588 T R A I T É D E M IN É R A L O G I E ,
et n’empêche pas que ces lois n’a y en t, pour la
plupart, la simplicité des lois ordinaires.
4« Le cuivre sulfaté est principalement em~
ployé dans la teinture. Il fournit la matière co-<
lorante des plumes bleues dont on fait des panaches.
On colore ces plumes, en les tenant plongées
dans une dissolution de cuivre sulfaté en
ébullition. Le même sel entre dans la composition
du noir, auquel il donne de la solidité. On
l’emploie à une dose moindre que le fer sulfaté,
qui fait d’ordinaire la base de cette composition.
Il est un des principaux mordans du principe
colorant jaune ; on l’emploie ou seul ou décomposé
par l’acétite de plomb , ce qui produit un
acétite de cuivre moins corrosif que le sulfate.
On le fait encore entrer dans la composition qui
donne le violet ; et dans ce cas, on l’allie avec
le salpêtre , le sel marin , le sel ammoniac, l’acé-
tite de fe r , etc.
Fin du Tome I I I .
E R R A T A , T o r n e l l i .
Page 24, ligne 1 , pareilles : lisez parallèles.
P . 64, lign e s , gemeiner : lisez gemeine.
X
__ | 3 3 P. 101, ligne i 3 , E : lisez E.
P. i 3 i , ligne 18, A : lisez A.
il a
* 9
P. 3i o , après, second ordre : ajoutez c om po
sé e s.
P. 355, ligne 25 , arsénié : lisez arsenical.
P. 434, ligne 18, 3E3 : lisez*A?.
P. 447, ligne 8, V e. E spèce : lisez IV®. Es p è c e .
P. 5 72, ligne 2 , oxydulé : lisez oxydé.