nos, côies,de l’Océan»: celui fie yveever, g n o n leur donne
en Angle terre ,. viennen t , dit-on^îde^qe« qu’ils ont la v ie dure
et subsistent long-temps hors de l’eau»1 I
Bélon. prétend qü’on nommait, de son temps la vive
poignastre, à cause de sa forme semblable à c e le H’un
poignard p l mais je crois auj oürd’bui ;gette ; dénqmihatioa
oub lié e..
Sur les côtes de »la mer du Nord., en Hollande, en, Hol-
stein, en Hanemarck, on appelle la y ise commune pieter-
mann, petermann, ou au diminutif, petermoennchen, f t
en suédois elle se noxmaçjioersing ou foersing; mais on Se
sert aussi en allemand du nom*de sçhwertjisch, qui revient
à ; notre. poignastre. -, ,
La Méditerranée produit quatre- ^espèces dev viveSj >fort
aisées Je distinguer, ét don t les auteurs du seizième.sie^le
ont déjàjhstingué deux, mais que plusieurs modernës^ont
confondues, faute de les avoir observées par .eux-mé.nfes>
pu d’avoir osé s’en rapporter à leurs devanciers. -Db\ces
quatre espèces.., deux seulement, à notre çonnàissance,
habitent nos çptes de*l’Océan.;:.eé Sont la v-iv,e commune^
qui remonte jusque très-avant dans le Nord; et la petite
vive* qui est encore.fort peu connueÿut n’a été nommée
que par llay,-lequel meme np l’a pas décrite. Àu contraire,
il n e nous semble pas qu’il y ait des p o ison s de c e genre
ni dans la zone torride, ni dans les mers australes, du
moins n’avons-nous reçu aucune vive d’Aâiérique, du Cap,
ni des Indes. Ce sont les percis et les pinguipes qui en
tiennent la place dans ,ces parages éloignés.
Le poisson que. l’on nomme vive dans , nos >e©JLonies
françaises des Antilles, est d’une tout autre famille, de
celle des labres; c’est celui dont Bloch a fait sou prétendu
torfpTioeha Plürhierii et qM’e^t^Ô-Efr' nous un genre nou-
que l u t t l s ? mciladanühe.
A fa vente fP|n æ ^ p ^ ^ tc o ^ éx éoe m m en tf damÇf^genre
d e s .v ^ s .1 uùjboiMmi (|& n t ||m m |ir em en t par Osbeck,
et que og} naturaliste superfi^di^vait>.m,ommè^traçhirius
Ascensionîs\ paijëQéqiu’il ras?4kj&s'ôryé. à 1,’rle £(|c lé\#cen-
sfo n , et ,par ,p®ès'jde féqu^peur>ç; m$p&$|| ne
peut etfè ’•ükë'-vi'vé dorsale unique
et d^^MMif^tajffiiis ®^tfeux aurait 'du'^n avertir. D’aprèl:
la désGti^tidh-qu’Osb’ec'k en a laissée, relation d e
son vay^fee'a1 la Cfrinépon doit-jCrditè1 qüf&<|©Jj!t ug?fséBràü :
Ses mordbres dé rapons indiqueraient e^mi"que nb’us^vOHS
nommé’ ’êhclt\x. mais la dé^lïpTfic^n
ta ch^ p a ra it différence.
f . Trcephine ponctuée', Bonnàte‘sr(f, Encyclopédie nré^|a'd!^ùfê r explication des
planché P- 46- Trachine d’Osbeckj Laeépede,1 1 . II, p.rffl^JjÿSbaiW", t. IV, î^paüt. ,
| H | n l
.2.'Voici cet article d’Osbeck (Voyagé aux Indes ,et>â'da Chine, traduit} de; I$blo-
xnaiid par.GÆ&rgib .p;,.388r) s. ' ",
■ Trachinus I Àscémionis.:
£ rç 2 8 f i 1 /1 7 ÿ fj .ïia ; v .A l a. i |É É É I eu 1 6 | B: É t i i
ürie Sehlê dorsale,'séghlë de lartête àrla;queue, doût'oûâê. rayons 'épineux: Pectorales,
et*ventraîes os&les. Queue..caunéi&rmAéavec des.^fayops courts. (JpÿpsMin peu
des. taé»es|bruMés^e ïcCndàn^p^^ue Iss ;une$ dàn» tes autres.
Tete un peu comprimée.’ Opercule de trois,pièces-, dont la moyenne se termine par'
deux pointes,' l’ù ne-plus grande que l’autre. Yeuxsprès du haUt.de là tête, grande
Narines rondetfy-etencore deux ouvertures au devant de?la têle. Denis nombreuses,
en plusieurs rangéeslonguestrès-pointues; tjrois plus longues en haut, deux en,
bas. Les màçhoirep égales. Excellent à manger. '