vW&m d;aBo'M manifestement un myripristis que le pois-
dô'hhë par Forster (Bl., Schn., p._2o3 ) comme la qua-
triènt^^^p^Bë 'de Tliolocentnjm llafoèfai a
le .cmjps latee^ial)Qupke ,0bt,uÿpij.écJaaxjcrée, les dents visibles au
dehors, rassemblées en faisceaux tuberculeux;, et dont les pièces
~ dpercul^ires ^ finement ^dentelées, n’ont aucunes grandes épines*
B. 6 j D. 10 -4 < l| 3 ;'“A- 3/12; C. 2 1 ; P. 14 ; V. 1/ 1.'
^tjëla'eit empre plqs^rtain " $’il est possible, du poisson
dom Bloch paWeRla fin de sa description de IL olo centrant
^Grande Mhiyol'ogite, part. "VÎT,' 1pf'4'8 ), et quit dit aCofr
acheté >en Hollande sous te nom de poisson rouge à tête
thaii¥${roède haalskop^visch de i’Océan). Nom ayons sous
KîfflWidu jtiiiême quil.pqissi|Sît, et qui nous paraît
MssémbleiCeÉHntiellement ’a nôtre hexagone.
Sfsnouibres' sont
dHp,_40/lSo#14; A. 4/12 sa | g j| É
On meidistingue pas bien dans 1 individu, mal desséché,
lès>ateüx derniers'rayons de--©es nageoires. ;
Lé ÿcfiænà loricata de Thunberg, dont M. de Lacépède
TV, p. 3 3 3 '# '3 6 f^ a fait son holocentre Thunberg, èst
cemînemèht 'aussl un myripristis. Nous en avons pour garant
un ^eàu itessin que Thunhîerg lui-même avait envoyé
à,M. de Lacépède, et qui s’est retrouvé dans tes papiers de
celjitecju. To us les détails qui caractépsent les myripristis y
spnt bien exprimerait autant cgue l’on en peut juger sur
Cëtte figure, ;ë|ëstaussi à Xhexagonus qu’il ressemble le
plus.
1. Il a négligé deux rayons aux ouïes et le premier de l’anale.