\2 L IV KE; 4F R! ©PSI èME'. ‘PERGiOÏüE^j, *
premier rayon mou fesurpàssepdu. doublei iDerrière latdcoe&le est
u n espace n ù y égal, au huitièm e de«la;fion@ueur1.tot!db. eemdaler
en é gale • lé' septième. ySoù Bo rd. est ddgélément* àrqùéfien
Elle a 'd ix -se p t rayon&uet q u a tre 'p e tits (en dessus.jet iént, dessous.
IJ& m& m p re sq u e ;au mdieu dmcocps; mais il y ^q u e lqU e dist&nce
! 'ém ë . luImtvl’a n A ji e t orflesrâ ne s'étend pas autant en arrière que
“* là dorsale.1 Elle > a - deux forts ïTay®us: épiiièuX) ieti si x mous un peu
plùs longsl La pectorale est imididipè', mapeia^ pbimtitgfc éfiia^qua-
>rWrze rayons,’ dont le troisième e t Ile. quatrième so#tdesjplus;;l#Jgs -r
les ventrales sont «aussi ; loàgaes> [queii’lès-iipectoralieS j ,#%|f ondes.
L’épine y<est forte, mais morde-moins,longue; que-leSfciBqa fix o n s
-jmbijsm *
- Toute lai tête et la régionde s nageoires paires,- m a n d e n t dléküÜles ;
leidessécliementi'en fait voît quelques-unes-rsons. laL ppitriue. ?lj&mÿ,
■a p o in t id’écailles partieulières aux nageoires -pairgSif n i auntiaes
écailles a u to u ri de leur Base.', ' f c p e u t campt<p&3.©ka.nte-
s quinze »’égailles sur «me ligne^lôngitudioale^Iét ÿio^t-fepois'và^igt-
Jquatep sur u n ed ig n e verticale ,'f au-^eâîsusfo^s.:y to h ^ s .* L a n g u e
latérale est parallèle au dos-et à peu, près droite. Elle:ycoiï§igm -eu
«ne petite saillie matemtJtriangulaireîrs^eihaqpe. é®aüle'.j ,Saêdis-
.tance a u doslfait presque partout.,le quart-de la ;liau|pur -tôtal%; sur
la iqueue elle; »en fait de ttierso g
.. iLa couleur- générakfæst- jaun&tee *etj.prend , as la-.{,paiîie.su,périeime
une -teinte d’u n Brun olivâtre, et versdftjyentne d ’un Blanc ^rgenM
Trois lig n e ^ ^ ^ e s ^ s ’étendentSdejeàaquejeôtéiSur• .tofate/ sa longueur.
La'premië-etsuit, exactement la ligne dutdfies^ l e ^ o - ^ d ^ ila hase de
la< dorsale; la seconde-suit à peu prè s la ligne.datérale md'fe -eri «
intèrrbmpufe despaee, en espace; la*.troisième»est plus B r iq u e la
ligne latérale, qu’elle r e jo in ^ u n la î'q u q u e îie d e p ie n t Elle |âf,t<Bien
continue. Il y a quelquefois le jle n g vduv flanc- une, suite dq, te lle s
qui forment une quatrième -ligné.-La dorsale est blapcjiâtre ■ elle
Bi.troisTon^quatréjtacBesvnoiT®s(qms r in â em lle de'cJtaïqueVépine.
O ra p è rç o itq u e lq u e s points n o irâ to é s su rla partie molle, aiwri que
vers le Bout de<la »caudale» ’Les n p tr e s . Bag^oir.es.'paraissent n ’àvoir
p o in t de tâçhes; elles so n t p lu s o tt inoias. jaunâtres.
;.. j CBAP.j S. 15
,t Les intestins to ^ ç jpm tz saplt,à peu près les mêmes que dans la
gremille. # d n est^ap«Wt»ettcère.plus petit, et ses trois appendices
c^èMês^MsmôBinefpmâis l e reste* de so n ’canal alimentaire est plus
læ rgè Wj
eSom* sqsaelette.k deux vertèkîfésdo^idale& det plus que. celui’de la
greipilM 'i;
^l^eï'tpïofesbiï'.desrientîmn peu -plns^grandaque la gremille : il y
fènwalquif pèsent riâmq-nBcésf»,-: e#qÉâ»ts®nJt longs -dé h u it'à n eu f
ipoMésR'm
u»iSes»BaBitii'd:ès fsobrt les’ mêîneSit^Sa: chair est aussi' bonne ; mais
il des#pa>sSsèfac'fl^à*i5(èliisp#rié,rt, p * 'c é qtl’il-expire au moment- Ou
nulle ritji^diè<i’ieauv ' - i
Le BA®râleiwi?wM .' f
4çÂ9erina RK>smea-;, no%^ Perça,acerina, j-Güldenstedfc.)
^ 0ic«i» 6 gremille ieiai®®®^te**e*ôul!ée vers l’Orient que
le .’âbiræbè-- biëtà* qdh^MBan te lle la fimÿ,’Tf'oire',bt‘<(J^’la mer
ÿljjjSf, Téfedri%i^fn,s^fëï)ah!tîbe j’/e t
Dhiep^ f le1 D^n^qu^ri la
p B meîn haut; jusqu’au
êb-nflu^iÿ jde la jOes^a, ’dans Je premjercîemes fleuye^ et
jusqu^ ^ ^ P ^ J ^ ^ d ^ n s /a y ^ jQ u ld e u s te d t, le
jprenaierftij; tmême.jlg- seul auteur qui l’aifcdébite, assure
UedWoir.ïpas même*' vue dans-;k$ Phase. • Gest , près du
Bo'Bystfcëue qu’on la nmam&Babir; surJes fe®rds du Don
Indi^Wùs * ■ dahisp; les
riv^ g s sont petits, et dan^Ta^Aer même ils paissent
pas huit pouR T"
rchionte hiver’ dans ' les rivièrps pour
frayer. fSa_chair a les mêmes qualités que celle *de la ere-
,mille,.