Plomb » * • * • • »••»•••»I ■■■•!• 3 4,00 »
Cuivre • • 16jOo»
Antimoine . . . . . . . . . . . . . . . . . 16,00.
A rg en t....................... . ........... . . 2,25.
Fer . .........* . . . .......................... i3,oo.
Soufre. • • « « .. • i;i>» » » » » » » » » •• i o,oo.
Silice • » • i • » • » «. . » » » » • » • » » •• 2)5o»
P e r t e ....................................... Ç,25‘.
100.00 ( i).
A juger de cette mine par le résultat que nous.
citons ici, il faudroit plutôt la ranger parmi les
mines de plomb , ainsi que l’a fait M. Karsten (2).
Le même chimiste a publié l’analyse d’une mine
de Kremnitz, qui lui a donné :
Cuivre • • . • • • * . • • • • • • • • • • • . . 3 ï ¡36»
Antimoine. . . . . . .'.. . . ¡ . . . . . . 345og,
Argent . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14>77-
Fer . . . . . . . . . . . ••. .■. • ' . . . . 3)^o,
Soufre '» » » »r» » . î \ . . . ». 1 î ,5o.
Perte’. * .. . 49^*
100.00 (3).
M. Karsten place cette mine dans le genre du
cuivre , sous le nom de graugültigerz ( mine d’argent
grise) (4).
, ; - —-L—. — —------ .• -"-¿à— i-fe
(1) Connoissance chimique des minér., Ire. part., sect. 6.
(2) Minerai, tabell., p. 5o.
(3) Connoissance chimique, etc., ibid.
(4) Minerai, tabeil. , p. 4^- ^L
e
Le chevalier Napione a retiré d’une mine de la
Vallée de Loaijzo * en Piémont , qu’il regarde
comme étant de, la même .nature que la précédente
:
Cuivre ............................. 29,3.
Antimoine . . . . . . . . . . . . . . . *, . 36^ .
Argent .»■. . . * . . . . . . . . . . . . .. ,o,y.
F e r .... . . .. . . . . . . . . I 2 ,i .
Soufre. « » . . . . . . . . . . . . ,, ,. à. . . \2,rj .
A r s e n i c 4,0.
Alumine . . . . ............ *.......... 1 1 ,
P e r te ------ * . . . . . .............. gj2.
100,0 (1).
Les deux résultats s’accordent assez bien entre
eux quant aux proportions dè cuivre, d’antimoine
et de soufre ; mais la diversité très-sensible qui
existe dans les rapports des autres principes, sem-
bleroit indiquer que ceux-ci' né'sont qu’accidentels.
La quantité d’argent surtout y est très-différente.
D’un autre côté, la quantit^de plomb , qui
est si considérable dans le premier résultat, est
nulle dans ceux dont il s’agit ici.
Voici enfin les produits de deux autres analyses
faites par le chimiste de Berlin , qui renferment
une plus grande quantité de plomb que le
(j.) Mera. de lAcacl. de Turin, an 1791 , p .y 3 et suiv.
Tome III. m