8.* Argent antimonié sulfuré didodéeaèdre. 6 ?
n k V z
(Jïg- ?6 ) p t L X V '.. La ■ variété précédente émàr-
ginéé longitudinalement. De L is le , t. I I I , p. 45o ;
var. 4, Incidence de k sur n , i 5od.
3F 3/I3 F 35 TV'R 9. Argent antimonié sulfuré distique. ||s | mjjmm
')
i f g- I 7-)- Deux pyramides droites hexaèdres incomplètes
entées lune sur 1 autre , vers chaque
sommet. Incidenqe de rn sur m , iSÿd 52i . ¿ e m
sur mr , g i d 5or ; de r sur r s i2Ê>d 3or • de r sur
r' , I28d 20' ; de r sur m, i 6i d 4ôr. Le Cit. Gîllet
a dans sa collection un échantillon de cette variété
intéressante.
10, Argent antimonié sulfuré pèntahexaêdre.
* I ? . ° J? 33 33 B
r J i (J ïg ï8). La variété apophane prisméc. 71 f l 21 ■ «
De Lisle), t. I I I , p. 458 ; var. 10.
° Li £p Argent antimonié sulfuré ; tridpdécaèdre.
Ij A .... j ~ V -
D ' e D P f i ® “
n kt h7 t -, 1 PL /z7 ^- I9 ) < Lav ariété 1 émarg0inée.;
De L is le f 451 ; var, 51 Incidence de h sur P ,
i 5od 3 o\
•12., Argent antimonié sulfuré sex-octodecimal.
B / ‘E 1 B 3 D 2\ A à m h
4 ( ) 2 (Jïg' 20 )• En prisme hexaèdre
W1 OC J S\
avec des sommets à 6 facettes obliques inférieures,
et trois supérieures. Incidence de x sur x , i;3 i d
i6 r ; de x sur ad , i 5i d 20f ; de s sur s , i 58d
(1).
_ • , ,. i f ' , .-D D ’E'PB
13. Argent antimonié suliure soustractif. t .
n h g V z
(Jïg- 21 )• La variété prismée émarginée à toutes
les arêtes obliques , et épointée aux angles solides '
composés de quatre plans. Incidence de g sur g ,
81d 48' ; de g sur P , i 5od Ô4r. Le Cit. Gillet
a dans sa collection un cristal de cette variété.
. , ,. > ./ ir r j . . ; D P B B
14. Argent antimonié suliure disjoint. 1 4
ri P z c
(Jig. 22 ). La variété bis-unitaire émarginée de
part et d’autre des facettes terminales. Incidence
de c sur c1 , i 65d 2r ; de c sur c , ‘i 54d ; de c sur
z , i5 7 d. On voit «dans la collection du Citoyen
Lelièvre un beau groupe de cristaux de cette
( 1 ) Les faces s, s , dans plusieurs des cristaux que j’ai
observés, éprouvoient de petites déviations dues à des stries
qui étoient parallèles aux diagonales obliques, et par conséquent
perpendiculaires aux bords des lames décroissantes.
Mais il est à remarquer que si le rhomboïde indiqué par les
faces s , s avoit pour noyau celui que désignent les faces
z ? z ( fis• i a ) » auquel'cas il résulteroit d’un décroissement
par une rangée sur les bords supérieurs de c e lu i - c i , , ses
stries seraient dans le sens de la structure relative à cette supposition
, ce qui est un des cas d’exception exposés dans les
généralités, 1 . 1 , p. 66.