ses ventrales thorachiques et lé manque ,dé,gmndés dents
prouvent que cejniest.|i!las une^spKyréne.^ou.SiavoqS1 ci’ail—
leurs stijBhamraéntr^ieMÈf^i^pmymie- au chapitre dé£
centropomeSi ni
L’illusion était. mains■ excusable pour le !Séeénd<r:qié<e
M. de Lacépède Y, pl. i , aommèGphychne
guille. G est uneyrphie ployé&et un peMinontouméé, de
manière que Ses; ventrales paraissent l’une à droite^ l’antre
àigattcbe^GI%Æ l’une de eèsiyentrales que M. deiLaeépède
à,rëgmdée jcomme* une-première dorsale, et sur- une, nté»
prise aussi .’aisée, à .rectifier il s’iest ^ emprdsfcéi idetafilir une
espèeei^adorme seule dés mâchoires, le nombtiïwWgn«
lité de leurs dents,auraient, dude désA^Say^
Bloch-a ;eu une idée encore beaucoup plius bizarre», ren
rangeant, lorsqu’il a publié son S ystemaV, le c.éphale,dowé
de Plumier, qu’il avaienojnnîn d’abord mugil IMumieçi^
flans le genre des sphyrèaeg. Çest un vrai muge^^sans,, aucun
doute.
~ Enfin, le siliirus imbephis. de ïïputt^yn^qippj q n P s fit,
car ce n est assurément pas un silurus, ne peiyt^ans, absur-:
dité ètre classé dans, ce genreÿcqmme'la ;epc,ore |ait
puisqu’il n’^ditK)n,,a3i^}p^idént.;
Mais,, sans compter Cé%/au^s^
dans les deux océans de très-vrai^! et même,de, .tellement,
semblables à celle de la Méditerranée, qu’ibfau,t beaucoup
d’attention et une comparaison immédiate pour les, en distinguer.
1 . Sphjroena Plumieri; B1 .,S y st., p. l ia . — 2. Sphyroena japonica; id.,ib.
-, . L a ‘S phyrêne- d u cap Y eet.
rÇ<Sjmyroena v irid è r is is, nob.')‘
Ainsi il du h?^téi envoyé-une de Praia-San-Jago, île du
cappYert, pkr MM. QuoyéetïGaymard, qui ne diffère de
éolles^de la Méditerranée qué parce que le brun du dos et
l’argenté du véfitri* sont sépaïés par une ligne en zigzag,
qui Ibrrafe àinsi le long dénia ligne latérale, et un peu au-
dessus , u e i sfeie^dé vingtmu de vingt et une -grosses den-
telunes^ltérûativemerft de des'deux couleurs.
‘ L à SPHŸRfÈWK BÉCUNE.
(Sphrrène béfiurie, Lac.^ Spfiyræna piciuta, Bl., Schn. j Ésoæ
' ‘ ’ bècuna, on. )n '
Il y/én amne aux Antilles et sur la côte du Brésil, si
semblâbleiiilefie d’Europe, qu©|e n’y vois d’autre différence
que les'tacbes, qu’elle conserve jusqu’à un âge bien
plus avancé. Du reste, sa forme, ses dents, ses pièces oper-
culaires, lapositibn de ses ventrales et de sa première dorsale,
sont les mêmes. *
<S>èstyà ce qu’il me paraît, cette sphyrène que le père
Plumier a dessinée-sous le nom (de bécune a la Martinique,
et je la crois aussi la p icu d a â e la Havanë, représentée dans
Parra. M, <|e Lacépède l’a fait graver sous le premier de ces
noiqs (t. Ÿ, pî. 9 , fig. 3 , ' d’après une figure d’Aubriet,
copiée de Plumier ; et Bloch l’a donnée sous le second
dans son System a , pl. 29, fig. 1, d’après la fig. 2 , pl. 3 5 , de
Parça*
M. de Lacépède a cru pouvoir différencier son spet de