La ligne inférieure du-*corjj§ est généralement plus convexe que
dans l#,viveçommîiiie,.et,jp#,1^ fait paraîtreventruj^etp^torimée:
sa hauteur aux ventrales n’est que q u aS In s* dans sa longueur, et
sqn é^&seur trois fois dans sa '-£a fente de sa^bouche
rapproche |plusn^e la verticale*; âes dents, inférieures rang êjEté-
( rieur sont plus fortes et mol^^hombreu'sés ; son *crârîe e stplus
ussë,-lecâuïétdgnt^'e#Bfif^e par ^on âlk'scapulâîrê ét uAé partie
dé Pomô^latè ’est’ d'une 'aiitéé fërn&é ; jarr8n®e î, feihjbée et phis pro-
fénâémenv dentelée. La première dorsale est çneux^ ^pa r% 'd e la
seeonde, sa cinquième éphae-étam encore .plus, petite ikpMpàrtion*
et la; sixième ewpmenç&flt en q n e% n e |s^ ^ fe setond^ ^ ô r^ lj^ de
manière qqqp) ol|f^vfteqE.-peq atteptifî pO^KÇ^q ne. c a p t e r , .$ Ig
d o r ^ e qqe Ûg^Pît «bUqhæf, farmkes
par lgs éça^les^ sont i^oins marquées dans çette e spè^ que dans
^Ies autres. B. 6 p P /6 ,_ ^ 4 ; ,4. 2^;(etp7
Nos individus, envoyés des ejfaea <k-BkeB^è.p^,MM. Piçhon
et Baitton.., OJt,reeBedlis; p a r n om m âm e s sur celles de ^ n r ro;ar.r1i g
n ’p n t qyyj çw q |^ jjp p s. d,el©ngçsenj'i l^jir 4 ^ e s t< j iw g iîir o u s ^ tr q ;
leurs fjaiies et lipur ventre d’q n b l^ ic argenté : la'meiBbran^.qui
réu n it leurs quatreW emières épines dorsales est noire. Qn voit clés
points du' dé p e û tls tachés brunâtres le ’long dé le u r èfôs^ et j£uj
«n a deiixf ou trois séHfesWr l e s 1 rayons ihous de î e i r ';^ S | d e
dorsale. Le b o rd postérieur- de le u r caudale est noirâtre; Uàùtfes
in d iv id u s, venus de Granville e t ifÀlgésiras , ont* u n e ou deux
ÜgtiéS; loingitydinâljeiS ja®ne§ sip ph^pye % p r,
Cette petite vive est pleine d’oeufs et de laitànèe à. une
taille où les vives ordinaires parviennent avant dMtré en
état de se repr-oduirepeequi achève de prouver que c’efet
une espèce particulière. *j
’Les Quatre vives que nous venons de déerirë, sont jusqu’à
présent les seules que nous ayons observéesyk première
de tputçs, ou la -pipe èomm^e> est côpstatééy quant à so»
espèce et quant à l’étendue des mers qu’elle habite, par
i è f (tëiùèigis^es phïs pô&idfsÇl^taoiïilùëf de :Roùdèlet,
de Salvien -&C dte Wiïhighbÿ^'usqu’Ù^Flèdi et à Asbâùkis ;
fatoùsùùteiès ' lù^n^^^^t^ôhîieïléîaient recueillie bi Gènes,
à* M*§ikëlllfet| !h Gà&^et»# Paris ;; il ii’est p ^ d ù ù ilq u i dans
lu shîsUü. ïite’ pù^sé 'chà^ùë’jôùr eù à'vbir «tût UtoS tharèhéS.
Qul^oùitfàîl «crëire fcftrfbnsftanëès tës-âüiîëurs
lès *phfs: àécrtdlt^ mé l’Riëùt pas '^ùilue ! dépendant éela
lit" tphi-vistî'^’-''"
fè$Ê rëmârqiier que Peiinanf a pris la
petitd'vi^e pour la vi^y^ynm.ttlp, et dpbrit,jeelie-jèi sëùs
le nom de grande yiyp^ (
9uen admettant unej^emblabl^e^e^M qu’on
peut expliquer la figupe.que Bloch d « Ë e îâans^son grapd
ouvrage ni. mÉl. pour la vivepcommune. et^ençpre„faut-il
supposei%u’il a;JptaUg^,. les•^©jo.leui^ùtvéten du les^dkn^Mh-
sions- d®/qBÙe petite ^ikfe d’après qu’il avait lu de la
commun^.. Mais-kpiàment’ alorspMèÿJhanpieait-il pas aussi
les^nombres .«efe,.rayons ?~'comment surtout les ■> écrivains
qui liii ont succédé f, 'vgt qui afeeyyai^nt^à chaque instant
ce^fempLëi; ce/| « isspnl, quivj[ai]pteurs auraient dm^tre
aveg&jdèkes vrais caraçf&es par les descriptions d’Ârtedi,
de GronovSuS, de BrünnicÙ^d’Ascanius, e^tç..,. ont-ils copie
aveuglément Bloch, e%dÆe cependant Brnnnieh, Artedi et
les autres, comme s’ils eussent .décrit ;le même ppiSspn que
l’rchtyologiste'-de Berlin Sw comment:enfin n ont-ils gù?d.^
lt Cette figuïe c ’a que cinq raybns'“|Sla prernière dorsale, viàg|J-qnatre à là
seconde : sa joue est nue'^ oït ne y oit pas dé, stries obliques sur ses flancs, etc. :
tous caractères pris de ila, petite
2'. Bonn a terre, Lacépède, Shaw,,JÎisso.'
„ 8 . Bonnaterre, par exemplejTcite Brünnich sur ses deux variétés, qui sont notre
vite commune et notre vive araignée, et cependant il copie les nombres de rayons
de Bloch.