posées (en sfiées serrées et myonnanteSbiappmè‘fte plusieurs centres,
: *<pifi irejjfimhteâfeft jptukat d’étoiles., ipifiçompte n<|uf de ces étoiles;
deux rangées..transversales çe quatVe^fet unp impaire en arrière,. où
, t elle occupe le lobe anjpndi et unique que forcée Je bord postérieur
a u crâpe. Les surseapftlairès forihent èhahun u n au tre 'lo b e également
très-strie, * t ï y , a aussi beaucoup 'd é s triê s sur èhacpé1 apophyse
sur(ÿiène, E n fin , les sotis-ôrnitâifes, q u i nè
ifiéifte'le-H'êfs fié la joue, sbntenôOrfrâéSèfc striés., üȧis>,tfi©ibs p ro--
fiÿadehiênt. L’antérieür donne en avant deux petites pointes y qui
orôisent sur lairaoine du imaiillateFe. Les. stricts d p (pre4q>erçnl«i s’fi
en a, disparçpssea^spusjla peau, et on n e peutfijq fiépouvrir aucune
dent à so n bord inférieur,.non p lus qu’ayjcjine pe in te au -subuperj
. c u k . 4 mdeypntfie*.chaqq.émil sjpnt les orifices.fie la narine, rapp
ro c h é s et petits, su rto u t le postérieur. La*ferme, d^rpnée*fie la
tète faitjb'ue ïa mâchoire inférieure ést moins verticalé'qti’âüx ’au*
4?rêÀV elle à ùh ^os^oentaOûle fcotirt, dbbrfïù, c o h iq n e ^ sô n extrémité
| âritCTièüre shfisdàjjfe’rié' itefêrieùrè; -mais ett dedans eflierioi p@iut fié
lànièrey quoique là membrane tra n sv e rse y eîiste ;o©mmellÈËffiS2lé
pesté d u geôfet E ’est à pêipévsi ÿ^n. aperçoit sur les^èjrjes^filégéçeé
villosités. Los -dents latérales fie la mâchoire iifierieure
et sur une seule rangée,fço|nme dans.l’espèce eoinmqne, ma^ p j u s
, pejiteglà p ro p o rtio n ; le s autres sçnt en velours fou en caxfies» Ê n
dedans de la bOucne, au-devant d u vomer, semblés ïoSisps .ordinaires
à<-tout le genre.'Le surscâpuîàirê n’a pSs'd’épine j eeHjelfie lepkùïé
' »çst très-courte et presque, cachée sgus-Ia p^aptj Lefe^rp s ,‘fe’s l ^gaViii
d’écjfilles;^ exdè^ivfeAéfit1 pëtüsëâ, m ô lîé s f 'ïAletogtnu,, qui néc^out
nullement disposée^ Lsu ç . des lignes obliques, ,B*fis^Sferi|ée's JîéS(,fines
contre les autresvenmme pourraient l’être de pffils.gnainsjitelstmi’on
en voit sur beaucoup de-peaux. La, ftète^.jl^ggrg&jj la fp o itr in e ie tla .
nuque çq sr^ntî dépourvues.; Cjest.a peine ^si ,l’.on*peqt; cfistk&per un
lfg e r repli p o u r to u t vesfige "de ligne latérale,7et‘i l serait ai§é dé
soutenir qu’elle n’existê pas, si eüe%i’apparaissàït éjn arrieèe aü‘ mo^-
ment r/u jeïle kè tëéotfrbè ipont 'désefénlfeé à4à câüdale. Dtt reéte, le
Corps et lès nageoires 'sOttt fiiSpOséb’dOffiine dans lés autres espèces,
sàüf la doiifusion de la première dorsale :avec la seconde, ssfc-fiaétne
dette première'existe; car fi'me Semble qu’il fi/ÿa pas de rayon qui
ne'.soit fin p e ù ’branchu. La pectorale est un peu poupée en pointe,
le p édieuiepectoral n ’a qu’une pïoéminegce simple et mousse.
«3 A. 1W5.- 11;'P. 17; Y. 1/5.
' T h S m 'dessus1 fié- cewpojssonSest d’un gris foncé tirant sgr le viole
t, semé fie tachés blanches fiséréfîs.de no irâ tre, plusjfipnihreuses,
■plus,'serrées, moins égales, moins c o n s te rn e n t arrondies que dans
>*fiuranbscopus la tête elle? sgxjt plus petites ; sur les
R ectorales, lë^fiaihcs' eM|»„caudale, elles deviennent plus grandes et
se mêlent les unesMux autres, dé manière que, surtout aux flancs,
qlest le blaim*'qüi.aomine. T o q td o d esso u s èsriblanc, ainsi que les
i ventrale» et l’anale; iatdorsale est blanekç avec u n trait noirâiEe.âïir
1 chaque Fàyon. w
individu espfiong d’u n pied.
‘J ''Celfirânéscopé^id^îa 'Nofivêlle-Zéiande, rfa^pas le foie' aussi gros
à p io p o rtih n que^elui de nos mçrs; mais la fo'rme en est à peu(prgès
la même. Lâ~vériëulp du fiel est eiicpre plus' grande ; elle- est blanche,
ïæmpli$<$mie*bile limpide. lift canal ch(^léd^|ug/it’es| pas très-long;
mai'§;i]|Mdilate ^subitement ajp.rès sa sortie fie k ypsiculp,! de manière
à“ferri^rfipnmpL/é nnç.seçotide vésicule^plus petite que la première,
qui re èo itfiê nombreux Vms^aiix h y s tiq u ^ 5iet s’oirirç aans'le duodénum,
aerrière lés appendices cèrçaïëi. ’/
I?os^WpKaigh ést'âss'ehétîroit et- plissé longitudinaleinent. L’estomac
hét-grand] én^ië^yfeoodij-Comme iinè boüï^e? : ses-pârois inférieure»
sfiht tffitaces et sans plis â f intérieur. P a r en fia n t, dest-à^dire du côté
d S sa" région dorsale, ses' tunique,s-Sïôiit plus' .épaisses^, et ont enide-r
dans u n glanduleux et irrégulièrement plissé.; ,
Le pylorq est^qprès d u cardia :.jl jpa quatorze appendiçes çbecales
disposcesiongitüdinalernent en u n seut rang su r le duodénum., d o n t
les 'parois sonwepaissés..
C te ifite s tin ésî-kssez longf®sfe rèp lié deux fois sùn lui-même, et il
fait l^ isoW e beâüqpup d’ondiilatîéns plus où- moiiis grandes.‘U n
peu avant -depe^enore à • H anus/ Se© p f f !ôls' s ’épais sis sent, et son fifâs-
mètrè' augmente-aussi- u n-peu, d’o ù il résulte qu’il p a ra ît beaucôùp