CHAPITRE KtÆFâ
D e^Æ k rn ie r s-e t d e s ! Pènt&çmos.
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üi; Et" de 'V'espkee cofknmn&i là (3e4ni er-bsrlbsp.- sq
( P O ra eg r nMm,, n«b. )
j UjQjgM c h ^ g ^ s ^ ^ r e i^ a r jq u a b le ^ ejt .qqi, g jje l
point certain,es-partig^ dahlmhtyblogifi. qnq^ttiJ^Ug^gs.I
émti qu’un-ipoissoA très-commun tl#®» la 'Mëdflteirrâoséef,
fort eonnà sur toiiteÉ* Së§?Âj0,6Os^ qui-parv|en#lr Uftiëlllôn-
giièur dé cinq et"‘de;1 'six pieds, et p'èsO^ttvent phis*df|
cem^livfes'^^'Ä^Sf p‘eu distinglïè^tfu sîüial ïhdiqué" par
les observateurs", quej^ i f l l dpP naturalistes ‘méthodiques'
qui en ont ,ei]jîr&Qnnai^qçe^ ljâient pas pour un pqisSbn
nouveau ..ej^yqnju 6<fc mggs i
iprf» esîqle • cafc du cernier. jMa!grjé$?^*én&rjmp rtaiUe et
toutes les singularités de^a? structure,! ni Belon,#fiH8älvihn,
nr Bondeiotf‘ n en ont parie*^ il n en;%&t^p^^uestfeiarJda--
vantage dans Wi:llugbb.y»ÿ î©Âo®e î moins : dans des*%utfeùrs
dê fépoqUe qüi lWuivi Lhinséus^^^^S^ft^ibiîrtdft'i^ùè
par M. Latham à M. Schneider ,§§jfé|êf^ onné pär celui-ci
commerun poisson d’Amérique , et' c e ! ©est que par le'
dernier Voyage dlyM. Savigny quqppus ayons appris que
c’est une espèce d’Europe, et très-abonclante surÏ^s^eplgs
méridionales de la France et-ßur toutes celles de l’Italie.
i A la, débité y M^Bsissjo.^Èèconnu et en.a parlé dans son
Ichtyologie dë,>Ni©^$|| 1 8‘4q, mais il a cru *y~ retrouver la
sçorphne marseibhvüse de$M*.:de Lacép'ède (t. III, p. 269) ,
c^tMldirê,;.le cottus maSsiliertsis dé'-Forskal *, et non pas
Xoemphiprion prétendu" cottus massiliensis n’est
qu’uni rascasse ordmhiïë }• ÿporpc&np. porcuâ ou sefofa. 1 2 3
M. Bosenthal a aus^'i pfssméJde ‘Squelette d’un vrai
cernier^^E^^jpp^tim^-erreur que je ne sais comment
expliquer,.il lui donne le nomade,scic&na aquïla,^ph 16 ,
fig.
On pourrait ES^upçohner aussi que notre cernier est
le pilote de haute m e r, donné par Duhamel (Pêches,
II.fTpartie, septiôn 8 fig. 2$?, d’après un
in^ÿyLqi pjis àd’eptrjé^de la Manche;’ mais sa figuïe est
si peu détaxée, les caractères particuliers à l’espèce y sont
sfpeu exprimés^gu’il restera toujours beaucoup de doute
sur e e*point.
. < j-Ee nom de cernier que, ce-,:poisson porte à Marseille,
i l celui ééiïfcernio qu’on- lui donne à' Nice, paraissent venir
de la même origine que. -Ceux de cerna, de cernua, et
autrésl SeinblaMds, qui s’appliquent en général à delipois-
sons^de la -famille des. perches, mais-à des espèces1 très-
di-yei^es,,, scjlon les 'divers^ côtes, Il vient de ce m e r e , et
,en italien il signifie en, général séparation, distinction ;
1. Dans-sa nouTelle"'édition, p. 56ÿ^-M. Risso nous parait parler du cernier
sous le nom dlhalocentrus galo ou c e r n i a .
2. M. Risso allègue Brunnich au lieu.de Forskaiy mais c’est un lapsus calami.
3. M\ Valencîenhes:, Mein, du Mus., t. XI, p. 265, a fait une méprise en disant
que ce pilote de haute mer de Duhamel est le scorpaena americana de' Gmelinpfor-
pène américaine, Làcép., t. III, p. 384)*' Gètte-scorpène américaine est le crapaud
dé mer d'Amérique de Duhamel, sect. 5 ÿ pl. 2 , fig. 5,' et un poisson tout diffé