Nous possédons au mdîms six gepre, trèssemblables
,£ntre ei^es/ et dont- la^pÿinclpale distinction
consiste dans le.plus ou moins^e -prolongement de l’épine
du préépercule. $
* . Le PkflA'cAÏÎTHÉ A GÉÔS ŸÈUX.
(Priacanthus macrûphtahnus ; Antbxas macrophtalmusjMl. ;
Lutjan macrophtalme, LaceLT
Iie|pe|ie mn’a été décrite la prem'ère' -esr Gelle où .l’épine
du préopërcule ,epc M |wus courte, Jet1 qir'pRr conséquent
le caraptère du genre* se moutre lé môin^^Pq^ui
explique pourquoi on ne l’a bas saisi. BFocnppl. 3,iJjjTa
nommée âritMas macrophtalmus. ’ Dans* saJ graude^cMÿo-
ïogie‘, n l'a dit du Japon, e t dans son'Sfcstème,
la transporte à Tranquebar ; mais il&ajlgf .trop souvent
trompé sur Forigine de ses poissons pour faire ad.t;Qritê
contre dëts faits positifs. Pour nousf néus avons'reçu cëlùi-
Hr du Brésil, p a r M. Delalahde, -m <fé la Martinique, par
M. Plée, et nous n avons aücunè'rafébn de douter
ne *spit le catahzfa de. la Havahé ,l fort 'Bira^représ^te
dans Touvrage de Parrâ*(pl. 1 2, fig.luf *
Ses formes>sont- celles que nonsr^vons^iBdiifMéfs ‘p o u r ;font
genre. Un corps obloü^1, d o n t la hauteur est 'trpis fpis dans la-fon-
gueur ; la . longueur de la tête aussi «le tiers., de pelle du corps,; le
diamètre de l’ceu, près de moitié de la longueur de la tête; la queue,
en arrière de la dorsale et’d e .râm le , réduite'en hauteur an quart
*àë ^ S ê * u u e b r p l , e t en ïôftgüetir à moins du
* ^ e ü r fotfd^plà 'dorsa le éï’Iv r a ie :s?élëvâtit grMuélièmtoit eh arrière
ftt&Nfè fo^t p éu, et 8e terminant pa r ion angle a rro n d i; la
eaudale, à peine en croissant; des pectorales médiocres, obtuses ;
<*>. des ventrales ,^dfokï grand tiers plus lo n g u e s , adhérentes au corps
pa r une membrane. La pointe du préopercule diffère selon.le sexe;
dans le mâle elle est plus saillante, plus p o in tu e ; e h a des sillons
, »b'oiMnîe; fe ù t le hmhevdm^reoi^rèilsle ^dahs la femelle c’est un angle
» ’.obtus, très-peu saillant;t;àidentelures très-fines».- -
• ,jde ^ ces b, car a cfe|ës Use x u els par
Plée, qui slp&ëdli l e # f e m e l l e , . , e t en assez
grand flg|
'©’ëltÊhin individu fettelle que Bloch* a représenté; mais
l e ^ râfë-vfoVit4(ÿét&!pubirë'pkr*!'iM. ©‘esirtarést, qui l’à plis
p’oM^urfé' ^RTticfdliérey et Ta ;frbïnîhé prïacanthe
cépédien. "v
Üu bord de so'n'-ope'rcîfflè,''dans sa*moitié-supérieure# sont deux
. petites, .pointçs-presqu^fcâefeé.es dans la membrane. - .
, Le^sous-or-bitaiFe »est,iforts-.CtPoitjaetihcèsTliireïnenfc dentfelé. Son
/-bord orbitàir.é fàit-.une faillie; singulière^utjb.ërdi'antérieur- d e l ’o r-
1 ^îrè^C^éloaÿoiis fo îpS d êd 'a ïlorsaMI^t de l’anale sonti âpres /m a is
nom é(sâi']ilejj|xisÆfoüvef ture vpostériprr©' >®É la narine' este iverficale-
m ë n t^ h fo n g u e ^ grande et*,;.trèsr voisine de l'oe il;1 l’antérieure est
comme-une'.’piqfoerd’épftUjglæsiri4
D.T'éfllffti'S/lbrC. 17; P. |fflj|Ë pM '
|{|g Ses écailles so n t petites et %presvayj bord ; il en a. pa rto u t, excepté
âUx lèvres ;et à;lafm,embrane branchiale ; encoæ en voit-on sUrVcëtte
inembl'ane^une' lignef-mojfe tnfe. <*.
; T out. levGorps^dÊ c £ poisson, dansjja-, liq u e u r, parait uniformément
d’une, copieur .argentée,, teiqte| dgÿ.rougeâjtrè; sec, il est plus
.u p n , moins;jaunffcre ; mais sa^!gdj|®ur naturellement- lp,-rouge. J^lée
. <iL,ÛQUs 1’a.pcinlpainsi. GLest probablemgntj.pour n ’^oi^îêfc&eijvé qm^un
individuis.eesq u eB lo ch l’a enluininé en jaune, Sa figure est d ’ailleurs
assez incorrect^ :^eLLe n ’offre ,qù’un^fn^pipb: .ejqlgs épaille%. .y* sont
-Jj'op^grandeâ. M.< I)esmarestva d o n n ^ à lajsienne une, ttçibte .cendrée,
qui était aussi le p ro d u it de la liqueur. Une b o rd u re noirâtre, étroite,
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