velle-Orléans. On y tmuYe Jgalement le pomotis commun,
que les colon;£.françaismomm ent fendeur ou coupeur d ’eau.
Ils distinguent l’espèce qui fait le sujet de ce noiïvel article
sous le nom de grande gueule.
E n effet, en comparant entre eux ces deux poissons,,on reconnaît
que la grande gueule a la bouche fendue jusqu’au-delà qjs la
m oitié de l’oeil. Le corps est moins~orbiéülàire ; l’auricule noire
est plus co u rte , et le nombre des rayons mous de la dorsale et'dê
l’anale est moins considérable.
D. 10/9; A. 3/8; C. 17 ; P. 1 5 ; V. 1/5:"
Les couleurs sont- a peu près les mêmes que celles d u pomotis
Hj conànun. M. Lesueur, qui a yu ces,poissons frais, dit qu ’ils sont
™ très-brillans j le fond b ru n de le u r corps étant mélangé
Ils n atteignent guère à plus, de huit poqcèsV ÎEëur chair
est estimée.
Page i49> article de Yholocentre oriental, après la seizième ligne, ajoutez:
M. Reynaud en a rapporté de la rade de Batavia'Ël
très-beaux échantillons, brillans du plus beau rbuge rayé
d’argent, et les a donnés au Cabinet du Roi sôüs lè nom
de gourrara. Suivant ce naturaliste, la chair de"cé poisèon
est fort délicate.
Page a n , ligne io , au lieu de : D. 7 , lisez : D. 9.
Page 2 33, ajoutez en note :
Notre uranoscope à gros barbillon est représenté dans la zoologie du Voyage de la
Coquille, par MM. Lesson et Garaot (poissons, n.°,i8,), sous 1$ noi® à’uranoscope
houripoua.
TIN DU TOME TROISIÈME.