L’ordre danslediAfdn pourrait dxpoler divers genres
étant assez indifférent, nous placèrbnsd’abofàdf,selon notre
ieoutume ^ hors -de^ng celui qürSe trouve le plus à portée
de tous les” cfbservateurs, et que chacun peut se procurer
à tout instant : c^t_celui des gremilles ,„ou perches* go tt-
jonnières“, dent uiife ■esp’eçefvit dârig n o ^ a iïx dfuèes de
Franée ,^et est répandue à peu près^dans toute l'Europe.
On] doit .remarquer cependant que cetlé préférence ne
tient point à -des rapports qui uniras^erit les
gremilles aux genres dont, nous-ayons pajlé’msqu’ig ife t
nommément à la perche; âA'ednttrairê, elles s’eWëllûgnént,
par leur tête nue et caverneuse, plus que les. centmpristes
et qu’une partie de’s aùtfes gefetêsÿtdftnt itdtis prééêftterdns
FhlsfSi&e api?ës la leur : eti Un"înèt, l’ordre naturel serait
de les placer à la fin de-cette sr^idivîs^iL, conMpe c|S^ltei-
sant, par les épines dont leur tfee^st arms|g| au* seorpènes
et aux ehâuô'fS J *@t ' pâr lés Id^u'Ues ëaveineu§êsr cffii^sy
Voient, à la grande fattiille des s’éiênëâ'.
#HAP. XV. GREMILLES.
C H A P IT R E X f .
- ■ - ; I)e$ | J^cprinQÉ
* •n^Sj'fnnqrfs de le cijrÆr, le caractère d’une tête
cavermeqsé, ^ sV,àidir# 4 $ fossettes-erÇUjségj? Sur les os d,e
là joueÿ’du museàp et 4M ^4w4çM^se]»blerait devoir
rapprocher les gremiffeldes^sciènes;’ mais tous leurs autres
caractères-lies rattachent à la grande famille des-percoidès,;
leurs^écailles rndb@S'fet. ciliée^, leurs dents an voiqer, et aux
p ala tmsj&le,ui;s. i fer ois eflecunj ,cour%; semblables à peux de
la percjie commune, ète.'^ps* Edss^fAes, memes^pous en
ÉManrH^p su, un exemple parmi les pérchesêà deux- dorsales
dans .|e,;genre des aprons., dont le museau, bombé,'et
saillant .en,avant de la boughew semblait annonû^.enGpre
une^plu^ ^ audè affinitel|pfee les ,s,ciène^S
-On ne’connaît qu’un petit »ombre, de gremiUfs, toutes
d’eàr^pqeft ,#«de pnÿke iailie, :ioel^IïJiabit£WfetM d ê s t ivières„
du nord de l’ancien coatinenâ- '. ISP . A la.i ïverifeé7, o*ui ne
remonterait pas aux sources;,, p ourrart^pfpjr^ que la grenaille
n^ir^îlfblack riçffe) de Pennant, poisson de la mer
d’Irlande, qui est .dmépu le jierça nigra de, Gm§lin, et
Yholo,centre noir de,M. dô Lacé^qd^Jgst un poisgop ,trcs-
Voisin del ûm gremilles; mais, un.coqp^d’ceâl, Jeté^ur la
figure-de HbHas.e.lunb*us apprend n’est autre çhpsft
% éçm^fpàoena pampilus de Linnssls, ou^ç^qni yeT
vient au même* le (éentrolop-fc® nègre de M. dp Lapépfjjmp
C’est doÉ» èncore, une ^sphèeià rayer du catalogue deS
poissons. 2
1. Hist. nat. de Cornouailles, pi. 25, fig. 8. -
2. même deux, çcAy içaèiSiJe; teE cô â ^ ^ 'l’^rtiple d p Centrolophe.