APPENDICE AU LIVRE TROISIÈME.
t)es MuMekr{M u llu sLiniï.)
; Les mulles forment^miirgenreparfmtement naturel, et
qui se,;.distingue, saisjpnuïn|\4n^çes^Àde&raGântho^térygiem
par, deux dorsales sépaæéfis» luta&de l’autr#, parles; écailles
larges-et-peu adhérentes qui garnissent la ‘tête et lec,coïps,
etksprtoli^spar ,(|^x.'j|)arbiironS attachas* s'ous la,’ symphyse
de^la^âehpire- ’{iiiffpeure ytèt quii? seojatirêiit entre #é8
s^ïdans l’état deç repos; et chl genre est tMferifènt
is^îgft, que l’on peut;,le considérer -comme ^rîha;nft à-lui
seul une famille particufièrêpNdus le plaçons- à la suite des
pe$£o%<Je§$i®on pas qu’il leur, ^^aitienlïe ; en tiâ r^ eh t,
mais^ cause-(fe quelques rapports légers1 s qui l’en rapproc
h ^ f f ls ji:
-s.fies poissons se re ssemblentjifee au co up entre-eux : lfeur
qprpsl estjoblpng,;peuj‘Compr^sLéy.leurs.nageoires de mé-
^®^e..étendue>ÿÉ^np,profil plus ou moirfôficonvexe,] et
dans ^esïdeux; sens. Ûq ^®ias^qrhitaijr©i haut*ët ^étroit,J qui
neLeoeyre point la >jom.% relève l’oeil jusqutpprès de la ligne
du profil; Kouyeatune^de la bouèhê:e§Ê petite, faiblement
garnie de-, dents û celle depbiançhiefi^st bïen’ïendue, niais
leur, membrane, fia que quatre; »ra^nS ; « la lïgûlê latérale ,
parallèle an ,d o s, ser marquer par un petit arbusfeülë sur
çhacune, de ses écailles eûfin, le>jbnd; dé la feoüleur èst
presque généralement d’un.rouge..plus ou moins vif. -
Leugintérieur n’est pas moins uniforme que leur esté