
S < > 3 , D I C T IO N N A I R E
Atipirâs, de même»
Aapioç, agréable , doux ,'furnom d’Apollon,
•'
Alpisr, pour Aeipior.
Ahaon , & en Dorieh aaasm Lidon ,
Ladon, Ci fie , arbriffeau tbüjourf
verd & qui produit la réfin’é kfipef-
léè Ladanum, en Arab. Eo'd'e n. *
AHFeç, o t-Lèros, :déliiréI "rêves ; i 9.
bagatelles, èêveMêSi 2e.1 Dé l!0 r.
141’3, Mr jfiïleh. Dé-&Y*r';fëéff for-1
tir du fillon ;• extravaguer. Laire-
Lan Laire, ou conte-bleû, fèr-
nettes , vient de là même origine.
àibanoç, 0 > Lié a. nas ; encens j -en
Or. Leéan; il
Atliatudms., AigiQLti)u>i\ d’encens,
AiQavuroç ;-ror, Libanitos, Libanôton, encens
; i°. arbre à encens.
Aigarvriç, romarin.
Du même p S , Le ban t fignifianté0.
briqué cuite au feu', fourneau, &,
précédé de la confonde K /vint :
k- aibaNoc, & en Athén. k-piba-
Noç, Klibanos, Kribanos, four où
l’on cuifoit l’orge. 1
3t-A(jSoenrar, de terre cuite;
K-Pi&anrros, de même.
AirAoç, Ligdos, m o rtie r, pilon de
mortier ; at>. fourneau; de lO r.
r j n , 2Yy£, piler, broyer i D chan-
gé ici èn L.
Àikmoç,ô, likmos, van : de ftVÎ, ,
vent, foufle ; K change ici en L. ‘
AIK>tcu*, vanner,
Aix/ivrts y qui vanne, vaneur.
ÉTYMOLOGIQUE jéT*
I» A i x ^ L n r n f , de; même* h
•j Aixuiirnpiov, diminutif dc’ Ao^uor.,
%. AiKM«T)ip/ç , panier pour couler les
i liqueurs,.
1. AiENtf* to, Liknony Vàhÿ a*.«J-
î .ble;. z’. corbeiHe, corbeille facrée
I des myfières ; 45», berceWÙi ' - *
; i A ix r r n is fùrnom de' Ilacchus : l ’homme au.
j van , à la corbeille myfférieufe.
ATPst, Lyra,}yçe , inftrument à cor-
j des : de.' l’Orient. Arabe ,. Nir ,
‘ j .rendre.,4«r;lonïU‘M* fôflküy le
. plus anciendes iqftrumens.
; Aoptor; r i > petite te dU
’ ï sAVp»«ï
• <Aup4£u 1 Jâîèillle'la **’
AufiSvcÿ'Joueur deilyre..•>’
axîbh, Lébcy ’i nfulte, in j tire; lo.afo
. I front, ignominie. Ép Or, aii/V, -J^qbx
i faire Une infulte.
, 1 Aw/8»£i£ ,qfeniciëhài#HângeréUx....
j Au(8ao^i.«i, rçaufersuh#.infpltp,.alFrçintfc'r,
’ faire' ùli affront \ a°. ( mutiler , î déSgu-
' rer.‘ :
A w jim is i in juré’, affront.
■ '-'T'AuÆirrpî , qjfî faat ûnef'ihjure,
AwÆijr»p , X ujorirup, de même,
A a f a n p s , qui a été irtjüriâ, iilultÉv
Aor/laÇa jjjnfiulter.
' Aw/2euu | de même j a0, railler , fe faire
un jouet de ; 5°. fe moquer,
’ Aù/Sei/ovs , aétion d’infulter, de. le jouer..
Aufëyç , i , h y nuifible ; ■ funeffe-,1 pernî-
' : cieux. M
AiiTof, idtas y lotus, *ipbr£;dont le
1 fruit étoit délicieux ; i°. Si. dont le
bois étoit le meilleur péuirfaire dé*
5^ DE LA LANGUE GRECQ. M ÇU
■ flûtes;par-là même, flûte ; $Pi.'et-
, de lotus.
pèce de'pl'ànte : dé l’Ori'tOÔ^ Lety
Awtoéij, abondant en lotus.
•bon à ittangeF; iô. favourer.
Awr^w , cueillir le lotus.
— I----- ‘^1=3= ? , ; = - ^
M O T S G R E C S - C E L T E S »
O U D É R I V É S D E L A L A N G U E C E L T I Q U E ;
1H
JEi A Lettre M pourroit être placée
à la tête des‘ ^#f@rfftfesï ^ pro&‘
nonçiation:^ fi doudé, fi ibëbilfe/
’I-'fi( .jaifée|Àou’relle ell deveniiè le
ûôbé- ée ■ t e !iü ^ i^ p |'£& celui du
p'ïemier dés-objets qui nous frappe
■ da-ns'd’CTifàricé j.^ u ^ îu S tenidré^Sê
du plus u tile , dé celui auquel nous
devons tout : lë'nom.de la Mire
qui nous a mis au rponde., & dont
le {fin nous procure une nourrit ure
auffi abondante & aufli falutaire
qu’agréable, & ciî( Voy. Orig. Lac.
1045 J.Dès-lotrs j^la lettre Mfervit
ij chez tous les Peuples à défigner
tout ce qui eft grand. Ce qui,
joint à' quelques Onomatopées,
donne la raifon de tous les mots
en M pour .toütes les Langues.
Subftitué à d’autres Lettres; Or. Lac.
104$,
M-pour B.
De la même famille que ,le~ Latin
B uega , Or. Lot* vint :
MOAroçj d, M o l g o s y bouge, fac de
j cu ir, valife.
MoXyirds ,” dc cuir, i , ^
M«Ayw * nrej, S à çnarge , fâcheux*
M p p u tH .
De Ara, ou H ala, aile, vinrent:
i. m a A», a , M a li, a ile , aiflêlle.
a, MA2XAAH, h, M a s k h a l t } aile, bras,
• aiffelle ; 2®. branche de palmier»
• palme.
M c a r ^ a X is , de thème.
Ma5j£aÀ*£ut, couper, par ignominie les
■' ' extrémités du corps , 8c les attacher fous
Ulles jiffdlesJ ?
Ma<r^aAiçuj), bride, rênes de char.
Mao'^oAioi', panier fait avec le palmier^
; cordage de palme.
De H o r , jo u r, vint le Latin F or-
; ma, forme, figure; on les voit de
1 jour ; Si le G$fc »