elle a en outre des taches s ^ ip iilie u j âes^pigles
sont blanchâtres. Les pectorales, sont, grises j, les ventrales blanchâtres.
Notre individu est long ^ g hw it 'poucef.
Le foiè est petit et situè^fen travers.Jhk^ ’oeTOphagej.J&st®iôàc est
assez grand, mince. Nous'avons. compté cinq.çoeçum ils
sont longs et grêles. La vessie natatoire est grande, simple, à parois
excessivement minces. ; É
Ce poisson se n o u rrit de crustacés 5 n o u s avons trouvé ;daipts-»sôn
estomac les . débris d-un pàgure. • i
CHAPITRE X X III.
Des Thérapons, des Datnia, des Pélates et des
Héloièsr .
S’il existe un groupe op poissons qui semble fait pour
désespérer Tes %atufalistesen ^montrant à quel point la
haluTe | | | r i t ’,de îétirs combinaisons caractéristiques, c’est
eelüipcjônt nous traînons dans cef article" ét qui avec une
multituqejpfjrapports intérieurs et extérieurs, assez particulier^
pour qu’on ne puisse le démembrer, avec une
gE^dëVrëssêmblânô% à tqute la famille des perches, réunit
des" esppeps munies de dents palatines avec , d’autres qui
paraissent 'Constamment dépourvues.
To usâtes qlôissons ont des dents en velours aux mâ-
pkfÿiTes, nés dentelures au sous-orbitaire, au préopercule
et même,souvent aux os de l’épaule ; aucun deux n’a plus
ê s èix rayons aux branchies : ou ne voit d’écailles ni à leur
©râne, nj à leur museau, ni à leurs mâchoires; leurs épines
dorsales replient dans une rainure du dos qui se marque
de chaque coté par un sillon; leur vessie natatoire est
constamment divisée par un étranglement en deux sacs
distincts, comme dans les cyprins, les characins et les
myripristisj ce qui est un cîaractère assez rare dans toute la
famille des acanthoptérygiens.