ghebuï, et qui’ ressemble jfëfâl putà?Mpar les formes eb/les
eoùïeurs,
mais qui est ftin peu p l u ^ p ^ é , et'a^^îe -sqm -^W a ire Jp lu s large,
strié et crenelé à spn jbord postérieur ; i f esy argenté ét J ÿ îp a o s
d’un, bleu d’acier b ru n i; sa d p rs a ie 'e it^ e u ë c h a o c t é e ^ ^ bandes
sdnt au nombre de quatre ;4 a première to u t près de la naseele la,
dorsale j là secondé partant dü crânt^ éï % tërïnitfarit sur la % de
la dorsale ; la,troisième partant d u museau., et. allant.,ensiiât(||dp
l’oeil droit, sur le .milieu, de, la éaudale,',p§i .dlçl ep a-dèm? ftt même
trois-au-dessus d’elle; la quatrième, plus pâle, p re n d :$e,,faisselle delà;
pectorale, et se'prolonge su r la caudale au-dessous de la précédente;
elle e n u n e .p e t i t e au-dessous* d-’glje. la . tache de la cjogiale
épineuse va de la quatrième à la septième épine. Les deux dorsales
sont unies p a r -une membrane : basse.-
I>. *2/10 ; etc, 7 n
Nous n ’avons pas vu ses dents,1
Le T h é r a p o n a q u a t r e l i g n e s . ,
( T h e r a p o n q u a d r iü n e a tu s , nob. ; H a b o om tru s : q ê # d r il ip m tu s ,
. B l o c h . ) , ^
Uholocentrus quadvilineatus de BlocÉt ( pi. 338 5 fig- 2 )
est aussi un thérapon, ut M. Valenciennes,’ ayantexaminé •
l’original à Berlin, a trouve” cette figüre exacte.
Sa dorsale n ’est pas plus éehancrée qu ’au ghebul : ses .dentelures
préoperculaires sont à peu près égales, comme <^ins le jarboa et
l’esclave, et l’épine de so n opercule est très-faible; Il a quatre ligxres
noires droites; la première va de la nuque à la- fin j»dë là portion
épineuse de la dorsale; la sëcbndé pâ rt d ù r r o n t, passe sur l’oeil,
et se termine au septième rayon mou d e l à dorsale; la troisième
p a rt dü b o u t d u museau, est interrompue par l’oe il, e t i|ça1gnë le
b o rd supérieur de la queue ; la quatrième Ya de la bouche pa f l’ais-
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la queue. I l ne paraît pas y en
A-é^udcde.. Lay-nuque a' une grandé tache noire , et il y
en a nne'süjr k ,dÿ^sale-,ji«nms là seconde épine jusqu’à la dixième.
5 A- 3d ° j etc.
'l ^ e s , dents n ’ont p a s q^iobservées.
L’individu n ’est long que-tde q uatre pouces et quelques lignes.
1 Bloeh*%nÙrait7 son dvi^ine?5 : -
L ‘e Therapon jaunèt"
,, * (, T h e r a p o n æ a n thwM S , nob.)
,Un,.ujiitre,.1puti| thérapon, semblable a u puta, k Yobscu-
^(^efeau theraps par sa forme, a été envoyé de Java au
Miitî^®oyal des Pays-Bas..,
•Sës bandes sont'aü?non>®re -de q u a tre ,1 noirë s, sur un fond argenté
; reliés ne æéteddent• que s u rle 'c ’o rp s, et en'ligne*droite, et ne
se reproduisent-pas sur la caudale,-qui est toute jaune et coupée à
pë® près carréMênt. !Lès -taches ' de sa dorsale sont peu marquées.
' t?éàt u n p e tit poisson de deux à tro is polices, auquel on ne voit
pas de dents, n i vomériennes, n i palatines.
D. 12/9• '£ a/l6; d 17; P. 13; V. 1/5.
Pèut - être n e lt- c ^ q u ’üiie ' variété du quadriüneatus :
ce derniëf a les mêmes formes ét les mêmes nombres de
raybns'f seulement sa nuque montre une grande tache très-
noire, qui n e ’se. yoit point sur le xanthurus que nous
avons observé.
L e TH É RA P ON O BSiQUft.
( T h e r a p o n o b s cu ru s j nob.)
La mer des'Indes produit encore un thérapon, où dans
une distribution de couleurs analogue à celle des autres,