LÏVÉfe TiROlSIÈM® «P'ERGOaB'ÈS.
t.; (fctnmer^on , qui ra'yu'-dans’Tî^at-fràis^ le décrit à pett
près de même r envsorte qi^idî ne tçi^it',pasmvO’i:r, b.eaTOOmp
changé par la dessicj&tidpill parvient ! p eu près f|ta,“;gjjan-
deur de notre perche dè< rivière, ét p%-le‘jÿêbhë sur le^cp'tès
dfe risle-de-Rance.' V <
occidentale de fe<Mër Rot^è^ 1
Le £Srr^ ite ponc^ te. '
( G irrh ite s p u n c ta tu s ] ïàoi>..)-?/-•'
Un deuxièrh’e 'Wrrhite. h¥t foit^^M^hife‘ âhiA^phéfé3
"Sés dents latérales et sai.secondef
et les rayons .simple^ ucçtorale plus, longs à p^o,pfçuiS.’t]ba
pointe d e 1 son- operbulfe^estiplus^^uésj'^s^.'àa.r MfpuWfl^’ê jA s de
grandes’m arbrures bruîtes eh des*poiats£ norââÆress/e
Ses nombrésldetS'ayCüS^^it ■laèniëin&Sit[u?asj^cli©fid?'4la
11 L ie Gl*&aæE ;»NTHERI>N. 4 «
(C ir rh ité s p a n th e r in u s , noïJ.; Sparlu s .p a n ff^ ig .u s } L a c e p ., t. IV ,
p .u § d ,|> i. 6, tir. 15pp
Notre troisième cirrhite sëfa celui d o lj H- de LacépJjHe
a fait son spare pg.ntherin.
Cest te seul qui ait été connu avant‘JCommerson. Seba
en avait donné une figure passable, t. III, p l^ MJnr i2|
mais il avait négligé de faire remarquer lastrnctuje ^particulière
de ses pectorales. On .en^ trouve une autre , mais
bien mauvaise, dans Renard, I.re partie, pl. 9, fig.6* ; nous
ne faÿi'i-ionS‘?paskrécOjànue, sànstl>'OÉiginal pn peu meilleur
q^Êëstedàhséfëlteêa©u.eil1’de (Sorneille Vlaniing garnis le même
nom', <èfesurénïeii^pfei,(^lÈw,Jèfji^4‘opri'é, de cabiiau de Vile
M M um & e i ’
' ■'^ê >g ^ v e ® P ^ è ', lH - 'd ^ ï j |'B é p ^ ! e ^ t . IV , p l. 6 ,' fig. 1 ) a f a it
t ifs pu Taàl r ( 'w | >1 r tm e ^ ç e lu ld è ^ o é b a , t o u ^ cc q u e 1e d e s s in d e
C o m m e r s € n , m ’i l '^ M a ^ f e l a i s s # t v o i r d e s r a y o n s s im p le s
^ b t^ tà ie s ;t m a is jf o r ig in a l d ’a p r è s l e q u e l .ce d e s s in a é té
f a jiÿ e t quig»§sÿ4à û |Q a b i î i e t d u ^Bloi, n e l a is s e ' a u c u n d o u t e
sert -te ‘,geaÉrè-jauqueL i l a p p a r t i e n t . . î
Danâ^êteMÿs^,',on distingue enclore les points bruns ôiï noirs de
la~têt^ une*bÉntîe^uMtredesKm^di^:llr ligné latéihle, et au-dessus
.A u te fb an<feArun&.iséparéefdgrda,dorsale par une,autre plus pâle, sur
K tp lem ' se^ ^ iîln t q û e lq u ^ : ’larges taches brunes jamais, le poisson
sfe^isé^t-ifti'flnipient plus beau’ qu’canne l’aurait soupçonné d'après
©.©^indivÿdiî^ desséehés. fLe fond de sa. couleur est u n bel orangé,
^ quife^çhangp*% ün.aiupùre vif sur les,.côtés de l’abdomen, et en
. ;coul(eUr d 4 ‘ç^tR<îtt.sû’irla- queue. La tête est semée' de taçhes. rondes
bien terminées ,,, noires*, et des tâches semblables, mais d ’u n b ru n
flNHSh sQpt- sqm^es sur le bas des joués, sur la metubrane des ornes
etîsùrjl’espace qui est en avant et au-dessus de la pectorale. U ne large
bande, d’un n o ir violet, à bords.irrégulièrement éohancGqsjet nuageux
, règne depuis l$cBîïlipu>thi c çrps jusqu’à la base dfÿla caudale,
en su iv an t la. ligne.latérale; Les rayons dp la pectorale, de la partie
molle de la'dorsale qe-dgla caudale sont aurore, et la membrane
qui les tmit estjÉlas entre l’aunoruet le lilas est une suite de taches
. d’un yiopet foncé, Les petites écailles qui garnissent la base de la
dorsale molle sont orangées. La partie épineuse de la dorsale a sa
membrane grise,.,excepté à la base, ou elle est aurore. Les rayons
des ventrales et de l’anale sont de. couleur de c itro n , et la membrane
qui les: u n it est grise. L iris de l’oeil est violet et a le bord
-rouge.:
La to u rn u re de» ce poisson est entièrement celle d’un serran : la