DÈS PERCOÏDES A PLUS DE SEPT RAYONS AUX
BRANCHIES ET AUX VENTRALES.
Après des^pofesons analogues aux perches, mais à six
ray cüté Seulement aux dtfïés, nous passons à des genres
qui Ieuriréssemblent aussi beaucoup, mais qui ont huit
'â ë^ é i1 Wy$àls, et qui, pàr une particularité encore plus
f’âfe e t cÉut il n’y a* ififfiéfauèuO autre exemple parmi
ïds afcani®opterygietis, ont outre l’épine sept rayons mous
et même davantage à chaque ^htrale. .
■ CeJsônt des poissons remarquables par leur beauté, et
dont un* gènrey celui des holoçéràïums, est connu depuis
long-temps, 1 quoiqu’on l’ait mêlé’ récemment à celât des
serrans , mais ’cïontf un aufre ,^ÉlltÈi des myripristis, bien
que tQUtks ses, espèces n’aient pas échappé Aux observateurs,
à fecé - trop négligé par lés ichthyologistes systémâti-
^^®qE;y;%n a enfin Un, celui des b e ryx , qui est entièrement
ndiiveàu. '
C H A P ITR E X X Y. '
D e s M y r ip r is tis *
Tout notables que soient lès caractères des poissons
dont nous allons parler, on est obligé de les chercher en
devinant dans les ouvrages méthodiques, où ceux d’entre
eux qui avaient été observés se trouvent, pour ainsi dire,
perdus dans des genres et parmi des espèces avec lesquelles
ils ont peu d’analogie.