monte sur là partie épineuse d&Ja dorsale et sV convertit en une
large tacite moire, Le. reste, de «pctte nageoire a. de petites tachés
rondes, comme dans nos serrans ctimmuns. La caudale est brune;
les pectorales ijaunës, e t les ventrales jaunes^ avec du noirâtre vers
les bords. Tel est d u moins l’état où ce.poisson nous paraît' aujourd’h
u i dans la liqueur.
D. 10/l'2r A. Sfïffe: h; p.15; V.-1/5:- - '
L e G e n t r o p r i s t e r o u g e - d q r é .
( C e n tro p r is te i a uÆ ru b è n s', ntfb.j)
Une setonde de cès erspièceâ, 'dont fopérdïïïë ü ’a qu’îfne
épine, vient encore1 du Brésilfmais on en panssipetuqae
la Martinique^ de Saint-Domipgue. Les p^jians d&fcefte
dernière île la nomment fadatè*
* Sa forme est plus élancée. L<es bandes fd&.seg*dents s,OJCt étroites
aux deux mâchoires ; celles d u rang ex-terieur à la supérieure;,sont
plus fortes. Au vomer cUes.ocpùpent u n gnamdespace rhomboïdal.
Les bandés palalines s o n t larges; mais les demajd^@§s-^Qis*^$Qni
trè^-bgqies. La langue’est obtuse et âpre s u r ^jufàw*®v$‘usë.
—La dèiitelure delson p ^ o p e rc u le est trës-fin^ i i 'Knrd ramjtant.^ %
encore, mais p lu s distincte, ;à T angle ct-.au jmml ’mféi.ujur. Sli^pme
de son opercule est p la te , mais p o in tu eÆ ^ téau d a le est;>un peü
fourchue. Il a u n e é p in e d e plus et u n râpdn-feâoii de Tnn»im.&ffij
dorsale que la-plu p a it des .mues espèces. Cette nageoire esi^&qfcle
hau teu r parfont. Bans là liqueur il paraît vîdre, plus oü'm pjfistirant
au rose ; o n aperçoit sur son dos des lim ê s fbrun|Ltres oblique^, e t
sûr âes“flancs des vestiges de taches ; mais à f é ta t frais te%em’il nous
a été-rapporté pa r jM. R ic o rd , il é s t,'V e r s ;l^ o p ||^ a ,ù ^ ’TOi^e ' dé
vermillon, qui change pa r degrés, su r les flancs et à l’abdomen, en
rouge rose. Ses flancs sont semés de taobes ©blongues,; irrégulières,
jaunes. Ses nageoires supérieures sont rouges ; les inférieures it>se
pâle. Sa caudale a le b o rd b ru n o u noirâtre.
Au p rem ie r coup d’oeil on serait tenté de confondre ce poisson
avec le mésopvwty'. vivcmww-
11 devient assez-, grand. N ©lis' e n avons,dé près d’un pied de long.
D. 12/t'î; A. 13; k 18; Y /ljd . ‘
. Le nombre des. vertèbres est toujoUrs^te même qu’aux serrans :
difi ^d iom jy d e s; quatorze caudales..
Le fo ip d y eentrqprisle rouge dwélge .compose d’un lobé gauche
quadrilatère,? a ^ § z ,ié p a is q u i ^ g e e n d 'su r la,branche montante dé'
Mestpmag, iq rp e u en. arrière dy, l°h e droiu, trièdre,
boi-btu, d kaucaup 'plus petit ©t de moitié plus', co u rt que le gauche.
L’estomac- est ûh; assez grand sac p o in tu , »- parfois4minces et fisses;
gelfes d'êdfesôphage-soffll plks'épaisses* et plissées longitudinalement.
'^f^Ws-ri’tonsobsërYé-quatt’e-appendices1 ceeeales-auipyfore’. L’intestin
A ®it- deux rèpfis-'ed'È^^rf'l I
aérienne-est-simple, grande-, -'à-parois minces. Le péri-»
H toi'nêt,estjd(tme‘teùùléuT''avgenfeê); â' reflets?Péiift Éi’éstomaé Contenait
des débris d ^ ïp b o r.e # /
^ ^ ^ G É N T R Ô m ï S T E ROUX'. "
| Sx(i&eriProprisMs~ rufm, nohpriï
- L J n e troM & ïk e d k < m e sp è c e s ^ & u n e s e u le é p in e , n o u s
r a tlë n ie ^ p 'Iè s d u c en tE ^ p 'çM e n o r i ',
jajfr."ipils’les détails dftsa^&nwe» paF>les;propartion&,dç:sa d o rsd e ,
pardgp haedtes, et les.lignes blanchâtres qui la diversifient, pa r les
p o in ts blanchâtres d ^ la. c a u t ^ ^ ^ a â s ,, indépendamment d e l’ab-
&, .sencg d!une gpGande. épine à l’opercule, qe poisson-, est to u t entier
d!uni beau, roux UPhorjne> e tq ^ .n e vois pas-, que sa queue
ait éfo.trilxibde..bps individu^. que nous possédons ottt été. envoÿés
•,nd e ,la Martinique par M- Elée. Ils n ’o n t qpe h a it.p o n c e s de long.
m 1Ô/11; Av:3/Tii0. f t -5 P. 13; T. 1/5.