iq..ci»tre
les parties du corps. 1
fi-P I I
S**ENAoiw 11, le Funda desLâtins,
fronde.
‘ Ce mot ne tient point à cette
raçirae, mais à celle de Fu%,sor-
de j voyez Orig. Lat. 74ÿi*.-yéïiue |
elle-même du prhn. JP , Son ,
S u n , aâion de lier * lien,j4| ef* '
t Les. Celtes en firent Fen > F u ji,
corde, ficelle ; Funda, fronde;
& les Grecs S-Phendonê.
P H A R , F E R ,
Porter, produire..
La Famille Phar , F er ? F r , porter
, produire, fi étendue en toute
Langue , a donné à la Langue
Grecque une multitude de branches.
I,
sep« , -le Lat. F00, porter r com-
.' p o r te r zQ- emporter.; j°. rem-r
\ porter , obtenir : 40. apporter :
50. ravir : (f. conférer ; gratifier ;
70. tenir, pofféder.
Ce verbe s’accorde également
avec1 le Verbe Latin ; en ce qiie
fes teins font formés .de deux autres
Verbes les futurs , du Vert
e 01» j & les paffés, du Verbe
EN-trlc« » p orter ^ t^ î r 'd a n s 'f ie s
- b fâs. 4
$EPs, impératif de ‘çes^fe^e & qui fê
prenant adVé^iiialefeenrV^raifê^d'èn’-
; Stage; ^a«kfpae exemple: i iîl pas
g étonnant que cet jitnpéïatif.ait fait??ga-
i iement lAdverbe Lajin .Fers. , ‘ v
ïsglé&r , qui porte .davantage, plus fort,
- - plus puiiïànt. -
^egraloï , très-fort ; ' le • plus excellent ,
' qUi renSporte fur tous.
$sj>T8£, iùpportablé4, qn!on péttt}fo|éBer,.
2.j^EPerpjij j,, &. ÇepnpÿHtrfff
' #sj>élpîuw, tranQ)ôftër àvec pompe » faire
J fan convoi funèbrèi j
qui*
ble »heureux '3.%-fertile.,fécond,
qui produit en^^fi#àtïêO,r'IVdj7s,,
I tribut *; î*
f t a- y ê^.aéHon de’.porter';7 i®. Ifo®*-’
port, mouvement impétueui j -j», abondance
, revenus ; collation. < 5
,• ai1; JumetiSS I *
4. $oPtvf t tqçï^’y’ Crocheter! rep o rteur
: éoarrôies desBÉiMppB
| ÇQPeier 'r o , cljaife à'p'drÊêhfs\'‘ïrèrère ,
char ;. ■ ÿy. marchandif'és- 'du porte-baie
~$ogtw-, porter miMfii f . !eitè rè¥êfu%e. '.
iofui/ia , rh, ;cesqu’çn.porte ; ce dont on
eft fouré.
F ookrao , F oür üre , f e rapportent à
cette famille.
ÿepjtloç, qui peut être porté ; 15. tpléré.
v djpi/i'dv, t4 j cïpècc d’alun liquide très-
commun,
IL
1. -
4AP<t>f» etyyee , â « précipice> lieu
où
4°ù Fön ne péui fë foutenir , où
; emporté en; bas j ,zo. vallée^:
$%.-tOr,evaflès , fentes de la
terre.
l .
'QAPtrf.a,- f , le Latin P h areu a , cat-
v qüois,.- d
^apsTj>£wr u m , S , de même. , ..
' i & a f i t f i i r , f& diminutif.
■ P
■#Àp«6j, to » elpèce de poiforit fl-eih-
portel ..
4»
■ ixVutÇy ïSàçÿ iMjj ride : elles forment
comme des Vailles , elles fillonT
nêntf le vilàge.
f 7 ',5* H
■ SAP-Â AXoy , « , to , mot-ù ■ mot,
cqnnoilïknce des, plantes: de Mag,
fiabiteté j & Phar..ÿ planté. -
. Ce mot fi^nifiado^c, i 0?crçmtède ,
médicament : les premières con
npiflances d e là Medecine;cpnfif-
terent dans les vertus des plantes
| & dans leur application.
t Teinture ; couleurs; ; on lés
faifoit avec le iu c des plantes.»
j°. roifon : dn lesri roi c dû fut
des* plantes mal-faîfântes ; & on en
frottoir le fer des flèches : .De-là,,
notre mot Fhar-macie..
$aj>-Mouto«u, qui concerne l’art de gué-
£ir.
i^aji-MaKtüçl'iif, de même ; 4°. empoifôhné.
Orig. Grecq,
I f
E G R E C Q . P hA R 994
iaf-IAoauér -, m r x , ô, teinturerie , lieu
où on, teint.
ia f -Maxes , Mage; %0, magicien , Corcier;
3 °, homme exécrable , fcélérat ,
..empoifcmneur, -
$*j>-M<w£»£, i^oj , h , Magicienne, fhrcic-
re , empoiftmneu Ce.
^ a f -Maxtvs , même que ia f - l t c u o s .
, êap-Mazsi'u , préparer des médicamcns i
j teindre , empoilonner.
Q af-M d x ti a Maitawisj Pharmacie, ac-
[ tion de médicamenter . d’empoifbaner.
$ctj)rMccxow , guérir , traiter avec l ’Art
de la médecine.* '
$af-Mou;au , avoir-befoul du Médecin ;
être etkre fes mains.
. $otjJ-Maqirw , teindre , farder ; . -°, em-
pqilôr.ner ; 3 °, altérer ,'frelater.
6.
1. i apqc , »oc, s v , manteau, pallium,
grande robe : 2°. voile.
(pojxrof , tôt, r i » enveFoppe ; i° . furtout.
a. BLE-^apoi, paupière ; mot-d-moi ,
qui enveloppe l ’oeil.
BA£-$apif>), clignptteç, remuer (ans cel-
(è la pauniçre.
jj 7- .
$APo>-f, o»sc * *, ou », - gofier ; le
Pharynx. O e ft le précipice, ■ où
■ defeéudent les airmens : on dit en
plarlVritahc, avoir uue defeente de
gofier.
$(jt f v y y i s y iP v s } h , appétit exceffif, vora-
cité.
^aptrytS'paK , rô , gofîer.
I L
$epbm , Pherbâ , nourrir, élever;
1 r r
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