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semblables à l’angle inférieur de son maxillaire. Son opercule a à
l ’angle une grosse épine striée, d o n t la racine se: continue sur la
surface de l ’o s jusqu’auprès de sa base. Toutes les épines des nageoires
sont., de même,, fortes et profondément, striées..ç^apn front
est fort étroit entFe- les y e u x , dont l’intervalle ne fait .pas le quart
de la longueur de la tète. Les palmures de son crâné, sont moins
nombreuses, plus grosses et trè's-âpres ; é t , en général, foutë's' les
âpretés, les dentelures, les sillons que l’on observe (fans ce genre,
se montrent ici avec u n e force proportionnée â-la taille du poisson.
La chaîne de ses sous-orbitaires est. plus large et plus plate : son
surscapulaire est strié, maïs presque pas deiïtelê.-Sa première dorf-
sale ar.une épine de plus que dans les^espèces précédentes, et sa
a membrane s’u n it u n peu a l’épine dë la seconde, laquelle est beaur
coup plus basse à p ro p o rtio n , né raiëknt ^ ëT ë ^q u ia r^ a fr pf^mér,
rayon mou.
B. 8 ; D. î 1 — 1/14; A. 4/11 ou 1 2 1 ; G. 19 ; P. 18 ; V. lf t .
Ce poisson paraît avoir été .dunebelle couleur dogEee ;
car M. Langsdorf, qui avait bien aperçu qu’il neutre point
dans les gensr^ r.eÊU&r Tavft.t* appelé jfjep
il porte en japonais le nqna d,M/m'X:z»Âîo, qui signifie poisson
doré de mer. Ce nom egjt très-expressi f, car si L’qn. ne^
fait attention qu’à la larme generale "et aux /|©uleurs
ne ressemble plus aux poissons doréçlçxprinus auratus)
que les myripristis.
Après avoir décrit^ comme nous venons de le faite, les
myripristis qui se trouvent à notre disposition ,nous allons
examiner les articles des naturalistes dans lesquels on peut
reconnaître des espèces de ce genre.
1. Je crois que dans ,1’indivïdtr il y a un rayon de tombé : on y en voit onze.