. 3 8 6 APPENDICE AF LIVRE TROISIÈME.
tache ro n d e , d’u n gris, viole t,.sur-le milieu, de.chaque écaille, ,et
quatre lignes de la même-GÓialeur i r a châquq côté du. museau, entre
l’oeil et la. houche, s u r le. sous-orbitaire. , (
Par sés couleurs il ressemble, comme on voit, beaucoup à l’upé-
néus de Vlaming.
- Z /Ü P ÉN ÊU S MARTINIQUOIS.
.( TJpeneus m a r tin ic u s , nob.)
Le troisième de oes mullës d’Amérique est de la tribu
à deüts en velours ^ é't ressemble’^àiêrae beaucoup pour la
forme au mulle cordon jaune.' '
Son museau est seulement eUcôre u n 'p eu plus coriVéxë, et son
oeil' u n pèû plus grand. Les pahnettes dé sa h ^ é dateï'alë so h t;sem-
blables; mais ses écailles, tronquées en demi-cerele-, o n tà leur racine
jusqu’à- sept et h u it çrénelures .-.ses barbillons n ’atteignent pas to u t-
à-fait à l’angle du préopercule.
D. 1 — 9', A. 7 ; P .1 5 ; :V, 1/5.
Ce poisson nous a été envoyé de la Martinique , mais
sans notes particulières , ce qui annonce qu’il, a été peu
remarqué.
L’individu n ’àôque cinq pouces.
Dans là liqueur il paraît b ru n sur le d o s, argenté sü b le s c ô té s et
a u ventre; mais^on voit à s^idssu.Tnuqueux qu’il d o it avoir eu des
teintes rouges.
; Z i’U p è n é u s 'a b a u d r i e r .
(TJpeneus b a lte a tu s> nob.)
M. Poey nous a donné la figüfe dun autre salmônetè,
d o n t le dós ést violet-cïàlrj le ventre blanc, et qui a, entré cés.deux
.couleurs, u n e b a n d e longitudinale d’un jaune b rillan t, comme le
séS8Ê1ÉÉII1&$ ïïio IpPfl
/ .m iullfccb^qnj,aîa e ^ ïife is,il une tache.n^iresur le ,^ té
d e la^quQfe^aqyès' la, fin dé}lap$fqxiètne dorsale e t de l’anale.
W'e trouvant t^aps cette figure e t ’clans la 'note qui i’ac-
compagne nen qui ifefSs Jlsse1^dSnnâîtré la disposition des
dents||f ’le nombre idé^ithy^RS branchiaux.,'1 nous ne sàvons
dans quelle tribu ç.ei|e e^pcé Soit/être placée , et nous
n’e:n,,parloni^@ que !p,our engager,jSpj^ Naturalistes a en
compléter description. E%;doit avoir une analogie
marquée^ aVec l’auriflamme ' eWîi*? Autres espèces h tache
sur lé \©%é de la queue! /
Jlliie paraît pas quen Amérique ni les mVlies ni les
u p éM s rèmqutfet aussi haut vers le Pord qu’en Europe.
Mitchill ne cite aucnn mulle dans ses Poiss®ns‘?ié
et nous nen ay°ns re<!u fucun dans iSBBS
bj-epjX eny d[e, p olssqn s qui nous ont été faits des Etats-
Unis.- 4
: X 'U p é n é ü s d u ! c a p V e r t .
( TJpeneus p r a fe n s is ,™ ob«)
Les îles du cap Vert po’s ^ e n t un beau mulle, que
MM. Quôy et Gaÿmaïd viennent d7y recueillir, et qui
e st entièrement du plus- beau rouge d o r é , comme notre rouget
proprement-dit, %vfec une tache p lu s rouge sur le milieu d e chaque
ë c à f c ,' mais sa f o rm e n t très-différente i**)n. museau est eqeore
plus alongé §Sjue dans n o ^ surmulet.. Les, grands sOus-orbitaires
sont m a rc jüs dlune foulé d é co re s . Son opercule se termine en une
pointe aiguë',-comme dans lé s espèces des Indes et d’Amérique. Il
n ’y a qu’une, rangée de dents à ^ q ù | r mâchoire, et le vomer est
lisse,.ftussi bien.que les palâtins. Les a ^ s ç u l e s <mt sept ou h u it
branches; les tentacules atteignent le bo?d postérieur de ses opev