et ensuite sur un e rangée. ?Les pharyngiennes sont en velours, sauf
les postérieures, qui .sont pluS-jgrqssçsjejt coniques. La membrane
des ouïes, garnie de six forts rayons , s’u n it à sa semblable sons
la ; gorge, conpne, dans' les percfs, et e,st pe,u éçhan,crée. I h n ’y a
d’écailles ni au museau, ni au sous-orbitaire, n i a u ^m â ch o ife s , n i
à la membrane'des ouïes, 'n i à finteropercule ; map Te limbè du
préopercule en a de petites, ainsi* que la? p u é et TojïePcme?5 Elles
sont sensiblement plus grande^ sous le corps qu’aiîè^floSf foutes
brièvement ciliées au bord'visible, un peu plus longues q u e ïatgfes',
cpupées c^rrénrént-à la racine, et à douze ou .quinze ;ràyqns-à< leur
éventail, en:sçf|te qu’on voit à,peine leuçs crénelurejs; Onten. compte
plus de quatre-vingts,sur une lig n e , de l’ouïe,à la.caudale, et,Une
trentaine sur une ligné _ verticale. La ligne latérale^;,-à->péu près
d ro ite, ?sé marque p eu et pa r des”tec^es‘ sfmples.’Ï£S'^ ventrales .ffjjilli
u n peu jugulaires, pointues, et ' trés^charnües, fsurt©ùf ï èrs h fn p rt l
externe; elles ne dépassent pas les pectorales : [’cêïléMcï sont;îmër
diôeres , a rrondies, sans troncatures et Sanis'^râyÔâ^ simples. Là
dorsale commence u n p e u plus îen arrière q u e : Mf f^&étôSale JJ3sà
partie épineuse, d’abord u n peu plus basse' que; la molle ,vs|gljèÿ.e
pa r degrés, de manière à s’y u n ir sans aucune échancrure ni
ressaut : cette nageoire finit en angle en'arrière, mais ne s’âiguise
pas en pointe, n i l’anale non plus. Là caudale es>t eoup'ëe'câ§rmfëfit,
et chacun de ses angles fait u n peu la p ointe^tiî'da de petites î ^ ^ e s
entre les bases de ses irayons, riiâis les autres nageoires n ’ehfiohtf pas.
B. 6 ; b. ’1/21 ; A. 1/26 ; G.^11 J.P . 1 1 J y A k
Ce poisson est d’u n b ru n roussâtre sur le d ô S ; du Moins il paraît
tel dans la liqueur et à l’état sec. Le ventre est plus pâ le , et- il» descend
quelques productions du b ru n sur le pâle. Le b o rd d c sa
dorsale et de son anale paraît un peu n o iiâ tiey et il y a d u blanchâtre
à leur base; mais cette description des couleurs est peut-être
fo rt éloignée de l’état frais.
Nous en avons des individus de plus d’un pied.
Çest feu M. Delalande qui a rapporté cette espèce re