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(Meiùttis sèzejînç&t;u.};,p Tkeroepnfa t Qftoit!- et
Géaÿia.)'
Fous, -vîen -eëièaM^p|s qu’iiæ espèce, que feu Pérou
avait déjà apporfeetk la Nouvelle-Hoïla#^-^.et;.qple
MM. Qaoy et G&ym&rdb qui F:v oui rétro !rv<k à 3a baie
des iiM'vii'S-. .ttwerius .y.Gri-t ià^-ygwtver dans la Bclatiop du
||f§ .Ü'Ve-y^mèi f pt fe-= i) sous le nom dles^ttve
Son. tfisioaig; sa hàsatgsep *est quatre Ibis etdemi*, daïis
*.-a ;•>'■ fl " :i'!Î . H) ! ’ frti .!■ .;'■ ]
museau court et usa peu obtus ■; îà ;.ksngu<3ur sN t:) si® la
,hàji6eur dp corps : la bouche est trèiOrpeu feùW ( « iwbiù. dans
les bogues et les;amphacanilies), point protraetiie j l’oeil est assez
grand, un peu plus près du museau que de l’ouiej-îe sous-orbitaire
recouvre en partie la maxiUairèy et est dentelé, usais si finement
«.pfe-'c-nti; qu’à là loupe ; le préopepcok- est arrondi
pointfue-, .ch! dépasse même sa membrane, et au-dessus une ponte
plijsUî. f! v a des écailles Mr la joue et les pièces opeMuj^reà^mais
non sur le nvafeeau ni sur le crâne, où lion voit au icwottaare des
stries qui avancent entre les ytus et s’ÿütfivïsent. Ni l’o> sùrscâ-
, dépasse. La dorsale mut à peu près sur ie rnfone .point que la
.«s'tîrale : elle ne s’élève ,pas autant que dans les thérapons, mais
son échancrure est aussi profonde. Les nombres de ses rayons
aigus. La partie molle n’a qué m^ïiié
épineuse. Lkaale'.répond esaciçmeaî • cette partie motte: elle a