Page 4 4 , lignes 1 2 et i3 , au lieu de : empoissonner les rivières,, lisez :
empoissonner les viviers.
Après la page 6 4 , ajoutez l’article suivant :
L e B ar m u lt ira ie.
(Labraæ multilineatus, n o b .; Perça multitineàtaj L e s u e ü r .)
M. Lesueur a récemment découvert dans la rivièreWa-
bash un bar rayé, cfiié Iès"rpêcheurs américains Ldi ont
nommé rock-fish ou striped bass, e t .’qui est cependant
difiérent du rockrfsh ( labrax lineatus, nob.) des cotés
orientales de l’Amérique septentrionale. Nousr cçm^ervonç
à Cette nouvelle espèce le nom sous lequel M. Leâhèur
la envoyée au Cabihêt du Roi, et sous lequel il cornue là
publier ; mais nous ne l’ayons .pas encore trouvée da^ns lès
écrits de cfet infatigable voyageur. 5
Comparé à» bar^rayéyon tro u v e y u ba r ,tpuljirme^^çqrp§ fJùs
haut,*la tête p lu s 'c o u ite , lesf dents plus faibles, les â p re të s* d ^ â
langue plus fortes, et s u rto u t;j^ ^ Ê d lle s .du maxillaire‘beaucoup
plus grandes et semblables à celles de l’espèce que nous, àyqjas
appelée labrax mucronatus. Dans le bar rayé, ces é c a iïle s ^ S e r -
çoivent a peine. lies rayons & la séçônde dorsale e t '^ r j ^ à i e «Ont
u n peu plus nombreux.
D. 9 — 1/13 j A^/12.; C. 1T; Pi Ï4; f/l/S . -
Le fond de là couleur est de mêmè';giîs Verldâire sur l é d o s, et
argenté sur le ventre. On compte au moins seize bgnes leugiàKii-
nales noirâtres et étroites sur les flancs. Les nageOiregJmpairés sont
noirâtres.
L’individu que nous décrivons a quinze pouces de longueur.
Nous avons reçu par les soins du. même naturaliste, et
du même lieu, un poisson qui paraît n’être qu’une variété
de celui que nous venons de décrire.
Sa tète est ün peu plus alongée; le corps parait encore u n peu
plus élevé, et nous lu i comptons u n rayon m o u de plus à la seconde
dorsale. La couleur du corps est plus claire : les lignes des flancs
Sont plus nombreuses et plus effacées ; il y en a au moins dix-neuf,
et les nageoires vërticâles sont à peine grisâtres.
Cependant ces différences nous semblent trop peu importantes
pour nous décider' a distinguer comme Une
espèce particulière ce poisson, dont nous navons pu examiner
qu’un seul individu desséche, mais bien conservé.
Nous laissons aux natüValistes américains, qui pqurront en
voir un grand nombre d’individus, à résoudre cette question.
4 1 Page 7 9 jfàprès l’article de \& variole du M l, ajoutez :
' Ha variolé se^^ÉïOtive aussi dans le Sénégal. Le Cabinet
du Boi en a jéçu deux individus*, que le gouverneur de
mette colonie, M. Jubelin, y a recueillis. Il nous apprend
que ^„poisson y atteint Jusqu’à quatre-vingts livres de
poids ,' et que les Nègres le nomment ghiènevèche. Ce dernier
mot pourrait, bien être une altération du nom arabe
de cè poisson keschr. Dans un des deux individus on
cèihpte un rayon“ mou de plus à la seconde dorsale.
Page 7’g., ligne i 5 , au lieu de : (t. IV, p. 418, et t. V, pl. IV, fig. à ),
Usez : ( t;-y,-.p; 32 6, et pl. X, fig. 2).
Page 1 1 3, après Partiel«; de Vapogon à nageoires noires, ajoutez l’artide
suivant :
• Z /A pogon A NAGEOIRES ROSES.
( A p o g o n ro s e ip in n is , nob. )
M. Reynaud a rapporté un apogon pris dans la rade de
Trinquemalé, à Ceilan, et qui est assez semblable pour les
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