2 8 8 LIVRE TRÔI'3SÎSé!. / prË'R(?'OÏDÈs.
j ; caudale^ Sâ pÉeoeiïre dorsaléfèst^le\5de*efepointîiii'ej!la deuxième est
assez.haute .aussi,' màis lîa®àje,nf a pasjde'pointe en avant. Ses p ro p o r-
ti#ns .sQpj: asse^couifes. Il pst sur I^ jd t^ d ’u n l||ùqjpAlè* changeant
én-jaune doré ; sur de§ flancs d’un argenté.à reflets bleuâtrp^. I #
dentelure du préopercule doit être faible, car le'-dessin n ’en offre
p o in t de traces. Il ne marque quelles nombres de -la dorsale.
; ' D.
L’individu^réprésentêiestliong de- qùatrépnuicës^
^ Le POLYNÈME A SEPT BàÏNS|
(P o fyn em u s h e p ta d a c tjlu s , nob.)
L’autre,; demies polynèines,. d& Batavia a $epi rayons,
comme l’espèce de l’Amérique, dont nous •p^rlecons foien-
tè t ,•*" et; lui ressetntrle^èmè téUement qué;uuàs pqifcir-
rionS: pas Assigner1 lès caractères qui-Tes distihgù'ent ; [Par
celle-ci a jiîèqu^qî fioir JJ dès ‘pe ctbràlëÿ ‘si ‘ reniiirquatele feur
celle d’Am®|ue; ’ •v'
La figure lu i donne une teinté gris ‘jaunâtre’, avec tm peu de îfoi-
ratre vers lé b ord de la ipremière;dbrsale et :
la peçtpjrale e st presque toutCinoire. L’individu est- long .dp^quaf.re
p o n c e r et dèmi. D 7 __ 1/12,.,^ 3^21 ,
Nous mentionnons ici ce poisson, afin d’engager, les naturalistes
qui en auront l’ofeGasioh à le comparer définitivement
avec l’espèce américaine. ,
L e P oLŸNÉMÈ À QUATRE F ïlÀ J
' {P o fy n em u s q u a d r ifilis , nob.)
Nous avons reçu du Sénégal une espèce nouvelle * de
polynème qui n’a que quatre rayons libres, comme le
tetradactylus,