Le ï)0UÛSS lÀ'VEÉTftE JÀÛNE.'
.(D û te s ß a v w e n tr is , > hob;)
... ' Des individusi,ftrès^emblables à l’auriga1, et venus de la
memejtfpßsr, mais 0%-dtés1 épiâtes dorsales Et© se prolongent
pas«,./«sont peut-être les femelles.
Leur corps esjPâ^môrue J jru n , a v oe u n large espace jaune sous
le yientre, e t'â eu x taph.es noires.et rondes de chaque côté de la base
de là cafiQafé«, «Leur dorsale et leur anale sont marbrées de bandes
' et’de taches noires, et ils oht T^.pectoralés rougeâtres.
; 3/ï 5 Gk|L§ ; P. 15; V. 1/5.
Les,*autr,es^ti<rules n’ont que deux pointes à leur oper-
enletÿtdt leur, dorsale'-est^échancrée. Ce'-sont eus surtout
quicqnduiseht a?üx thérapons, et leur "ressemblent par
l’extérieur ; leur forme est à peu prèsîcelle de la perche ;
le®-f^ps°est fottrcomprimé; le limbe dë leur préopercule
a des dentelürhs fmcsf et peu apparentes5 il est un peu
élargi v e fli’angle, et finement strié en rayons. On aperçoit,
mais .Wife., peine, quelques vestiges de dentêfiire à leur
sousTorbitaije.
Le D o u l e s a .queue rubannée.
1 Y (D u le s toe n iu r u S j nob.)
Le Musée royal des Pays-Bas en a reçu de Java, par
MM. Kuhl et Van-Hasselt, uneespèçe _dont voici la description
: