Commerson. Ce naturaliste en a rapporté un individu au
Cabinet du Roi, et en a laissé une description fort d é taillée,
sur laquelle M. de Lacéj/èdi^fïIV, p. 33a et 367 )
a établi son holocentre^jueue rayég, Ijgj
Sa ressemblance ayèd la. précédente est extrême; piais le nombre
de ses rayons mous à la dorsale s’élève à,quatorze, e t q e lu i.d e tses
- 6 écailles sur une rangée longitudinale v^.à, plus de, çinqiwnteT et
1 /«nr «“ e rangée verticale à'dix-£èn£^‘p% n e W ta o h e au
sommet de la p a rtie ' molle cta~ sa d o rsa le , et_U|n’y "a pasj tant de
différence entre sa neuvième et' sa dixième épine.
D. 10/14; A.3/JS,; G. ,17; P. ,l,5f; V. W.
Commerson, qui a vu ce -JMssoirî ^"l^etrf^frais, d it que^lë^oS
est d’un b ru n bleuâtre, et les flânes èŸ ^ f e n tr é ’dhin' Maife^fegént.
*** L’individû séc qu’il a laissé,/ef qüi est "l^ng'de moJit're
encore sur sa caudale la fifeme distribution' dü n o irâ tre. d u q a u a lîre ,
ê f le même liséié n o jr que dan's l’e s p ^ p ré e éd d j^Q js s ^ n t ^ ^ a -
gèur 'a observé l’espèce e n F é v rie r t '’fffô ,:i ü r le s-lS rc iié s ;d llp lf e -
de-France, et l’a toujodrs vue plus_pèlite- que n o tre -p e rch e < de
France.
L a D o trL_Esi*BRu‘R!
( Dules -jhscus ., nob. | ^ >
Une quatrième espèce,, apposée de l’île de Bourbon
par M. Leschenault, est un peu plus courte et .plüs épaisse
que les précédentes, auxquelles elle ressemble d ailleurs
pour les détails.
Ses épines dorealeé-^ont u n peu moins élevées,, j@t »le,s,t rayons
mous n’y sont, comme dans lé b o rd é , qu’au nombre de on?e. Sa
couleur est bru n e , avec , des reflets d’argent du cô té . du ;y eutre;dsa
dorsale est aussi toute brune. Sur le brunjd^.^sa caudale, çptre ses
rayons mitoyens, se voient quelques lig n e s ^ n g itu d in a le s noires.
Le lo n g de la base de son anale régnent.des ,taches noires, une
entfe chaque rayon; Ses pectorales et ses ventrales so n t d’u n gris
*!' b run. ;-
. j D.,10/^_; A. 3/10,;. (g. JJ; P. 1&^ y,
Kns individus n ’o nt que quatre, popceA
ji .X f âD oU L E S DE ROCHjE.
{D u le s vu p e s tr is ^ C en tro p om u s r u p e s tr is , L a c é p .) f l
C^M^ienc^^'ëtre une^eslpèce de ce gemqe que le pois*
son de rocJiçihYîle de Bourb on^dem t la description très-
détaillée,.„la^^ y ^ a r .Commerson , a produit lartiçïe du
çentropome-de roche de $L de Lacépède (t. IV, p. et
afrjjfojüëvsavaiÿt voyageur à qsd nous devons la cdnnais-
saBÉcé^^ijtàpt de poissons', nous dit que cÿni-ci, le cabot
et f£«igüille|^ont M! s^als qui sè trouvent dans les eaux
doüSës'^W l’iîn. Celui-ci ést estimé pour sa saveur : on le
prend dari|r^f|yme du Gol. Voici un extrait de la description
Æ'Commerson :*.‘
Son apparence e t sa taille sont à peu près .celles d’une carpe
ordinairê; il y :en a de quinze pOuces de lo n g , et qui pèsent deux
; divresn Leüdèsàüsi d u eorps et de la tête est d ’un b ru n bleuâtre; le
. müèetrdetchaqtie. écaille ÿ-est plus n o ir 5 u n blanc argenté règne
sur :le£ flancs et ^&*ts le yehtre, mais les écailles y«sont bordées de
: n oirâ tre, et sur._chacurie des écailles des o p e rc u le il y a souvent
j|^ u x .|f iin ts noire, plus rarement u n seul; les nageoires sont d’u n
b ru n qui est< p lus i&neéJ aux s u p é r i e u ^ ; , On ne compte que six
rayons à la membrane dés oüïës, et assëi forts; le préopercule est
finement dentele; l’opercule se termine pa r deux pointes aiguës.
La première dorsale à neuf épines fortes, dont celles d u milieu o nt
jusqu’à u n pouce f |^ em i; la seconde lu i est continue, et commence
par u n rayon épimèqx, suivi de onze m o u s, d o n t le dernier très-
fôurchu. Les pectorales sont obtuses,' et o nt quatorze rayons; les
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