Lé squelette de ee cèntropriste,'comme ceux'des seri-ans, a vim‘gt-
quatre vertèbres,' d o n fd ix p o u r l<|ïïk)rps erquatôraetpemf iarqufehe.’,
Ses efttes sont au nombre'de “S&x p tir e s , '’ëfdes' h u it dernieres paires
sont fourchues; la crête verticale qaitoyepne^ëWnicrâne'së termine
en avant, entre lés yeux, parÿune'jûhé'rositéconvexe* et écharicrée,
d o n t il ne paraît ^en- au dehors. Eh avant dè la. première/|épme
dorsale on voit trois interépineux, sans rayons. La vertèbre caudale
a- de .chaqûîe* dôté une apophj^è'/pointue, dirigée en arrière u t un
peu vers le haut.
L e Cèntropriste t^ bent.
- (P e r ç a t r i fu r c a , L. ; L u tja n u s tr id e n s , La?c"ép:>)' |
Linnaêus â' décrit, d’après' Garden, u n e perche ^dorsale
unique des côtes de la Cârroline, "
à laquelle attribue une queue àj’t^ i^ a p p in t^ ^ tid g s ^Q 'jA r e ^ d e
rayons presque identiques^agçe' ceqx de 4 ’e^p^.e^lpréce.dfec!e3f f l
ajoute que &ës opercules*sont hnement^dentel|'a^^iWll^es^^gî^a-
blement tachetée, ornée de sept bandes-bleues,get^quë ljt$fficd&ème
e t la quatrième épines dorsales,,]8g n t munies de lambeaux vj|u.ssi
longs qu’aies. «§
v D. 11/12;. A. 3^8jr.G, 2 0 ; P. 16^,V. 1/5.. 1
_ D’après'cet^e courte description, on p e u t c ^ ^ ^ g u e c k p ôi^son
est fprt Vois in 'd é celui que nous venons dV ^ r i | e ^ Ukos '|TQÙrieil
être s û r , il faudrait savoir si ses dents sont en velours et /si'*son
opercule est épineux ; deux circonstances sur lesquelles ces^auteurs
se taisent.
Les côtes de i’Amérique nourrissent plusieurs autres
centropristes de taille moindre que le noir.'