$r ventrales sortent pins en arrière-qu’elles. À l’anale on comptêStrois
épines assez courtes ,-mais très-épaisses, et n eu f rayons mous;, la
caudale, à demi fourchuè, en :* sélzê’ où dix-sèpt. La ligue latérale
est voisine d u dos et g.’en 'suit p a s entièrement là courbuié.; mais
se courbe un peu plus ^ è r i l e Fas, etc. '
Cette description s’aJ)pïi(ju^Æ^® Bien à un drtâes que
•|M . Lesson et Gamot vieéuent de re p o rte r
France, pour que nous, pressions le ççpire d’une même
espèce;
Sa forme générale est à peu près celle d’une perche', ét sèujement
u n p eu plus épaisse à proportion'; sa Hauteur est M peine plus de
trois fois dans'sk lo n g u e u re t-ls a n épâissèîïr’ u n jbeu'plus de dieux
fois dans sa hauteur. La longueur de’ s a tê te est u n peu plus d u
q u a rt de la longueur totale: Le iro n t descend-obliquement,-étt sans
eo n v erité ; là bouche est médiocrement fendue: i mfeaâèfioiBekfofé-
rieure avance un peu plu.s q u e fautre- Les deux mapEt'oires’, fgtçhe-
v ro n riu vo*ner\ les palatins, e t même less p ténvgôièhensi. » garnis
de dents en fin velours ras. L è premier sous-orbitaire est'étçoïtj. et
a une partie de son b o rd irès-finement dentelée. L e n ^ p ^ ^M r e u ; r u
d u préppereule .descend en figue- droite , et en se portant un S é u
en arrière; il est trèsrfinement dentelé, ainsi que l’in f ê r i e û r é ^ ^ r a
peine si on s’én a p e r ç o ità l ’eéih Stamiimbe est iégèfaêmhnfcsveiné ;
la pa rtie osseuse de l’o p e rc u lé s é teianîhè par deux'poimesbâfsez
fortes. La membrane branchiale est bien- fendue?;» {etïaHsixjEâpOEis
très-prononcés; les_peettUatiqns de la première,b ranobie sohjfeaissez
longues, mais les autres sont cdixrtes. Hj»ne Voisde denteluges I
l’épaule qu’à l’os sursGgpulaire. Le crâne est u n p e u ridé et sans
écailles, ainsi que le museau et les mâchoires; mais il ÿ en à fl-là
n u q u e , à la joué et aux pièces operculaires. Elles àont. grandes,
ro n d e s, très-finement ciliées; à la loupe leur partie extérieure paraît
pointillée: La partie cachée eat cOUpédRcatTément, a un éventail
d e douze rayons, et est à peine crénelée; On cômjite quarante à
quarante-cinq de ces écailles depuis l’ouïe jusqu’aux petites de la
bagf. de la eaudale, e t quatorze oti quinze sur une ligne verticale
au milieu. La ligne latérale, qui occupait d’abord le tiers supérieur,
descend ensuite u n peu : elle est au milieu dès le tiers postérieur
du corps ; elle se marque pa r de petits tubes simples.
y o ie i les nombres des rayons : ’
* D. lG/ll; A. 3/ÎO; C.’ 17; P. 14; V. 1/8.
Les. pectorales s§nt petites ; la dorsale commence sur leur milieu.
§a*quatrième et sa cinquième épine, q u i sont les plus longues, n ’o ô t
que le tiers» de la hajijeur d u corps; la dixième se relève plus que
la neuvième, et le premier rayon mou dépasse la dixième épine de
moitié. L’anale commence sous la neuvième épine dorsale; elle en
a trois fo rtes, que le premier rayon mou dépasse aussi de moitié.
La querrçe, derrière les deux nageoires, fiât u n peu plus d u septième
dé la longueur totale, et, est d’un quart moins haute que
lo n g u e ; la caudale est presque carrée ou légèrement en croissant;
e l l e , . a p e t i t e s écailles entre les bases de ses rayons; mais il n ’y
en„a-Æ>oint âux nageoires' verticales* qui peuvent seulement se cacher
en partie entre deux laines ’d ’éfcailles d u dos. Les ventrales
Mariant s/)us,le milieu des pectorales, et s o n t plus-longues et plus
ég&rgses.qu’elles. Leur épine est assez forte, mais de moitié plus
courte que leur premier rayon mou.
La dbialfeur dé ce poisson est argentée, teinte de brunâtre sur le
d q s ^ jin e tache d’trn b ru n foncé, composée de points rapprochés,
occupe l^ b o u t de chaque, écaille; sous la gorge et le ventre elles
se-réd'bisent'à quelques points pâles; sur les flancs elles sont fort
régulfères, et s’unissent^par des lignes étroites de points plus pâles
q u i suivent les bords des écailles. Ces lignes, devenant plus larges
et moms régulières vers- la queue, y forment une espèce de marbrure
vers le d os; les taches se p e rdent,un peu dans le fond b ru n ;
enfin, sur les joues et les opercules elles sont moins nombreuses
et moins régulièrement disposées. La dorsale a sa partie molle
b ru n e , et blanchâtre à sa base; le blanchâtre se continue sur la
partie épineuse : l’anale est blanchâtre, pointillée de b ru n : les points
bruns rendent la càudale presque entièrement de cette couleur, et