| to ta le , et pespuMpajt cénl%Ue®t pqs^ |^^^iga^p'iprès}raaîiant en
n|£iyÈffi| que, d jn s .la,^écunp ,çt çjaps la sphyrènp ^ ’Eorope.., L^i t^ te ,
comme damssla |g}iyrèiie con^njunejje^t, jj^ois foiç et derme 4 *ijs la
■ Jongueuf totale : mai^. elle e s t plus -haute, à proportion. .Sa hauteur
est trois" fois Ju ste dans sa longueur. X p h a u teu r d u ‘corps est sept
ToîSw et p lüs‘ aans la ionguèpr totale? 5
Les- nombrës sO n t^ e f ^ e rp ^ ^ ^ ^
B.^^cDt sf—l'/à'; jP i / o f è . 49; l y g M n
‘ Notre indi^id u d u Brésil est Ibrfg d è treiz&%6ûèîfs^ jfiàis' il o ui en
avons depuis ibpg»temps:Jüné; tété -tpii i;âtePbtfëêf uïie" ‘lOMguedf’td è
tr.ois pieçls, « t 4 p tlt ré®empAt<il n o u s, en est* venu untifitdividü de
.tro is pieds et “demi, recueilli à P o r to 4 tip o , par M* J?léç./-.-
jj | I^es; i ^ ^ r g g ^ . ç ^ e l a
sP ^ ^ r^n® t ^ Ç u r o j^ C’est exactement ^ a fmême forme ^ et la ipprpe
disposition. X’estomac. aft&eulemènt p a ru u ii peu plus ‘grand. *
La vessie aerienne _esf'dê inëme/m^i^mue? '■
Nous aVofe^s le squelette de* cèlte*eSpèéë :¥^s 'pi^cei y^Bïit^en m enll
nombre que dans Te sp'et; mais' cKaquê Vèrîébre ^ *à
p ro p o i tion. La première dorSâle cOrûnîence sud la' jcirfqdièfrie', tandis
que dans l e ^ è t © f ^ ^ r la is ix îe ^ f c 1 5
Il me paraîtv^ete «est de é e f t ^ e e ^ ’d^èsj^c^ que lîo -
chejprt: parle j, qu’ihla j&gure spusle nom a. Il
la range au nombre des monstres marins avidef§||feneh^ai r
humaine, Elle atteint, selon lui, siept’ ou huit pieds (»dé
longueui^iet s’élance t avée furie su? lé f hommés:*qu elle
aperçoit dans leaù. Sigs dents fotit dès blessures souvent
mortelles.
Dutertre3 attribue aussi à sa jbécune cette énorme taille,
et la dit plus dangereuse que ie requin, doutant que le bruit
et le mouvement, Jçin de l’intimider, sont ce qui l’excite le
plus à s’élancer contre ses victimes^
1. Histoire des Antilles, p. i8r. 2. Ib ., fig. S , la bicune*~ 3. lb ., t. H, p"2o4.
v, ité goàfedoSsai ehdr#a;U; dire de jent {dieux: écrivains!, e^t
lei inêtoéc^ife iC'elid du;h^OicM®t',|pîaLis' elleJ-est tfèsësufettë^
à t 4trft' em^0fiso^nee>y;Bo.ur s’assurer quelle .èst; saine, pu
exaiiiine si ses dents font bien blanchjes ^çtd’oû goûte sfon
foie, pour savoir s’il n’a pointacontracté d’amertume. Dans
Je ^as^ontra*e»î|dn la ije jêfctç:soigneusement.;;Les habit,ans
des îles croient quelle prend ^e» qualités? vénéneuses quand
elleia mangéjles fruits duanancenâilier, ‘y
4 j(^tesl>y trous parait avoir représenté la même espèce
sous le nom de è«rra6‘udo‘.iGeti âuteuriâssure.en avoir vu
de dix pieds ^ lon gu e im p e ia to^ i entendu idirê, qu’d if ?en
a dé p'lusjgrànds duéoreîi II ajoute •qûe^é’f Strùn poisîoû %ès^
yomeis qûiïP^gh oveéfbeauffQupidejforee^îqui'eh détruit
une: infinitéid’autres|ggi qui; attaque* les hommes lorsqu’ils
se baif UjéP|t. i O u éii voit jib efiiueoupi dans tettesd on d s ; autour
deS)®tesïdë>^aliama; ét daiis dautr@S)parages de la zone
toriiidé. iLqur:cbaiù<selon GaJbesbÿjîést désagréab le.au goût,
et sûuv-esn$semp6is.ônnfée,: causant a-lors : de grandes douleurs
deiïjêité, .des.^ondssemensç ^etjfiusantt tomber les cheveux1 et
le^onglés. oNéânmorns les pauvres Inébitans de* cés îles ne
laissant >pas que d e s’en nourrir, i
Sloane parle auSsildeioe barracuda dans Son Histoire
U.atrirelle de la Jamaïque2. Sa figure du moins‘ressemble à
nq^reaespièQeiv ; ihais ; l’individu qu’il décEit n était long que
dé quinze pôuceèi Ge »poisson, dkdl, est innocent ou vénén
eu x /‘selon les lieux -ei les*saisons, et-surtout selon! les
alipaens d ont ii-se nourrit." r ■
*,Tout ce qui a rapport aux;pdisso-ns vénéneux des pays
chauds, et a nette maladie appelée; dgnaïer«, qu’ils occa-
1. Catesby, t. H, pl:. 1 , fig. 1 . —-S.-T. II, p. i85. •— 3. P y 24'7 j %•- 3.,