Molécule intégrante. Id. (i).
Cassureraboteuse et terne.
' Caract. chim. Insoluble dans l’acide nitrique.
Fusible au chalumeau , • avec écume, en émail
blanc. ‘
Caract. distinct. i°. Entre le wernerite et l’épi-
dote. Celui-ci a des joints longitudinaux très-ap-
parens et inclinés sous un angle de H4d le wernerite
n’en offre aucuns qui soient bien sensibles,
et ceux que l’ohr «croit entrevoir dans certains cristaux
sont perpendiculaires entre eux. La poussière
de l’épidote n’est ipas phosphbrescen te par l’action
du feu, comme celle du wernerite ; il n’écume pas,
comme lu i, en se fondant. 2°. Entre le même et
Fidoèrase. La cassure de celle - ci approche beaucoup
plus d’être vitreuse ; parmi ses faces terminales,
celles qui tendent à sè réunir en pyramides
quadrangulaires sont inclinées entre elles de i 3i d.
L ’inclinaison , dans le wernerite 1 est d’enviroh
i 36d §. La poussière de l’idocrase n’est pas phosphorescente
par le feu , ses fragmens se fondent „
sans écume. 3°. Entre le même et le zircon. Dans
celui-ci les faces terminales réunies en pyramide
quadrangulaire, font des angles de 124d \ 5 et de
( i ) Dans l’hypothèse où la variété dioçtaèdre résulteroit
de la loi de décroissement la plus simple, le côté B de la
base seroit à la hauteur G (fig- i 65 ) à peu près comme
|/8 à V5.
d e M I N É R A L O G I E . 121
plus les ëristaux se divisent parallèlement à ces
mêmes faces. Dans le wernerite il n’y a aucune
division analogue , e t l’incidence est de i36d \. La
pesantèur spécifique du zircon est plus forte, dans
le rapport de 7 à 6 ; il n’est pas fusible comme le
wernerite. 4°- Entre le même et 1 harmotome en
cristaux simples. Les sommets pyramidaux de
celui-ci ont leurs faces inclinées de I22d, et se divisent
dans le sens de ces memes faces ; huile division
semblable dans le wernerite, où l’incidence,
d’ailleurs beaucoup plus forte , est de i 36d >|. La
pesanteur spécifique du wernerite est plus considérable,
dans le rapport d’environ 3 à 2. 5°. Entre
le même et la meïonite. Celle-ci a des joints sensibles,
parallèlement aux pans qui répondent h s , s
{Jig. 166 ) ; on n’en aperçoit point de semblables
dans le wernerite, et ceux que, l’on pourrait y
soupçonner seraient plutôt parallèles aux pans M ,
M. La poussière de la meïonite n’est pas phosphorescente
par le feu , comme celle du wernerite.
V A R I É T É S.. ;
F O R M E S.
Déterminabîes.
1. Wernerite dioçtaèdre. ^ ^ ^ ( fig ’ 166).
Prisme octaèdre terminé par des sommets tétraè