sionnent en ÈertaméS-oirigoïîétaEtÈfesÿétant de nature; à4ns-
pirêr de la énfioiîtéifeC^dèîrintërêt^je crois deyoir* insérer
ici les notions re cueillie# =ptt M/iRée^-surtteybarpaeüdct,
telles que je les ai trouvées dans les papiers de ce malheureux
naturaliste.
« Beaucoup de -personnes y dit—il craignent de manger
« ce pofeson , parce qu’on a de fréquentes preuvéSi iqu’il
« cause $e& maladies et ; quelquefois* la nrôrttf CieWe^pFôy-
# priété aFéniéneiisOiide lajbéeûne tient t^èâ^oertainemedt à
« un état particulier de l’individu, qui parait se : présenter
« dans différentes saisons de l’annéeu^v
« J’ai consulté plnsi§urs pérsèhnes; à l’^ ^ l i n ^oisba
« de la béeune ; toutes m’ontiasstiréyqu’il 5r.'a un moyen
« infaillible de s’assurer isi, lorsqu’on vientf&e là piêMésq
« elle est- ou» non vénéneuses PorirJeète. il n’y h qu’à remar^
« quer sî>, en la xeoupant, il ne ;^^@«lè pcftitE nne^spèée
*xdxgau blanchq, ou plntdt une sorfe?de>sàniê,:î(jui^diSÉé.
«• tous les cas est le; signe certain que laibéeûne^as® dââs
« l’état de maladie dont j’ai ; parié ;oi-dëSSuS.< D. Akthur
« O’Neill, marquis del îïorte, iua dit avoir vu-€aire dé#
« expériences sur des chiens $ et2!quetOÙt^fpBÉ fota<&m4
« l’exactitude de ce moyen de^sécwiiéu»g
« Les signes de reinpoisônnement par la: bécuaév *Sdnt
« un tremblement général, des-nausées j Je yomissemetity
« des douleurs vives , particulièrement dans les articula-
« tions des bras>et des mains;, x
« Quelquefois, ces symptômes se succèdent avec une
« telle rapidité, qu’il devient extrêmement difficile de dé-
« terminer d’une manière précise les différentes périodes
« de cette affection morbifique.
« Quand la mort ne termine pas la maladie, ce qui heu