dont cette peau est recouverte, et q u i|;au rapport dé
m m e , mousse comme du*tÉfron ïorscj^fei îâ frôttë*1iw c
la main.
A la Havane, selon Parra, on lji|)|p'elle ja b o n s illff/o u
plutôt xabonsil^Oyim cjui siepifié swonnettê.
Plumier et Parra avaient été jusqu à^résent les seuls qui
eussent laissé quelques documens sur ce poisson. Plumier
en a dans ses manuscrits une figurej enluminée pthsaîble,,
aux détails des opercules- près, et Aubrie>t en-a fait une;
copie dans les Vélins du Muséum-1', 1 en sorte ': qnafify a lieu!
der sîetonnerlque ni Blocli ni M. de Laeépè'Éë n’en aient
rien dit. La figure de Parra* est cependant bien supérieure
et nie laisse rien à désirer, et sa description, quoique brièv-e,
est aussi fort exacte.-Sefomider a établi sut elle m m a n tM a s ,
saponacem3 Broussonnet possédait un&fel indivi^fei'efo
ce poffismi, venu de la Jamaïque et long de près de dix
pouces; il l’avait appelé perça microps.
L’espèce m prend sur les côt^s du Brésil, comme dans
le golfe du Mexique, et c’est de |Ê que lë-Cabinet us^eou
par M. Delalânde les premiersTn^iyï^us qu’il a possédées
Je ne vois pas cependant que Margrave, en ait ‘ parlé. J1
paraît quelle traverse l’Océan, car MM. Quoy et Gaymard
viennent d’envoyer des îles du cap Vert un individu qui
ne nons semble différer en rien dè: spécifique de^ceux
d’Amérique.
Parra assure qu’on ne mange ^ s fo-^^u,nier. *S.
1 . Elle est in titillée : Tinca m arina lu lr ic a , vuleo Savonnier a ia Martinique,
P. Plumier.
. r 2v Pqissons de la Havane, pi. a4, fig. 2 et p. 51.^4»
S. Bloch, Sjst., édit, de Schn., p. $10', n.°.2Ç.
L e SAvdÉÈffiSit'OOM'iyilfiîï.’" |
(RypMcùs.£Cvpona%eWj, nob. ; A n thm s ,.s a p o n a c e u s , Bl., S c h n .)
t r Æ&®,usJpo,ssea@:ns depuis lo n g -tem p s ©$te ;espèce de-savonnier,
qui -V-ienjî des-parties, «handes, de- l’Â m e rJq ^ ^ e t-q p i est longue de
>h.uAt .à neuf pouf^S^^ffosMiieteSt oblongue et comprimée, et sa
C o u l e u r un noirâtre tiran t’ survie Îviolet. -La longueur de sf^tête
-ifjiflflfipllifi h haufeur . du-jt-V&ué > ©t- dàistipfus d u ’quais de sa longueur
-totale.; Sk-mâchoire mférieûreayjang.e p lu s que jTaqtre ij sa dorsale,
d ||b o rd ’sâSfeez “basse, s^«sfe^par degrés, au p o in t d’être sur Papaère
presque aussiÇiEtu|p;!q^te,’le trqiic ; elle -se termine en s’arrondissant.
b/>s i’ro i'5 ppmrirjrfs wn ons'isoût épineux -etsa^peupreS;égauxj il y en
i ^ p ‘sjài.te Vingt-cinq m o ès:; L’anale en âÆx-sept, tous mous et peu
d if>érênîf<é|i lo n g u e u r; ÿWba’s^anterieurè W v o ît seulement le ves-
‘Ange d’une1 i f â t e énine; elle se termine M ^ sip a r u n angjlp arrondi.
( Le "la càüdale ?Sr également*de dix-sept. Son
%h>tre la caudale etr les^deux'autres n&-
»» «rep à.5p(eine,le quinzième d u total. Les
Ay.pr( 1 (noie-), «si qil .iiinVkü qip^, obtuses , c t4 les ventrales,as$ez, petites;
_ eqe^^tirtent u n .peu plus en rque^Jfes .pectorales. Toutes, les
^ v e l o oe ^ ^ À mâchoires,5 aux,palatins, a u tvomer
afcüt ,uat p h d i\n g ie n ^O n n ’en vpit.pbint sur la langue, q ui .est libre
dNse/ pointue. Il '»iîjpa part4jjft|, même sur lés .m âch o ire s, des
’' f a i t e s eU lpli^e^, qm ^ ^ ü é là la'Étape, paraissent striées en rayons
1 de toute p a r tl‘éfe'crènêïé'èS'c^ : t au to u r, mais qui a&tl-ji petites et
tellement encroûtées danS u n épîdfeïme mou et spongieux, que
- l’on a peine, à les sentir.^ . -.;
Le fûite dè^ffipoissÉiè-est assez* épais ; il se prolonge en a v in t en
une lame mince qui glisse-derrière le'diaphragme. E n arrière il
donne deux pointes qq^ em b r'^ ^ ^ t l’oesophage, et d o n t la gauche
est la .plus longue. La vésicule du fiel est très-alongée et très-étroite.
L’estomac fet u n sac long-, assez large*, p o in tu en arrière, à parois
peu ch arn u es, et n ’offrant qué quelques rides à l'intérieur. Sa