CHAP. X X Xt. SPHYRÈNES. 257
* reusemetit est le ca&le plus ordinaire, on voit quelque*
fois le virusçauseV' des: phénomènês*pathologiques tout-
« à-fai>ft singuliers : les douleur^ ^ai^. les articulations de-
« viennent plus foires $ les ongles des pieds, des mains,
!tJtombentÎi^sêiisflîlemènt; les cheveux, qui, éomme on
«'^sartf^diit absolument de'la même' nature que les ongles,
« fiÀifstent-mssi^ar tçmbeï#'On a vu ces phénomènes se
; u|iîëse1nteifï0^Z'lplusieu.rs individus et sè continuer pen-
«. daftt ûn grand nombte d’années.1 Ôn m à cite une per-
V1}SQtnn^fv'^ui les éprouve-depuis plus de vingtrcinq ans.
’»w^pF-ir fait remarquable }\(fest que quand labécune a été
«-salée , elle ne^dause jamais aucun accident. A Sainte-
i ÏÇC^oix, par exénïplè, ô n /^ ^% ^ û l¥ |è :,dé'ïie la matiger
«(‘que'le lendemsun ,d u ,S V o ù elle a-été salée. Le sel ne
pourrait-il pas e|>r^. un antidote du jpi§op de la bécune?
u ^ s l A u f , je n’ai été témoin d’aucun des accidens de
« ÿeuàffeo^Qnneme^t, par, la^ecun^ et je nécris qunce que
1 j ai entendu r^poffter par des personnes d’ailleurs fort
i^mstrdilÆè-l dignes de foi. v
« J’aL|u ÿoécasion de voir un-assez grand nombre de
«h très#jeunes : individus dont la longueur n’était pas .de
A plus de .sk^pQÛcesjitous*manquaient, de la. dent dn la
mâchoireîiiuiérieurël ma | | | p tiKij c 4 vd-
Il esLas^khigulier que Margraye n’ait connu ni l’une
ni l’autre de^ces sphyrènes:'au Brésil.
La méf des.Imjes pospèdeaussi des. sphyrènes ; et nous
en avons r^çu deux^Sapèce^ distinctes, qui vivent égale—
ment-sur la»côtevde Coromandel et sur celle de Malabar.
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