
Eîr-cu wr«os, digne d’éloge. * j.
En-amrqs , loué ;"t°. louable» ,
Eît-cuvétik, louangeur. .
Ett-ciii'txixas > fait pour louer.. ._
A » ■ eit-cu rïw , louer à ion tour»
, ,Â?i-£îr-cui'(is ; - ytfos, digne-de _ louange ,
recommandable-.,, •
nap-sr-cuw , dilcours de Rhéteur.~
IIpo^s?r-aii'H,, louer le. premier, louer
avant.
SuSr£îr-csiros,qui approuve ; qui éû du meme
fentiment ; caution, garant.
2w-f*-cur£», louer , approuver ; être du
. mêmè fentiment, ratifier.: .
'3>ep-£w-«‘?£®, louer execifivement-
Kar-AIN««, approuver , i. 1 1 ao
:qu&leer,faite un- ligne d’approbation ;
- 2.°. accorder -. 30. .promettre s’engager.
KaT-Airanj , approbation, confentement ;
■ 20. promeflê- f
-Suv-KaT-airosr, qui conlent, qui s’engage
- TlAP-AINtw , confeiller-, exhorter ; z°.
-avertir; 3». àvifer, donne*des préceptes
; 4à..ordonner.,
lïa.p-aurtàiç*,.exhortation, confëil, avis ,
corre&ion fraternelle»
IXap-ÿuF£r»ï , qui exhorte, qur conlêillè ,
qui avertît» , '
IJocp-dirérizos , tendant à avertir-, a coir-
fciller , a exhorter. Exhortatoirei '
2 TN-A lN«n_î.,'1 approbation-, conlênte-
infcnti '
2uy-ai>£Tj)5.; -cares , approbateur-, qui ap-
prouve, qui-confent.- *
TXI-AlN«fia , approbation de tête ;i?.-
volonté.
TnÈj Aireroç;, digne des plus grands éloges
: excdRyement louable»
I 1 ! AINoî,, ‘ péfant ,‘ à charge ; iQ. e'Xtrême’t
.j violent ; 39,-q^u fait Kprreür j dont otî
■ ne peut fiipporter la vue : Horrible ; 4°-
malheureux, infortuné ; 5°. énigmatt-
que, ôafëîir’., \ »
AINorsî, pélànïeur,
, | 4* ■
| An.fflî«, Apênès, qu’on ne peut l-ouer*
mauvais , .méchant. capeL , inhumain.
Ast-wua. ,yin/hhmanité-, -férocité.,
! An-vveou, devenir méchant ^montrer fiac
■ mauvais naturel» ,.
AI S , Onorèfafej^éé^''-
; AISS, eft une Oaomatppé,e, l’imf-
.{ t tationsd^ veiqtî, qui Jtfle, ïqjji; s-’a^
| vance avec; impétuofité. ,,vD&>- là
| -‘éeï-tAF-àrrrilte , dont l’origirîe éloït
j i n c o n n u e . |
ÀT221Ï, Aifsô-, F. jfu", P.‘ »jj-ti, s’avatt»
» .cer aveelimpétUOM",. a^^^^feti-Éfaîlg'
irruption : s’élancer ; 20- lé hâter»
AirAsr, Aigdin, avécimpétuofîfé.: .
, tempêt(e. -'r
AIR» , Aikê,,impétuofité choc -violent»,
mouvement impétueux.
€ o m p o S É S.
AN-AX2S«, Anaïjfo * le précîptter „
slékncer avec elïbjrt, faire irrup«;
«on» r
An-at<y<ru, dater en. avant ; i°.-fe reïirer
avec effort.
Ai-M<rau>\ paffer, traverl-er U’vee ilïÇé--
tuefité. : *
! Ai-cuycfV, en paflàjit avec effort t avec:
1 impétuofité»
2 9 . D E L A L A N G U
ESM IS2w, faire irruption , Fe précifi-
Ejî-Aura-w , lôrtir avec impétuofité , s’é-
» lancer impéttreiifcment.
Tfyo.èÇ-‘hnrm , s-’élançer en ayantle pre-
En-AJ22si», fejjietter iùf ^jfepdre fur»
RAT-AI22» , fe porter avec imp’étuo'-
hÆ/
Kav-cujf, tempête.
Kcw-a-i^-s^-vent violent, oùragan. -
^ - ufàgè] tempête, ou rage».-
KOPT-0 AiS‘, dont le ca'fqüfe êfi^agîté
; ^avêhs-efibrt.r
MCXar-ÀIFis ; ’tempête mêlée ’d’unè ^af-
freufS obfeurité.-
a , 1 ppli'rfiiiyre., s’élancer fur les
traces, -
ItyerAóYcfV’, en''p‘ourfirivant'avéc effîrt *f
avec 'impétuofité.^ ' 1
, fl'àp-cûirtft».aller'outre traverlèr inï- ,
. pétueuleinent.
HeAu-A/jf, don^Ies mpuyemens font r,api-, i
.-'d’èsAr violens ; impétueux.* & turbulent'. -]
Tpi^'-cixÉr, cheveux flot tans & âgiïésî
Tn-àtirè-à-, fe ^liiïer pà^-difious’'; lb'j,c;tïer. ■!
, furtivement furi ■ .
i AIT.
:‘>..Raifon ,1 eaufes :
Dm«e®(èéprknitif|'È ,-E I , eicifter r ;
fe forma laHeFamille*Grecque ait/« f
qui marque, laraifon de ee qui eft. j
' AITta, i , AIlia : raifotT, caufó)'ce' qui :{;
» fait .qu’une: cdic^è. èfi ; i^lxeaufcdcùnet <
' choie mauvaife , faute , crime. /
Aiviars'IS-jg** porter la-peine j, u*?» être '
1 acieufé»
'Famille d’AIT/a, railôni
Allitr., rô-, çaufe, raifon,-
AlTiwdV , qui concerne les caufés'l
^Bniy>. » ce qui eil'en caulê'; 1».
c'aufë d’une .choie ; 3 9.“auteur.
AITidof^ai " àmgner la caufê ,. attribuer^-
imputer..;. !\
AITraTof, caufe, produit? par fine caufë.
' e4 Q o MP
AN-ATT/tç, faîis caufe ÿ qui n’x ÿdiat
de caufë ; i°. qui n’eft pas caufe.'
ETr-airlâwar, afiigner une caufe , ou les-
;
, Met-AITiof participant, complice , qui’
2u/i-/u.£r-àmps ,-foutien, aide de la pre-r
. nûerè' taule« ,
:ipàr-Wior,wifL entfere d’upc chplj»,;?;:.:
naproe/Vi%, qui .efi en'partie caule»
J Ji '.'“j.'-“ âlîïgnmrîÿ'tailleîpaur'la-
2 y curia!1, caille quîaide, qui Icconjèi.
E^thillt'.d’Al'Bia. t faürtei-.
AIT i os^sÿupàbléî, qulbhvdôif.tinpulper-
AITiaoAtou , acculer ,inculper.- .
AlTiao-jiioe, --.av/j | aqcpfatiqn ^inculna—
ȟpn. , ,
AlTiarixof, qui-acculé , qui inculpe»
; AIT/a£p,<poe/,.j.i.être accfle;*-®
. 'APTiîf-l 0 ,îqbfi. ëH a|àé'd5uîf amour
1 nel, eXcèffif ^ z-0*1 mîpétUeiix.’ Cfc mo£
, '•peut;aulïi;t,èftir’à Air£w,..demàtidér, de—
: .bfîier-;'&:
- G o M- Bt.0 *Sj Bl-S^Y
atî-AiTOl’, ’ qui-u’ëft pas ;cdùpa6lé-ÿ
qu’on ne doit pas acctifèr ; Inno—
cent, *
An-oeYiorijfpijî-icmif, CoÙpàbre«- .
, E^c&Ÿiatf&ai, acculér'-; faire tomberTai
, faute fur; '