Lès feihs sent p eu gros, d’u n rougemoir assex f ^ p é ;Le péritoine
est n o ir comme de ïen c re . Les ovaires n ’étairilt pas développés dans
nôtre individu ; i l s occupaient la secondé moitié de l ’abdomen. Les
oeufs paraissaient plus petits que ceux du surmulet ordinaire.
jL’UpiÉNÉUS DE CeIIAN.
( Up en eu s z&ylünicus, n o b .)
Cette espèce, en co d ép lu sp lo n g é e que.la précédepté^ a Ip ^ a n t
frein trèsdarge et très-apkti , les dents très^fines et sur une bande
.£ort,é|r<ute. SeSbarjnlipns ne dépassent la -p lom b du bompoS^
teriepr ,4e | ’oeu. '-, - _ ^ .à. . u. .
Son corps est d’u n bèau ro n g é , Un p e ü lav é de bistre s u t lë dok
La première dOrsAlè est d ’un jaune mélangé de brunâtrej la seconde,
d’u n jaune plus pur, à une ligne n o ire à sa base. Les.autres nageoires
sont teintés de jaune et de rouge. Des deux c q t g s ^ M Ipsftde la
caudale eSt u n e tache triangulaire d u carmin le plus vif. Iips barbillons
s o n t rouges.
D. 7— ^8; A. 1/6 ; G, 17 ; P. 16; V. 1/5.
Autant què nous pquvons^ en ju g e r, d’après* u n individu mal
*eonslJve, ses viscères ressemblent à ceûx du mufle. cordon jaune;
mais les a^pendices coecales Sont moins nofnbreuses etmèapcoup
plus grêles. Lavjessië aérienne est très-grande, le péritoine' d’un n o ir
peü foncé., k g | u | ... ..., Jy . g
L’estomAc,étaitpiein de très-petites Kuîtres perlières (M y h lu s
margaritiferus, L. ; Pin ta d in a , Lam. ).
’ Cë poisson, qui a près de néûf pouces de long, a fité
rapporte au Cabinet du Roi, par M. Reÿnàfud, de la rade
de, Trinqupiinalé, à Ceilan. j g
Outre la description des couleurs faite, sur l’individu
frais, que ce zèle navigateur a bien voulu nous conunu-
ttiijttérj il a ajouté que ce poisson a la cbair aussi délicate
. tjdèn&ds#;' ; | '.) i » % ■ 3 5 9
que celle (feîinptr^.rouget, et qi»il vit en grand nombre
sur la- cote de^ Ceilan.
Z'IJÇÉÆÉcra Di u Ja^on. i
I Pfpemvs japonicus, nob-; MuVm japonieus, Houtt.)
Miw? LangsdoTîf a rapporté du Japon et donné’ àii Cabinet
de Berlin’' un upénéus de éi^të sdbdivMbn à dents
ën velours1.
Il les¥Jen ^el^ri tt‘èi-9as.'8afo^^eS^#^èbprfé' celle' dèirtbtfé
surmulet; il paraît avoir-été entièrement jaunâtre, et ses barbillons
om eacpre conservé cette couleur . son scapulaire a une petite pointe
comme son opercule.
D. T— 1/»5>'a;hSM M P. IWtfcJ«'«
Sbn'Mtfjàppnaîs est bensatsch. yi,ndîvi<|u que M. Licb-
tenlleîn nous communiqué a cinq priupe.s. Cest ïesplce
que Houtt&ÿn' a déCrit’e ét nommée miilhis japohicusl. Il
s’em trouve, une b dnnù figure daàsJ lu Recueil de Vlaming'
( n#u aa&’ intitulée bienanque-conning. Elle a le dos
enluminé dérangé. Renard ne fa pas copiée. Nousnfe :sàvbns
oii Gmelin1* a pris que ee mulle n’a point de dents. Hout-
tuyn ne dit rien dè cette circonstance. ?
4.° TJpÊgÉuS' des Indes à. dents distinctes et sur une seule
rangée {ils n’en ont point au palais).
Jb'ÜPÉNÉqs auri?la^lm|:. ,
( Jjpenèus aùrijlamma, nob.; Mullus auriflamma, Forsk.)
Dans la seconde tribu,, çefle ou les dents sont isolées et
sur une seule rangée à chaque mâchoire, la mer des Indes
1. Mém. de Harl., t. XX, 2 / part., p. 334, n.° »3.— 2. Cinclin, p. j34&, a.° 4-